Finale de la Coupe arabe de la Fifa : Algérie 2 – Tunisie 0 / L’Algérie au sommet arabe !

Favoris dans les sondages, et sur le papier, les Verts se devaient de traduire cet «avantage» psychologique sur le terrain devant un adversaire qui a souvent rendu la vie difficile aux Algériens qui triompheront au bout de 120 nouvelles intenses minutes. Sacrés Verts !
«Un derby ne se joue pas, il se gagne», a-t-on habituellement entendu et lu. Ce qui n’est pas faux, en partie. Car, à Doha, les Algériens étaient meilleurs de bout en bout. Ils l’étaient davantage contre la Tunisie, arraisonnés par un groupe formé à la hâte par Bougherra qui a fait montre de grinta mais aussi de maturité.
Hier, lors de cette finale maghrébine, le coach Bougherra est revenu à ses principes de base en alignant un «11» semblable au tout premier de ce tournoi arabe, seul Soudani manquait sur la liste et remplacé par le virevoltant Meziani. Comparativement à la demi-finale où il a confié à Draoui de neutraliser les mouvements et les passes d’Akram Afif, Bougherra a fait confiance à son habituel milieu catalyseur, Mrezigue en flairant un milieu de terrain tunisien dense. Sur le plan stratégique, ce sont deux ensembles disposés dans un système orienté vers le 4-5-1 mais qui évoluait suivant les «faits du match». Et des faits de jeu, la rencontre en a connus plusieurs en particulier lors de la première mi-temps. Des occasions d’abord, deux franches pour chaque formation. Un premier coup franc botté par Sliti trouve la tête de Bilel Ifa qui percute la transversale(14’) puis une frappe du même Sliti que dévie en corner M’Bolhi (19’). Ensuite, un incroyable ratage dans les 6 yards de Meziani, servi par Bounedjah, qui met son plat du pied à côté (21’). Les Verts auront même du deux en un sur la pénétration de Belaïli mal négociée par Brahimi qui bute sur la défense suivi par le tir détourné en corner de Bounedjah (32’).

Mais un derby n’est pas ce fleuve tranquille qui fait le bonheur de tout le monde. C’est aussi des nerfs et des coups qui ont poussé l’arbitre allemand à sévir à cinq reprises, le capitaine tunisien Msakni pouvait aspirer à un rouge si la VAR avait vraiment voulu faire son boulot. Les 22 acteurs reviendront moins nerveux mais également moins fringants surtout les plus vieux d’entre eux. La bataille sera, elle, centralisée et les deux équipes se fourvoyaient dans un football crispant. Seuls quelques contres de part et d’autre seront signalés sans que les deux défenses soient prises au piège. Le tunisien Jaziri aura même la balle de la victoire quand il se présentera seul devant M’Bolhi, son tir par trop dévissé passe à côté (90’). La prolongation devenait inévitable et la crispation plus grande. Et pour détendre l’atmosphère qui de mieux qu’un maître artificier nommé Sayoud. L’ancien belouizdadi qui revenait dans l’équipe dix-sept jours après sa blessure face au Soudan s’appuyait, sur un énième contre, sur Bounedjah qui lui remettait pour exécuter d’une sourde et lourde frappe du gauche le gardien tunisien qui se logera sous l’équerre des bois des Aigles de Carthage (90’+8’). Un but d’anthologie, un autre signé par des pieds algériens, qui crucifiera un ensemble tunisien qui tentera le tout pour le tout pour remonter la pente face à un bloc équipe très bien en place. Et c’est en désespoir de revenir à hauteur des hommes de Bougherra que les tunisiens vont concéder un second but par l’entremise de Brahimi, son quatrième durant ce tournoi (il lui sera décerné le Soulier d’argent derrière le buteur du championnat, Jaziri). L’Algérie, championne d’Afrique en égypte, signe sa première consécration sur le plan arabe. Une juste consécration pour une sélection, montée en sept jours, et qui a fait plier les meilleurs./
Mohamed Bouchama

Échos de Doha

Marcel Desailly et David Beckham présents
Parmi les anciennes stars du football mondiales présentes à Doha à l’occasion de la finale de la Coupe arabe Fifa, Marcel Desailly et David Beckham, respectivement, anciens capitaines de l’équipe de France et d’Angleterre. Desailly a eu l’honneur de déposer le ballon de la finale.

Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani et Giovanni Vincenzo Infantino côte à côte
L’émir du Qatar Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani et le président de la Fédération internationale de football (Fifa) Giovanni Vincenzo Infantino ont suivi la finale de la Coupe arabe côte à côte. Durant la mi-temps, ils ont honoré des représentants du corps médical, et d’autres personnalités.

Bennacer, Boulaya et Benkabla encouragent les Verts
Ismaël Bennacer du Milan AC, Haris Belkebla du Stade brestoi, et Farid Boulaya du FC Metz ont adressé des messages vidéo d’encouragement à la sélection nationale à l’occasion de la finale arabe de la Fifa. Tous les trois ont souhaité la victoire aux Verts.

Des trophées, que de trophées !
Outre Belaïli qui a obtenu le ballon d’argent du «meilleur joueur» du tournoi, le gardien M’Bolhi a été élu «Best keeper», alors que le capitaine Yacine Brahimi a engrangé le trophée du «meilleur joueur» et du «Soulier d’argent» qui récompense les meilleurs buteurs.

60 456 supporters à Al Bayt Stadium
Le stade Al Bayt, situé à Al Khor, a accueilli 60 456 supporters à l’occasion de la finale Algérie-Tunisie, samedi soir à Doha. Une grande affluence enregistrée lors de cette coupe organisée par le Qatar. Inauguré le 30 novembre dernier à l’occasion du match de l’ouverture de la coupe arabe de la Fifa, Al Bayt Stadium a une capacité de 60 000 sièges.
A. A.

Fiche technique
Al-Khor, stade Al-Bayt, temps chaud (23°) et humide (67%), terrain en parfait état, affluence nombreuse, arbitrage de M. Daniel Sieber (Allemagne) assisté de MM. Rafael Foltyn et Christian Gittelmann (Allemagne). 4e arbitre : Matt Conger (Australie). Arbitre de la VAR : Christian Dingert (Allemagne) assisté de M. Kevin Blom (Pays-Bas).
Buts : Sayoud (90’+8’) et Brahimi (120’+5’) Algérie
Avts : Chetti (13’), Bounedjah (39’), Bendebka (90’+4’), Brahimi (120’+4’) Algérie, Msakni (39’), Jaziri (39’), Ben Hmida (43’), Ferjani (63’) Tunisie.
Algérie : M’Bolhi, Benayada, Chetti, Bedrane (Tougaï, 120’+3’), Benlamri, Mrezigue (Draoui, 91’), Meziani (Sayoud, 66’), Bendebka (Tahrat, 117’), Brahimi, Belaïli, Bounedjah. Entr. : Madjid Bougherra
Tunisie : Mouez Ben Hassen, Amine Ben Hmida (Ali Maaloul, 100), Mohamed Drager, Bilel Ifa, Montassar Talbi, Ghaylen Chaâleli, Sassi Ferjani (Saâd Bguir, 100’), Naim Sliti (Firas Ben Arbi, 109’), Youssef Msakni, Seifeddine Jaziri, Hannibal Mejbri (Ali Ben Romdhane, 87’). Entr. : Mondher Kebaier.
Match pour la 3e place

Le Qatar au bout de l’ennui

120 minutes n’ont pas suffi pour départager deux équipes hyper-fatiguées après un tournoi plus ou moins abouti. Et seule une série de tirs au but (0-0, a.p, 4-3 Tab) était nécessaire pour offrir les 2 millions de dollars et la 3e place à la sélection du pays hôte. Pharaons et Qataris se savaient vidés après cinq rencontres à l’intensité grandissante. L’élimination en demi-finale, respectivement, contre la Tunisie et l’Algérie, a laissé des séquelles physiques et morales. Difficile par conséquent de demander plus d’énergie à des équipes qui, globalement, ont reconduit leur onze de départ à l’occasion de ce «match de trop». Peu de facettes techniques et d’occasions de scorer sous un soleil de plomb (27°) et une humidité (44%) supportable du fait de la climatisation installée au sein du 974 Stadium. Et de l’énergie en moins implique moins de concentration et des choix hasardeux. Cela se vérifiera lors de la série de tirs au but où Ahmed Hejazy et Mostafa Shérif, côté égyptien, et Hassan Alhaydos, pour le Qatar, ont manqué de précision pour ajuster Meshaal Barsham et Mohamed Al-Shenawy, respectivement. Une troisième place méritée pour une sélection du Qatar qui a réussi son premier succès (symbolique, il est vrai) sur un adversaire de la zone africaine. Quant à l’égypte, qui prépare surtout la CAN-2021 et le tour des barrages pour le Mondial-2022, cette quatrième place n’est pas un échec en soi. L’entraîneur portugais arrivé à peine trois mois plus tôt a élargi ses choix avec de nouveaux visages qui pourraient s’avérer utiles lors des échéances à venir. La bipolarité Al-Ahly-Zamalek qui dominait la composante des Pharaons a pris un sacré coup depuis l’arrivée de l’ancien sélectionneur du Portugal. Et c’est probablement la principale victoire des égyptiens lors de cette Coupe arabe où ils étaient les seuls à faire bonne figure devant l’Algérie.
M. B.


                La victoire du cœur

                                     par Adjal Lahouari

Il n’y a que le football qui procure autant de stress et autant d’émotions. C’est le genre de match qui reste gravé dans les mémoires autant par le scénario que par un terrible suspense qui a pris fin d’une façon aussi inattendue que spectaculaire avec dans des prolongations absolument haletantes. Ce fut d’abord Sayoud, un moment critiqué même par Bougherra en raison de son champ d’action. Or, c’est ce même Sayoud qui a débloqué une situation stressante. Ensuite et en raison de la montée du gardien tunisien sur le dernier corner, c’est le contre meurtrier mené et conclu en solitaire par Brahimi, lui qui a vendangé tant de bonnes balles. On devine alors le sentiment de satisfaction au coup de sifflet final de l’arbitre. Certes, les Tunisiens ont mieux joué et inquiété la défense des nôtres mais on ne retiendra que le nom des vainqueurs et ce sont nos valeureux Fennecs, admirables de courage et de volonté.

Comme il fallait s’y attendre, ce fut une finale incertaine où les duels ont été nombreux entre deux équipes aux styles différents mais animées par le même désir de victoire. Dans un tel contexte, assister à du beau jeu, c’était trop demander dans une première mi-temps hachée par les fautes et les coups francs. Durant cette période, la possession a été tunisienne alors que les Algériens ont eu plus d’occasions dans la mesure où Meziani, à lui seul, en a eu deux qu’il a vendangées au grand désappointement des ses coéquipiers. Evidemment, les espoirs des nôtres reposaient essentiellement sur la classe de Belaïli et les contres menés tambour battant. Ce dernier s’est bien démené malgré le marquage exercé par les défenseurs tunisiens. Par ailleurs, les deux entraineurs devaient prendre en compte les cartons.En seconde période, ce fut, à peu de chose près, le même scénario avec une meilleure prestation collective des Tunisiens, à l’inverse des poulains de Bougherra, trop repliés dans leur camp et opérant par des contres qui furent repoussés par les solides défenseurs adverses. Et, avec cette attitude, il est tout à fait logique que les Verts subissent le match.

Ces derniers temps, et notamment depuis le coup d’envoi de la Coupe arabe des Nations, nous n’avions cessé de pointer du doigt les agissements en coulisses, surtout celles liées à l’arbitrage. Nous en avons eu la preuve irréfutable lors du match Algérie-Egypte, où l’homme de main n’était autre que l’arbitre. Mais, heureusement, l’arbitre allemand a été sans reproche, et qui a donné raison à la commission chargée de la désignation. Il est bien loin où le rénovateur des Jeux Olympiques, le baron De Coubertin disait « que le plus important, c’est de participer ». A présent le sport est devenu un important fait de société où il faut gagner, quelle que soit la manière. D’ailleurs, c’est le discours que Bougherra a tenu à ses joueurs et la belle finalité lui a donné amplement raison. Alors que des joueurs de certaines sélections ont des promesses faramineuses nos Verts se sont battus pour le drapeau si cher au cœur des Algériens.

Par cet exploit, les protégés de Bougherra misaient sur une relance de leur carrière dans le bon sens, à savoir vers l’équipe nationale A drivée par Djamel Belmadi et vers des clubs cotés surtout en Europe occidentale. Bougherra, qui a dit «que ce sera un big derby maghrébin ».

Sur la base des victoires face au Soudan, le Liban et la prestation haut de gamme contre l’Egypte, le coach algérien a opté, à peu de chose près, pour un schéma qui a fait ses preuves avec quatre défenseurs, deux « sentinelles », trois milieux ayant une liberté d’action et une « pointe » pour saisir la moindre opportunité. Il savait que les Tunisiens avaient l’obligation d’attaquer, en utilisant leurs gabarits dans les duels aériens, maillon faible de nos capés. Ils savaient que le jeu au sol des nôtres leur causerait des problèmes, d’où leur choix des actions terminées par des centres aériens. Tout est bien qui finit bien, mais des cardiaques ont dû beaucoup souffrir.


La coupe arabe a pris fin avant-hier avec la consécration de l’Algérie. Une consécration logique compte tenu des qualités affichées par les nôtres durant tout le tournoi. Si … [Suite…]       par M. Zeggai
Après la qualification de l’Algérie en finale, le ministre des Sports et de la Jeunesse a dit : « Au Qatar, nous avons découvert une équipe et … [Suite...]    par Adjal Lahouari

Algeria’s players wave Palestinian and Algerian national flags after winning the FIFA Arab Cup 2021 semi-final football match between Qatar and Algeria at the Al-Thumama stadium in the Qatari capital of Doha on December 15, 2021.     (Photo by Jack GUEZ / AFP)

         Gianni Infantino, président de la FIFA : «Un tournoi rassembleur»

«Au cours de ce tournoi, nous avons pu voir à l’oeuvre le pouvoir du football: il rassemble les peuples, il rapproche les pays, il unifie les supporters et crée du lien», a-t-il déclaré.

Passionnante de bout en bout, l’édition inaugurale de la Coupe arabe des nations FIFA-2021 s’est achevée sur la victoire (2-0) de l’Algérie devant la Tunisie, après prolongations. À l’issue de la partie, le président de la FIFA, Gianni Infantino, a confirmé que ce tournoi s’inscrirait dans la durée. En tout, 16 équipes d’Asie et d’Afrique se sont livré bataille pour tenter de soulever le trophée. Infantino a estimé au micro de beIN Sports que ce tournoi avait un rôle à jouer pour unir les peuples de la région. «Sous l’égide de la FIFA, nous ferons en sorte que la Coupe arabe continue. Cette compétition a prouvé sa valeur. Au cours de ce tournoi, nous avons pu voir à l’oeuvre le pouvoir du football: il rassemble les peuples, il rapproche les pays, il unifie les supporters et crée du lien», a souligné le patron de la FIFA. «Cette joie, nous l’avons tous ressentie, ici au Qatar, mais aussi dans l’ensemble du Monde arabe et même partout à travers le monde. Nous allons débattre des moyens et des modalités, mais nous retrouverons les meilleurs joueurs dans cette compétition», a promis le dirigeant en question. À la mi-temps, les 60 456 spectateurs de la finale ont assisté à une cérémonie, lors de laquelle Infantino s’est rendu sur le terrain pour remettre une médaille à un groupe de soignants, en première ligne du combat contre le coronavirus. «Je suis heureux d’avoir pu rencontrer ces personnes, qui ont consenti d’énormes sacrifices pour que la société puisse continuer à fonctionner, malgré la pandémie de Covid-19+», a-t-il déclaré. «Ils nous ont rappelé que la santé passait avant tout. Pour ma part, je salue leur engagement et leur dévouement dans cette période très difficile», conclut-il.


La Coupe arabe de la FIFA, anciennement Coupe arabe des nations, était organisée par l’Union des associations de football arabe. La FIFA prend cette compétition sous sa tutelle pour sa 10e édition qui se déroule au Qatar sous le nom de Coupe arabe de la FIFA 2021. La première édition a eu lieu en 1963 à Beyrouth (Liban) et a été remportée par la Tunisie. Dans les années 1970, la compétition a été brièvement remplacée par la Coupe de Palestine dont les éditions ont eu lieu en 1972, 1974 et 1976. Cette compétition est pour la FIFA l’occasion de tester de nouvelles règles. La technologie du hors-jeu semi-automatisé (qui prévient automatiquement les arbitres de la VAR à chaque fois qu’un joueur est en position de hors-jeu) sera ainsi testée en situation réelle, avant d’être généralisée à d’autres compétitions. 1,2

                   Palmarès 

Bilan par édition 

Année Organisateur Vainqueur Finaliste Troisième
1963 Liban  Tunisie  Syrie  Liban
1964 Koweït  Irak Drapeau de la Libye Libye  Koweït
1966 Irak  Irak  Liban Drapeau de la Libye Libye
1982 Liban Annulée à cause de la guerre du Liban
1985 Arabie saoudite  Irak  Bahreïn  Arabie saoudite
1988 Jordanie  Irak  Syrie  Égypte
1992 Syrie  Égypte  Arabie saoudite  Koweït
1998 Qatar  Arabie saoudite  Qatar  Koweït
2002 Koweït  Arabie saoudite  Bahreïn  Jordanie et  Maroc
2009 Annulée à cause du manque de sponsors3
2012 Arabie saoudite  Maroc Drapeau de la Libye Libye  Irak
2021 Qatar  Algérie  Tunisie  Qatar

       Le président Tebboune honore l’équipe nationale de football

Le président Tebboune honore l’équipe nationale de football

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a honoré , ce lundi, les joueurs de l’équipe nationale A’ après leur consécration à la coupe arabe-Fifa 2021.

De hauts responsables de l’Etat étaient présents à cette cérémonie dont notamment le président du Conseil de la nation, M. Salah Goudjil, le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali, le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, le Général de corps d’Armée, Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), le président de la cour constitutionnelle, Omar Belhadj et de Conseillers du président de la République.
Le président de la République a serré la main, un à un, aux représentants de la Fédération algérienne de football (FAF), au sélectionneur national, Abdelmaldjid Bougherra, aux joueurs, ainsi qu’aux membres des staffs technique, médical et administratif.
M.Tebboune a pris, par la suite, une photo de famille avec l’ensemble des joueurs et staff technique de l’équipe nationale qui lui ont remis une médaille d’or ainsi que le trophée arabe.
Dans un message adressé aux joueurs et au staff technique, juste après le sacre arabe à Doha, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait félicité la sélection nationale A’.
» Félicitations aux champions de la compétition arabe … vous nous avez réjoui, qu’Allah vous préserve », a écrit le Président Tebboune sur son compte Twitter.


Les joueurs de l’équipe nationale A’ défilent dans les rues d’Alger, au lendemain de leur victoire en Coupe Arabe FIFA 2021.



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