Algérie / Présidentielle : éclaircissements de campagne électorale (propositions)

En qualité de citoyen, voici ce que je demande aux candidats à une quelconque fonction collective, en premier lieu à celle de Président de la nation, et cela quelque soit le pays. Commençons par des considérations générales.

Démocratie

S’il s’agit, comme le mot l’indique, de pouvoir du peuple, alors comment le réaliser ?… En permettant un vote libre durant des élections libres, répond-on… Alors, comment un citoyen ou une citoyenne peuvent exercer un choix libre, tant qu’ils ne possèdent pas la conscience réelle de leurs intérêts matériels et culturels ? Comment peuvent-ils acquérir cette conscience réelle s’ils ne disposent pas des informations véritables sur la situation de la nation, sur les divers agents sociaux qui y existent, les intérêts des uns et des autres, enfin les luttes qu’ils se livrent pour l’hégémonie ?… Dès lors, comment parvenir à la réalisation effective de cette démocratie ?

Égalité

Comment peut-elle exister tant que les uns disposent de l’argent pour s’instruire au point de connaître leurs intérêts matériels et culturels réels, et la manière de les défendre, tandis que la majorité des autres sont démunis de cet argent, ce qui les obligent à consacrer leur temps à vendre leur force de travail manuelle ou intellectuelle pour parvenir à peine à subvenir à leurs nécessités de survie matérielle ?… Dès lors, comment parvenir à la réalisation effective de cette égalité ?

Questions subsidiaires au thème de l’égalité : comment la réaliser dans les domaines religieux et ethnique ?… Concrètement, comment réaliser l’égalité entre croyants à une religion et croyants à une autre ou simplement croyants à une spiritualité non religieuse ? Et comment réaliser l’égalité entre citoyens d’origines ethniques différentes, dans tous les domaines de la vie sociale : matérielle et culturelle ? Enfin, comment réaliser la réelle égalité entre hommes et femmes ?

Liberté

Comment peut-elle exister tant que les uns disposent de l’argent pour la pratiquer (généralement par la corruption), tandis que la majorité des autres non seulement sont démunis de cet argent, mais sont réduits à une situation précaire de survie matérielle et de conditionnement culturel servile ?

Solidarité

Comment peut-elle exister tant que les uns disposent d’un capital financier (en règle générale mal acquis, par le vol chez le privé, par l’accaparement autoritaire chez l’État) pour s’ériger en acheteur de force de travail manuelle ou intellectuelle, tandis que la majorité des autres est réduite à vendre uniquement ce qu’ils possèdent : leur force de travail manuelle ou intellectuelle, et cela à un prix au-dessous de sa valeur, afin de permettre à l’acheteur de ce travail (oligarchie privée ou étatique) d’en tirer un profit, lequel perpétue son enrichissement au détriment de ses salariés ?

Questions subsidiaires

Comment un développement économique serait solidaire tant que persisterait la division sociale entre les détenteurs de capital (privés et/ou étatiques), d’ »une part, et, d’autre part, les détenteurs de leur seule force de travail manuelle ou intellectuelle, ce qui produit le profit des premiers et la simple survie matérielle des seconds ?

Dans ce cas, comment assurer une réelle paix sociale à l’intérieur de la nation ? Et, encore, comment réaliser une réelle paix entre les nations, tant que qu’elles sont dominées par des oligarchies, lesquelles, par leur nature sociale, veulent s’enrichir davantage au détriment des autres oligarchies nationales ? (1)

Non candidats

Considérons les personnes qui croient à l’inutilité de la participation aux élections. Certes, il y a des motifs d’estimer qu’un certain type d’élection est totalement manipulé, avec les résultats programmés à l’avance par les gérants de cette élection, et que, en outre, les autorités en place mettront tout en œuvre pour limiter quand pas empêcher de faire campagne les adversaires du candidat qui est, déjà, en fonction.

Toutefois, même dans ce cas, accepter de participer, n’est-ce pas une occasion pour faire connaître au peuple ses propres idées, y compris celle d’affirmer que cette élection est une manipulation au résultat connu d’avance ?… Peu ne vaut-il pas mieux que rien ? N’est-ce pas là, alors, un compromis et non pas une compromission ?… Pour la personne qui l’ignore, le compromis consiste à faire semblant d’accepter le jeu de l’adversaire, mais pour en tirer un bénéfice personnel, sans jamais permettre que ce bénéfice profite à l’adversaire, d’une manière ou d’une autre. Au contraire, la compromission consiste à jouer le jeu mais en se laissant berner par l’adversaire, qui rafle la mise.

À présent, venons au cas algérien actuel.

Élections

Concernant compromis et compromission, l’exemple le plus lamentable de compromission fut celui du soit disant « soutien critique » du PAGS, d’où l’ex-président Boumediène et ses partisans furent les seuls à en tirer tout le bénéfice. Qu’il me soit permis de préciser que cette affirmation est la mienne non pas uniquement aujourd’hui, mais, déjà, en 1972 (2). Dès lors, concernant la participation aux prochaines élections présidentielles, la question à poser, aussi bien aux candidats qu’aux non candidats, est la suivante : dans quelle mesure votre participation ou votre refus de participation est un compromis et non une compromission ?… En effet, participer ou refuser de participer peut être, l’un et l’autre, en réalité, soit un compromis soit une compromission.

Continuité

Aux candidats ou non candidats qui évoquent cet argument, de quel genre de continuité s’agit-il ?… Celle qui continue la régression qui commença avec l’assassinat de Abane Ramdane et le rejet de la Plate-forme de la Soummam, ou s’agit-il de la continuité à reprendre, à partir de la reconnaissance de la légitimité cette même Plate-forme ?… En effet, si l’on se hausse de la lettre du texte de celle-ci à son esprit, que déclarait ce document historique, sinon ceci : 1) l’égalité entre tous les citoyens, femmes et hommes, ce qui élimine l’exploitation économique des uns par les autres ; 2) la liberté d’exprimer ses opinions, de s’associer en vue du bien collectif, ce qui exclut la domination politique des uns (les puissants et les riches, privés ou étatiques) sur les autres ; 3) la solidarité, laquelle est une conséquence logique de l’égalité et de la liberté ci-dessus évoquées.

Allons plus loin. Considérons la déclaration du 1er  novembre 1954. Quel en est non pas la lettre mais l’esprit ?… N’est-ce pas la conquête de la dignité du peuple algérien ?… Peut-il y avoir dignité quand des gens de ce peuple sont contraints à vendre leur force de travail à un autre (personne privée ou État) qui en tire son profit uniquement parce qu’il est propriétaire des moyens de production, par ailleurs soit volés (par le privé) soit accaparé autoritairement (par l’État-patron) ?

Encore ceci. Si la guerre de libération nationale a été déclenchée et dirigée par des personnes qui n’étaient pas des travailleurs manuels, et non plus des capitalistes, qui en étaient le bras armé ? N’ont-ils pas été dans leur grande majorité des paysans sans terre, des travailleurs manuels, des chômeurs, sans oublier les femmes de même condition ? Ces gens se sont-ils battus et ont consenti tous les sacrifices pour se retrouver contraints d’être réduits à des salariés d’un patron (privé ou étatique), et pour les femmes à se soumettre à l’autorité féodale d’un homme, sous prétexte que ces dominés sont des « ignorants », incapables de s’auto-gérer ?

Question subsidiaire : ce qui est nommé « stabilité » renvoie au thème de la continuité. Quel genre de stabilité est envisagée ? Celle qui maintient stable la régression depuis l’assassinat d’Abane Ramdane et le rejet de la Plate-forme de la Soummam, ou la stabilité qui considère que ce document est celui qui permet d’envisager une réelle stabilité, bénéfique au peuple algérien ?

Pas de reniement

En évoquant ce thème, la question est la suivante : n’est-il pas nécessaire d’expliciter ce qu’il s’agit concrètement de ne pas renier ?… En effet, par « pas de reniement », les uns auraient en tête cette Plate-forme de la Soummam, à considérer comme base fondamentale pour construire le présent et le futur, tandis que d’autres se sont emparés de la direction de la guerre de libération (notamment par l’assassinat d’Abane Ramdane et par l’étrange découverte de Larbi Ben Mhidi par l’armée française qui le tua), puis ont conquis l’État indépendant (par le massacre des moudjahidines de l’intérieur qui s’opposaient à leur putsch militaire) précisément par le rejet de ce document… N’est-il pas facile de se contenter de déclarer « ne pas renier » la guerre de libération nationale et le serment des moudjahidines, sans préciser de quels moudjahidines on parle : ceux de l’intérieur qui se battaient et sont morts au combat contre l’armée coloniale, puis ont résisté au putsch militaire de l’armée des frontières, ou ceux qui, hors du territoire national, se préparaient à conquérir, – et ont conquis -, le pouvoir étatique par un putsch militaire, juste après la victoire ?

Rupture

La réponse à la question sur l’expression « pas de reniement » permet, en conséquence, de formuler cette autre question : les candidats ou non candidats qui déclarent la nécessité d’une rupture, quel contenu concret y mettent-ils ?

S’il s’agit d’une rupture avec ce qui est appelé « le système », celui-ci se limite-t-il à la seule corruption, dans tous les domaines de la gestion sociale : économique, politique, culturelle ? Ne faut-il pas, également, considérer la gestion de la nation depuis le conflit qui opposa les partisans et les adversaires de la Plate-forme de la Soummam ?

À propos de continuité, de stabilité, de pas de reniement et de rupture, envisageons quelques cas comme exemples servant à l’éclaircissement des discours électoraux.

Entreprises nationales

Tous s’accordent à déclarer que les entreprises publiques algériennes sont très mal gérées parce que déficientes sur le plan de la productivité économiques. Laissons de coté le fait que les dirigeants de ces entreprises, eux, gèrent très bien le salaire et les privilèges que leur accorde leur fonction.

Concernant donc ces entreprises nationales, quelle serait la solution ?… 1) Les privatiser, donc favoriser le capitalisme privé, mais alors d’où provient l’argent des éventuels acheteurs ? 2) Se contenter simplement de changer de dirigeants, donc continuer dans une étatisation qui a démontré son incapacité gestionnaire, autre que de s’octroyer de juteux salaires ? 3) Pourquoi pas, alors, confier la gestion de l’entreprise à ses travailleurs eux-mêmes, sous forme d’autogestion, sachant que celle-ci, juste après l’indépendance, en absence de propriétaires et de cadres techniques, d’une part, et, d’autre part, d’un État national encore en gestation, que cette autogestion donc a donné des résultats économiques performants, contrairement aux calomnies d’ « anarchie » et d’ « improductivité » proférées par ses adversaires ? (4)… Dans ces trois cas de figure, où sont la continuité, le non reniement et la rupture ?

Instruction

Que chaque candidat se prononce clairement sur ce qui détermine tout développement social réel, à savoir le secteur éducatif, lequel contient le capital le plus précieux (5) : est-ce un secteur éducatif dominé par l’obscurantisme, quelque soit sa nature ? Par une médiocrité volontaire de gestion pour favoriser la privatisation capitaliste, autrement dit l’aggravation des injustices sociale ? Ou, enfin, par une gestion qui serve réellement l’égalité, la liberté et la solidarité collectives, en permettant aux travailleurs du secteur éducatif et à ses bénéficiaires, les étudiants, d’autogérer leur travail ?

Question subsidiaire. Comment une nation peut-elle se construire si au peuple qui la compose l’emploi de sa langue maternelle est limitée, pour une partie de ce peuple (tamazight), et, pour l’autre partie, est totalement ignorée et occultée : l’arabe algérien (6) ? Est-ce que cette majorité du peuple comprend l’arabe classique (ou subsidiairement le français) en écoutant le journal télévisé étatique, en lisant le texte de la Constitution, la fiche de paie, un journal ou un livre, en étant devant des juges de tribunal, bref en voulant légitimement s’instruire et défendre ses intérêts ?

Corruption

Toute personne tant soit peu informée le constate : quelque soit le pays et l’époque, la corruption sociale commence et s’alimente toujours par le haut de la hiérarchie sociale. Deux anecdotes significatives à ce sujet. La première. Durant la guerre de libération chinoise anti-féodale et anti-capitaliste, à un journaliste états-unien qui, sur place pour une enquête, s’émerveillait du fait que les dirigeants de ce combat étaient vêtus et se nourrissaient exactement comme le peuple, autrement dit pauvrement, il fut répondu ceci : c’est que ces dirigeants n’ont pas encore goûté aux délices du pouvoir (sous-entendu : étatique)… Seconde anecdote. Un jour, j’ai visité l’enceinte de l’Assemblée Nationale italienne, à Rome. Je fus effaré de constater le luxe des murs, des couloirs, des bureaux, des moyens disponibles, enfin de l’enceinte des débats. Tout respirait la richesse ostentatoire et les signes du pouvoir social. Je me suis alors demandé : si j’étais un des élus dans ce palais, réussirais-je à résister à la tentation de faire travailler ma fonction à m’enrichir, donc à acquérir plus de puissance, y compris de façon illégale ? Combien de personnes, dotées de richesse et obsédés de l’agrandir, ne viendraient-elles pas me « rendre visite » pour me corrompre afin de satisfaire leurs intérêts de caste, et, en retour, me faire bénéficier de leurs « largesses » ?

L’honnêteté exige de reconnaître que le candidat Ali Ghediri, quelques soient par ailleurs les considérations à son sujet, a pris l’initiative de publier l’état de son patrimoine, y compris celui de son épouse et de sa fille. Tout candidat ne devrait-il pas agir de cette manière, pour mériter la confiance des électeurs ?

Cependant, je viens de lire dans le journal Mediadz que Ali Ghediri a désigné comme responsable à la communication durant sa campagne Monsieur Hmida Layachi. Étant donné qu’en Algérie plus d’une personne peut avoir les mêmes nom et prénom, j’ignore si l’homme s’appelant Hmida Layachi est celui qui se distingua, dans un récent passé, par le fait suivant. Au retour au pays après mes quarante années d’exil volontaire, il déclara à mon sujet dans une interview : « Il a rompu avec l’Algérie pendant 40 ans, ne connaît rien de son évolution, de sa société, de sa presse. Il est revenu en 2012 pour se faire de l’argent. »  J’ai exposé et expliqué les motifs de cette pure calomnie (7). Il y a également un autre fait. Sauf erreur de ma part, ce même Hmida Layachi fut propriétaire d’une télévision et d’un journal privés. Dès lors qu’il est devenu responsable de la communication d’un candidat qui évoque l’honnêteté et l’intégrité, ces qualités n’exigent-elles pas que son responsable à la communication, s’il fut réellement propriétaire des deux moyens de communication mentionnés, déclare publiquement d’où venait l’argent pour créer et gérer sa télévision et son journal ?

Or, je viens de lire la déclaration du responsable de la campagne de Monsieur Ali Ghediri, Monsieur Ait Larbi, qui déclare : « Je lance un appel à toutes les Algériennes et tous Algériens honnêtes et propres à pour faire sortir notre pays de l’impasse dans laquelle elle se trouve ». La question qui se pose, alors, est celle-ci : Si Hmida Layachi est la personne dont je parle, fait-il partie de cette catégorie d’Algériens, au vu de sa déclaration concernant ma personne ?… Monsieur Ali  Ghediri, qui l’a choisi comme responsable de la communication, ignore-t-il ou considère-t-il comme négligeable la déclaration de ce Hmida Layachi envers un Algérien qui, lui, démontre par son entier itinéraire de vie son honnêteté et son intégrité ?… Et si, par hasard, Monsieur Ali Ghediri parvient au pouvoir de l’État, est-il difficile d’imaginer le comportement qu’aurait ce Hmida Layachi comme ministre de la communication, car il faut bien, n’est-ce pas, qu’il soit récompensé suite à son engagement de campagne.

De cet événement, il s’ensuit cette question (et nous retournons à des considérations qui concernent toute nation et pas spécifiquement l’Algérie) : tout candidat ne devrait-il pas, outre la déclaration publique de son patrimoine et de celui de ses proches de la famille, faire publier également le patrimoine et celui des proches de la famille de ses collaborateurs principaux ? Publier également la biographie professionnelle de ces mêmes collaborateurs, comme par ailleurs Monsieur Ali Ghediri l’a faite en ce qui le concerne personnellement ?

En outre, tout candidat, pour montrer sa transparence et son intégrité, ne devrait-il pas publier qui et comment finance sa campagne électorale ?… N’est-ce pas là première et élémentaire preuve d’honnêteté et d’intégrité ?

Ensuite, en cas d’élection, tout candidat ne devrait-il pas s’engager à :

1)  ne pas accepter plus de deux mandats ? Car, en accepter plus, c’est : a) prétendre que tous les autres citoyens et citoyennes sont incapables de remplir convenablement la fonction dirigeante ; b)   démontrer que le système de gestion du pays est incapable de produire un nouveau dirigeant, ce qui révèle que le système est malade ; c) pour le dirigeant qui dépasse deux mandats, devenir ainsi une espèce d’oligarque « sauveur ». Or, peut-il l’être sans l’appui d’ une « clientèle » opportunément créée ? Et celle-ci le soutiendrait-elle si ce désormais oligarque ne lui concède pas, en retour, les privilèges dont elle a besoin pour exister ?… N’est-ce pas de cette manière que la dictature et sa conséquence, la corruption, commencent, quelque soit le masque employé pour les camoufler ?

2) faire connaître publiquement le salaire et les privilèges attenants à la fonction dirigeante durant l’exercice, ainsi qu’après la fin de celui-ci ?… Car, que signifierait cacher ces données sinon  une forme illégitime d’enrichissement légalisé ?

3) publier, à la fin du ou des deux mandats assumés comme dirigeant, l’état de son patrimoine, ainsi que celui des membres proches de sa famille ?… Pourquoi également ces derniers ? Pour éviter une tentation du dirigeant : ne pas profiter personnellement de sa fonction pour augmenter son patrimoine, mais recourir à augmenter celui des membres de sa famille, soit directement, soit comme prête-nom.

4) promouvoir dans la Constitution :

– l’instauration d’un référendum d’initiative populaire ? Il servirait de dissuasion contre une éventuelle gestion anti-populaire de la fonction dirigeante au détriment des intérêts du peuple (8) ?

– la publication, de la part des candidats députés à l’Assemblée Nationale et à d’autres postes administratifs fondamentaux, de leur patrimoine ainsi que celui des membres de leur proche famille, leur rétribution et privilèges attenants durant leur fonction, enfin la publication des mêmes patrimoines à la fin du mandat ?

Dans ce même esprit visant au plus d’authentique démocratie, aux lectrices et lecteurs d’ajouter d’autres questions, et aux candidats honnêtes (autrement dit qui servent le peuple au lieu de s’en servir pour leur intérêts personnels de caste) d’ajouter des éclaircissements.

K. N.

Email : [email protected]

Notes

(1) voir « De la liberté solidaire » in http://kadour-naimi.over-blog.com/search/libert%C3%A9%20solidaire/

(2) Voir « Éthique et esthétique au théâtre et alentours », notamment l’article de Bouziane Benachour en annexe 23 du Livre 5 : « Naïmi Kaddour : Quelques appréciations sur un artiste  que j’ai connu il y a plus de quarante ans », librement accessible ici : https://www.editionselectronslibres-edizionielettroniliberi-maddah.com/ell-francais-theatre-oeuvres-ecrits%20sur%20theatre_ethique_esthetique_theatre_alentours.html

(3) Voir « Questions sur l’autogestion en Algérie et dans le monde », in http://kadour-naimi.over-blog.com/2018/03/questions-sur-l-autogestion-en-algerie-et-dans-le-monde.html

(4) Voir « Belle comme un comité d’autogestion » in http://kadour-naimi.over-blog.com/search/autogestion/ et « Questions sur l’autogestion en Algérie et dans le monde » in http://kadour-naimi.over-blog.com/2018/03/questions-sur-l-autogestion-en-algerie-et-dans-le-monde.html

(5) Pour paraphraser celui qui employa cette splendide expression de manière si tragiquement criminelle : Staline.

(6) Voir « Défense des langues populaires : le cas algérien » in http://www.lematindalgerie.com/tamazight-et-dziriya-solidarite

(7) In « Éthique et esthétique au théâtre et alentours », Livre 4, PARTIE V : « UN ARCHETYPE DE JOSEPH GOEBBELS ». Pour y accéder voir lien dans la note 2 précédente.

(8) Voir « Du référendum populaire » in http://kadour-naimi.over-blog.com/2019/02/du-referendum-populaire.htmlAuteurKaddour Naïmi

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