COREE DU NORD

REPUBLIQUE POPULAIRE DEMOCRATIQUE DE COREE

La RPDCorée critique les sanctions imposées par les Etats-Unis contre ses responsables

Xinhua

PYONGYANG, 16 décembre 2018 – Un institut de recherche dépendant du ministère des Affaires étrangères de la République populaire démocratique de Corée (RPDC) a publié dimanche soir un communiqué critiquant la décision des Etats-Unis d’imposer des sanctions contre les dirigeants de la RPDC.

Le communiqué a été émis par le directeur de recherches en politiques de l’Institut des Etudes américaines du ministère des Affaires étrangères, et publié par l’Agence de presse centrale coréenne (KCNA), l’agence de presse officielle de la RPDC, qui n’a cependant pas précisé le nom du directeur de recherche.

Ce communiqué a rappelé que les dirigeants de la RPDC et des Etats-Unis s’étaient engagés à améliorer les relations entre les deux pays au cours de leur rencontre historique du mois de juin, à Singapour, et que leurs relations bilatérales se développaient de manière conforme à la volonté des deux dirigeants d’appliquer la déclaration conjointe émise à l’issue de ce sommet.

Néanmoins, au cours des six derniers mois, le département d’Etat et le département du Trésor des Etats-Unis ont mis en place huit séries de sanctions contre des entreprises, des individus et des navires de la RPDC, ainsi que contre des pays tiers, et ce sous des prétextes mensongers, a ajouté le communiqué.

« Les Etats-Unis ont récemment invoqué de prétendues questions de droits de l’homme pour prendre des mesures contre la RPDC, et ont commis une provocation délibérée en ajoutant de hauts responsables du gouvernement de la RPDC » à leur liste de sanctions unilatérales, tout en s’offusquant d’un « problème de droits de l’homme » inexistant, a indiqué le communiqué.

Les Etats-Unis ont en effet annoncé le 10 décembre de nouvelles sanctions contre trois responsables de la RPDC, les accusant de censure et de graves violations des droits de l’homme. Le communiqué émis dimanche par la RPDC semble constituer une réponse semi-officielle à ces mesures.

« En décalage complet avec les déclarations du président américain, le département d’Etat est déterminé à ramener les relations entre la RPDC et les Etats-Unis à ce qu’elles étaient l’an dernier : des relations de confrontation. Je ne peux m’empêcher de me poser des questions sur les véritables motivations du département d’Etat », a indiqué, selon KCNA, le directeur de recherche, ajoutant que les sanctions prises contre la RPDC « ne fonctionneraient pas ».

Photo : source afp

17.12.2018


Déclaration du chef de service politique   de l’Institut des Etats-Unis

 Le 16 décembre, le chef de service politique de l’Institut des Etats-Unis du ministère des AE a rendu publique une déclaration.La déclaration note entre autres choses :Lors de l’historique sommet RPDC-USA en juin dernier au Singapour, les Dirigeants des deux pays se sont engagés à améliorer les rapports coréo-américains. Ce fut un évènement significatif pour assurer la paix et la sécurité dans la région et le reste du monde. Actuellement ces rapports évoluent suivant la ferme volonté des Dirigeants des deux pays d’appliquer loyalement la Déclaration commune RPDC-USA de Singapour.Pourtant, les Etats-Unis ne cessent de perpétrer, contrairement à l’évolution d’une telle situation, des actes d’hostilité abominables contre la RPDC, ce qui me stupéfie et m’indigne.Pendant les six mois ayant suivi ledit sommet, les politiciens américains de haut rang, surtout le secrétaire d’Etat, nous ont calomniés chaque jour avec méchanceté ; le département d’Etat et celui des Finances ont adopté huit sanctions contre compagnies, particuliers et bateaux de notre pays et aussi d’autres pays, y compris la Russie et la Chine, sous divers prétextes : lavement du fonds, transactions illégales par l’échange de charges entre bateaux et cyberattaque.Ces derniers jours, ils redoublent de frénésie dans leur campagne des droits de l’homme contre notre République. Ils sont allés jusqu’à inscrire des cadres responsables de notre République, Etat souverain, sur la liste des objets de leurs sanctions séparées en invoquant le « problème des droits de l’homme ». Actuellement, la communauté internationale applaudit chaleureusement aux mesures de dénucléarisation dont nous avons pris l’initiative, et exige unanimement des Etats-Unis qu’ils répondent à nos efforts. Le Président Trump lui-même exprime à chaque occasion sa volonté d’améliorer les rapports RPDC-USA.C’est en ce moment que le département d’Etat américain cherche, à l’encontre de la parole du président, à faire retourner ces rapports au point de départ de l’année passée.Quand ils sont des diplomates de l’« unique superpuissance », ils devraient savoir au moins que les sanctions et la pression ne sont pas de mise à notre égard.Puisque nous savons trop bien que l’hostilité coréo-américaine profondément enracinée ne sera dissipée d’emblée, nous prétendons améliorer les rapports RPDC-USA en faisant un à un, à commencer par ce qu’est possible, et par étape, et en privilégiant la création de la confiance mutuelle.Si les politiciens de haut rang au sein de l’administration américaine, y compris le département d’Etat, croient pouvoir nous faire renoncer au nucléaire en intensifiant plus que jamais leurs sanctions et pression, et leur campagne des droits de l’homme contre nous, ces agissements n’ayant rien à voir avec la création de la confiance mutuelle, ils se trompent le plus grossièrement du monde, et le chemin conduisant à la dénucléarisation de la péninsule coréenne risque d’être fermée pour toujours, résultat que nul ne souhaite voir se produire.Nous conseillons aux Etats-Unis d’appliquer loyalement la déclaration commune RPDC-USA de Singapour, conscients, ne fût-ce que maintenant, que la « pression maximale » ne produira son effet sur nous.


               Articles connexes et commentaires

La Corée du Nord s’attaquerait au bitcoin pour pallier les sanctions de l’Onu

SputnikNews 28.11.2018

A la recherche de nouveaux moyens pour contourner les sanctions internationales dont elle fait l’objet, la Corée du Nord se serait mise à vider les portefeuilles électroniques des détenteurs de cryptomonnaies.

Les collaborateurs de sociétés antivirus sud-coréennes ont signalé que des hackers agissant sur ordre des autorités nord-coréennes avaient déjà tenté de pirater les crypto-bourses, mais que c’était la première fois qu’ils essayaient d’extorquer des fonds de comptes individuels, écrit le quotidien Kommersant.

Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères
© SPUTNIK . VITALIY BELOUSOV

 Corée du Nord: dénucléarisation et assouplissement des sanctions «doivent aller de pair»      

   De plus, Pyongyang aurait procédé à un transbordement illégal de pétrole en mer et aurait tenté de faire entrer des devises étrangères en contrebande. Il y a quelques jours, la douane de Vladivostok a arrêté un citoyen nord-coréen qui tentait de passer la frontière avec 192.000 dollars dans une boîte de chaussures.

«La particularité des cryptomonnaies est que si vos bitcoins ont été volés, vous ne pouvez vous plaindre à personne. C’est pour cette raison que les hackers les prennent de plus en plus souvent pour cible», a déclaré Kwon Seok-chul, directeur de Cuvepia.

D’après l’expert, les hackers envoient aux propriétaires de portefeuilles des courriels infectés qui lancent un virus transmettant le contrôle de l’ordinateur au malfaiteur.

SWIFT
© PHOTO. FACEBOOK / SWIFT COMMUNITY

  Poutine: la Russie et ses partenaires vont vers une émancipation du système SWIFT   

   Début novembre, la société sud-coréenne Inksit Group a déclaré que les pirates nord-coréens membres du Lazarus Group volaient activement des fonds dans les crypto-bourses sud-coréennes en piratant les ordinateurs de leurs employés. Les pirates nord-coréens sont également soupçonnés d’être derrière les tristement célèbres Interstellar Coin et Marine Chain, ICO (levée de fonds) dont les participants ont perdu des dizaines de milliers de dollars. Pyongyang est poussé à commettre de tels actes après avoir été débranché du système de communication interbancaire SWIFT et des opérations financières internationales.

Outre le vol de fonds des utilisateurs de cryptomonnaies, la Corée du Nord aurait augmenté ces derniers mois ses importations de pétrole de contrebande, affirment les interlocuteurs du Wall Street Journal à l’Onu. Les navires nord-coréens testent constamment de nouvelles méthodes pour contourner les sanctions internationales, qui interdisent au pays de commercer avec le monde extérieur au-delà de la limite établie — qui est très basse. Par exemple, les sources du quotidien américain rapportent que les navires nord-coréens se font passer pour des navires d’autres pays, naviguent sans transpondeur et transbordent activement les produits d’autres navires en mer, sans entrer au port. Sur les plateformes officielles de l’Onu, les USA n’ont toujours pas fourni de preuves tangibles de violation à grande échelle des sanctions par la Corée du Nord.

Pyongyang
© SPUTNIK . VITALI BELOOUSSOV

Les USA ont-ils envisagé de mener une frappe nucléaire contre la Corée du Nord?

      Hormis les méthodes sophistiquées de contournement des sanctions, la Corée du Nord utiliserait également des moyens assez traditionnels. Ce 26 novembre, la douane de Vladivostok a arrêté un Nord-Coréen qui tentait de s’envoler pour Pyongyang avec 192.000 dollars non déclarés. Il avait tenté de franchir le couloir vert avec une boîte à chaussures contenant cet argent. La revue Prima Media rapporte que début octobre, les douaniers avaient arrêté un autre Nord-Coréen essayant de passer la frontière avec près de 180.000 dollars. Les deux contrevenants risquent la prison et une amende quinze fois supérieure à la somme non déclarée.

Naenara  17.12.2018

Déclaration du porte-parole de l’AEDHC

Le porte-parole de l’Association d’études des droits de l’homme de Corée a publié le 4 novembre une déclaration pour condamner un « rapport » présenté trois jours plus tôt par « Human Rights Watch », organisation siégée aux Etats-Unis, indiquant que se multiplient en RPDC des actes de violence sexuelle.

La déclaration a noté entre autres choses.

Le rapport rendu public par cette soi-disant organisation pour les droits de l’homme habituée à nous considérer au hasard comme ennemi est un document frauduleux on ne peut plus infâme, issu des propos insensés qu’avaient proférés une poignée d’ordures humaines ayant fait défection sans hésitation après avoir commis un crime contre la patrie et le peuple, en abandonnant même leurs parents et enfants pour sauver leur vie ignoble. Nul besoin donc pour nous d’en parler.

Le problème est qu’avec la publication de ce « rapport », la presse américaine à la solde du gouvernement lance une campagne de calomnie contre la RPDC.

Notre peuple et aussi le monde entier sont frappés de stupéfaction devant ces actes anormaux et provocateurs qui se perpètrent au moment où la péninsule coréenne assiste à une tendance à la réconciliation et à la coopération et que sont accomplis des efforts pour l’établissement d’un système de paix permanent et durable dans cette péninsule et la région.

C’est une partie des complots politiques des forces hostiles à notre République qui s’opposent à la paix et à la stabilité de la péninsule coréenne et qui cherchent à ternir l’image de notre pays, aussi bien qu’une provocation fort dangereuse pour renverser le courant de la paix et de la prospérité de la péninsule coréenne.

L’AEDHC condamne résolument et avec véhémence la campagne menée par nos ennemis contre notre République au sujet des droits de l’homme, en la considérant comme un grave acte de provocation politique contre notre Etat, comme un agissement irréfléchi et immoral de nature à insulter la dignité sacrée de nos femmes.

Dans notre pays, les femmes exercent les mêmes droits que les hommes, de même que sont arrêtées bon nombre de mesures juridiques et administratives pour le développement des femmes et la protection et l’amélioration de leurs droits dans tous les domaines des activités étatiques et de la vie sociale.

Parler pourtant des « droits de l’homme » en inventant des mensonges monstrueux, cela constitue une grave violation de la souveraineté de notre République et une insulte intolérable à l’égard de notre peuple qui jouit à volonté de la civilisation socialiste.

Si à cause des tentatives odieuses des forces hostiles qui s’acharnent à la campagne d’intrigue contre notre République en profanant jusqu’à la dignité des femmes sous le prétexte de la « défense des droits de l’homme », le contexte de paix et de stabilité créé avec tant de peine dans la péninsule coréenne se dégrade, les organisations droits-de-l’hommistes contre notre République et les forces hostiles qui les soutiennent en endosseront la responsabilité entière


Les États-Unis exhortés à appliquer la déclaration commune  de Singapour du 12 juin

Une déclaration commune signée par 71 organisations de compatriotes d’outre-mer aux États-Unis. et le Canada et l’Europe, l’Asie et l’Océanie, 59 personnalités américaines et 81 organisations de la société civile pour la paix et les droits civils ont été rendues publiques le 6 décembre, selon le journal Internet sud-coréen Jaju Sibo.La déclaration appuyait pleinement la déclaration de Panmunjom, la déclaration commune de Pyongyang de septembre et la déclaration commune de Singapour du 12 juin.Les accords conclus lors des réunions au sommet nord-sud et lors de la réunion au sommet entre la RPDC et les Etats-Unis serviront de base pour prévenir le danger de guerre et mettre en place un mécanisme de maintien de la paix permanent et durable dans la péninsule coréenne.Il a exhorté les Etats-Unis à prendre des mesures concrètes pour améliorer les relations entre la RPDC et les Etats-Unis, par exemple en levant les sanctions contre le nord et en les supprimant de la liste des « Etats qui parrainent le terrorisme ».KCNA / 15.12.18

URL: http://www.pyongyangtimes.com.kp/?bbs=28510

15.12.2018


 La tentative du Japon de tendre la situation régionale

Le gouvernement japonais a récemment exprimé sa volonté de formaliser l’utilisation des porte-avions par la révision de son programme de défense.Les forces conservatrices demandent instamment au Japon de posséder à nouveau des porte-avions qu’il avait abandonnés après la Seconde Guerre mondiale. À l’heure actuelle, le Japon dispose de deux navires d’escorte d’hélicoptères qui peuvent être transformés en porte-avions et il envisage de disposer de chasseurs furtifs perfectionnés F-35B capables de décoller à courte distance et d’atterrir verticalement à bord des navires. Il n’y a pas si longtemps, le Japon a également commandé 100 chasseurs furtifs F-35 fabriqués aux États-Unis.À présent, les autorités japonaises les décrivent avec obstination comme un «bateau-mère polyvalent» dans le but d’éviter les manifestations internationales à leur encontre.La tentative du Japon de posséder des porte-avions montre clairement que son expansion à l’étranger a déjà dépassé le stade de la planification et en est au stade pratique.Le 29 novembre, un journal suisse a déclaré que la possession de porte-avions par le Japon était contraire à sa constitution et que ce n’était pas une sage décision pour lui de les faire résister à la Chine.Le 7 décembre, le journal sud-coréen Kyunghyang Daily News dénonçait la tentative du Japon de nuire à la stabilité régionale en augmentant la tension militaire en Asie du Nord-Est et en incitant à une course aux armements, demandant instamment au Japon de cesser immédiatement atmosphère de paix dans la péninsule coréenne.La possession de porte-avions par le Japon ne ferait que compliquer davantage la situation tendue dans les environs.À l’heure actuelle, les forces d’autodéfense du Japon disposent de puissantes forces terrestres, navales et aériennes qui se classent parmi les meilleurs pays du monde occidental.Par conséquent, la Chine, la Russie et de nombreux autres pays surveillent de près les dangereux mouvements du Japon vers une puissance militaire.Par Song Jong Ho PT

URL: http://www.pyongyangtimes.com.kp/?bbs=28498

Naenara 29.10.2018

Réponse du directeur de l’hôpital d’amitié de Pyongyang

Répondant à la question posée le 27 octobre par un reporter de l’ATCC , le directeur de l’hôpital d’amitié de Pyongyang a condamné des opinions qui se font entendre aux Etats-Unis, déformant la vérité sur la cause de la mort de l’étudiant américain Warmbier.

Il a indiqué notamment :

Quant à Warmbier, il a été condamné en janvier 2016 aux travaux correctionnels pour avoir perpétré chez nous des actes criminels contre notre République et remis en liberté pour raison de santé en juin 2017. Après son retour aux Etats-Unis, il est mort.

Pourtant plusieurs docteurs américains, y compris médecin traitant, qui se prétendent d’avoir participé à l’examen médical et au traitement de Warmbier, ont affirmé le 10 octobre de cette année que le résultat de l’examen leur a permis de conclure que « des dents de celui-ci ont été déplacés par une force physique extérieure et que l’os de la gencive lésé ». Puis ils ont fait part au tribunal local de la Fédération siégeant à Washington d’un « jugement médical » selon lequel « Warmbier est mort à la suite de tortures », dit-on.

Pire encore, Haley, représentant américain à l’Onu, a braillé lui aussi que « c’est en Corée du Nord que Warmbier a été mort à cause de tortures et que c’était un acte scélérat. »

Ces prétentions tout à fait mensongères me remplissent d’indignation, moi, directeur de l’hôpital l’ayant traité directement.

Comme l’a reconnu Warmbier lui-même dans une conférence de presse, les hommes de notre hôpital l’ont soigné de bon cœur, de façon humanitaire, jusqu’à son retour aux Etats-Unis, bien qu’il soit un criminel ayant commis des actes d’hostilité contre notre République.

Au moment de son retour, les indices de sa vie étaient entièrement normaux. Cela, même les docteurs américains venus chez nous pour le rapatriement de Warmbier l’ont reconnu et ils ont présenté à notre hôpital une confirmation écrite qu’il sont d’accord avec nos docteurs pour le résultat du diagnostic concernant la santé de celui-ci. Nous le conservons encore tel quel ce document.

De même, USA Today en date du 21 juin 2017 a écrit que, d’après un neurologue cérébral de l’université Cincinnati aux Etats-Unis, l’examen médical a confirmé qu’il n’y a pas de traces d’un mauvais traitement physique, tel que la casse osseuse et la légion intestinale, et que Warmbier est retourné en bonne santé.

En outre, la radio NBC a informé le 27 septembre 2017 qu’un médecin légiste de l’Etat d’Ohio, Etats-Unis, a indiqué dans son rapport qu’il a examiné en détail pour découvrir une preuve de torture, mais en vain, et que des dentistes légaux n’ont pas trouvé, eux non plus, de preuves de blessure au cours de leur examen dentaire de Warmbier.

Mais voilà que certains docteurs américains émettent en ce moment des avis différents. Quel est leur objectif ?

L’appréciation médicale doit être objective et correcte, sans se laisser influencer par une ambition égoïste ou un intérêt politique.

Celui qui fait grand cas de la vérité devrait exiger une enquête permettant de savoir pourquoi Warmbier est mort brusquement dès son retour aux Etats-Unis, lui qui avait les indices normaux pour la vie jusqu’à sa remise en liberté.

Comme par le passé, notre République traite toujours les détenus en conformité avec les droits et normes internationaux

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