Rencontre anti-algérienne à Paris parrainée par la DST marocaine

Ce qui était un secret de polichinelle se confirme de jour en jour. La collusion entre le groupe terroriste séparatiste MAK, le Makhzen et ses relais médiatiques. L’objectif est unique: nuire au maximum à l’Etat national algérien en distillant une propagande insidieuse, malsaine et hostile contre ses fondements et ses symboles.

C’est ainsi que le chef terroriste du MAK Ferhat Mehenni, son bras droit, Brahim Aksel Belabaci et le propagandiste subversif Hichem Aboud se sont rencontrés à Paris, dans un café du XVIème arrondissement, il y a quelques jours, réunis à la même table par un agent des services des renseignements marocains, le dénommé Rachid Raha.

La subversion est claire comme de l’eau de roche. Le Makhzen, en qualité de sous-traitant de l’entité sioniste, manipule et aiguille le groupe terroriste MAK. La Direction de surveillance du territoire (DST) de Abdellatif Al-Hammouchi, a bel et bien organisée la réunion entre Mehenni, Belabaci, Abboud et Raha. C’est d’ailleurs la présence de ce dernier, ainsi qu’une cinquième personne, également affiliée aux services d’Al-Hammouchi, qui confirme les desseins anti-algériens de la DST.

Condamnés par la justice algérienne et faisant l’objet de mandats d’arrêt internationaux, le duo Mehenni-Aboud, et leur mentor marocain, n’ont pas hésité à poster une photo de la rencontre sur les réseaux sociaux dans le but de narguer les autorités et la justice algériennes et avant tout les citoyens algériens, fervents défenseurs de la cause palestinienne et sa jumelle sahraouie.

Ce n’est pas un hasard si la DST marocaine met en réseau Ferhat Mehenni, son adjoint et Hicham Aboud. Si les connivences avec le makhzen sont assumées par l’ancien militaire en exil,  Mehenni et Aksel sont devenus des habitués des plateaux des télévisions sionistes et makhzeniens.

Les voyages de Ferhat auprès de l’entité sioniste, qui ne manque aucune occasion pour l’encenser, et auprès du Makhzen qui l’utilise dans sa rhétorique anti-algérienne sont la preuve de sa compromission avec ces deux régimes anti-démocratiques, coloniaux et oppresseurs.

D’ailleurs, seuls Tel Aviv et Rabat affichent leur soutien au MAK, quoi de plus anodin pour des régimes dénoncés par l’Algérie comme des colonisateurs qui asservissent deux peuples qui luttent pour leur indépendance et leur dignité : les peuples palestinien et sahraoui.

Dans leurs tentatives de nuire à l’Algérie en actionnant les mêmes leviers médiatiques, les services du Makhzen entendent réactiver un réseau comprenant des terroristes sécessionnistes, des agitateurs subversifs dans l’optique de lancer la guerre de quatrième génération contre les institutions et le peuple algériens.

Coqueluche des médias à la solde du Palais royal, Ferhat Mehenni a même été invité, il y a quelques mois, par le régime de Rabat à la coupe du monde des clubs de football. C’est finalement son « vice-président », Brahim Aksel Belabassi qui a fait le déplacement à sa place.

Ainsi, Ferhat Mehenni tout comme Hicham Aboud, servent un agenda. Un agenda anti-algérien, néocolonial et fragmentaire qui veut fractionner l’Algérie, la faire disparaître de la carte et mettre la main sur son territoire et ses richesses. Un agenda non seulement à la solde des intérêts du Makhzen, mais aussi de ceux de l’entité sioniste qui manipule ce dernier pour assoir sa mainmise sur la région du Maghreb. Evidemment, pour arriver à ses fins, Tel-Aviv utilise un Makhzen sionisé comme sous-traitant pour affaiblir à tout prix l’Algérie.

Le problème pour Rabat, comme pour Tel-Aviv ce sont les positions de principes de l’Algérie et son soutien indéfectible aux causes justes des peuples palestiniens et sahraouis. La DST d’Al-Hammouchi, en sous-traitant du Mossad israélien entend justement déstabiliser en distillant des propagandes erronées, des Fake News et toute une panoplie de désinformation afin de créer un climat de suspicion, de désengagement, de doute et de désespoir au sein de la société algérienne.

C’est pourquoi, la DST et son parrain sioniste, utilisent des personnes subversives présentées comme des « influenceurs » dont la mission est de démoraliser la société algérienne via des chaines YouTube et des passages sur les plateaux des télévisions sionistes et marocaines.

La dernière réunion de Paris, dans une cafétéria démontre néanmoins les limites d’un jeu malsain et perdu d’avance, celui d’une volonté de déstabilisation d’une Algérie qui aspire à rejoindre les BRICS alors que le peuple marocain se débat dans ses problèmes socioéconomiques quotidiens, et que la monarchie marocaine est plus que jamais discréditée à coup de scandales successifs : Pegasus et Moroccogate.


 

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