Sur un air de flûte d’Assia Djebar
Dans Ces voix qui m’assiègent, Assia Djebar mettait en garde : « L’écrivain est parfois interrogé comme en justice : « Pourquoi écrivez-vous ? » A cette première question banale, une seconde souvent succède : « Pourquoi écrivez-vous en français ? » On eût pu croire que cet interrogatoire prît fin avec son entrée sous la Coupole....