Les déjections journalistiques de Jean-Pierre Sereni
Chaque élection présidentielle algérienne offre à des journaleux saltimbanques, des analystes troubadours et autres professeurs Nimbus, un grand chapiteau de fête foraine avec femme à barbe, cracheur de feu et homme-canon. Dans ce registre, on se rappelle de l’« éminent » professeur américain Robert Zaretsky qui, à peine deux semaines ...