Alger : « Des terroristes arrivés comme réfugiés en Algérie » avec l’aide « d’ONG sionistes »

Algérie: le méga revers CIA/Mossad (Zoom Maghreb)

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Alger : « Des terroristes arrivés comme réfugiés en Algérie » avec l’aide « d’ONG sionistes »

C’est un article bien significatif que le journal El-Watan citant le ministère algérien de l’Intérieur fait publier. L’article reprend mot à mot les précédentes analyses de Zoom Maghreb.

Depuis les premiers jours de la pseudo-guerre libyenne que d’aucuns affirmaient qu’elle est concentrée sur le pétrole, Zoom Maghreb y a vu un vaste complot contre l’un des pays arabes les plus anti-Israël du monde à savoir l’Algérie : cette guerre entre amis, Turquie et Émirats étant tous deux des alliés de l’OTAN et donc des États-Unis, le déploiement des bases aériennes ottaniennes sur les frontières avec l’Algérie et de placer ainsi son ciel sous la surveillance US/OTAN.

Ankara a aussi placé un corridor maritime pour transférer les terroristes d’Idlib vers la Libye. Vint ensuite le tour de la signature des accords sécuritaires turcs avec le Niger pour placer ces mêmes terroristes sur la frontière sud-algérienne tandis que la France, elle, travaillant à la déstabilisation du Mali et à l’affaiblissement de son armée y a fait son coup d’État. Et tout ceci, alors qu’en Méditerranée occidentale, un autre pseudo bataille, celle du gaz oppose la France à la Turquie là encore avec en toile de fond le déploiement de l’armada otanienne près des côtes algériennes.

Le directeur d’étude au ministère algérien de l’Intérieur en charge du dossier des migrations a révélé au quotidien El-Watan que des terroristes venus de zones de combat au Moyen-Orient sont entrés en Algérie par le sud avec le statut de réfugié. « Leur but est d’attenter à notre sécurité au moment opportun », affirme-t-il. Et il a raison. Surtout que ces terroristes sont censés servir de levier de pression sur l’État algérien pour qu’il rallie la sphère trop restreinte pro-Israël en Afrique du nord, le Maroc faisant évidemment exception à la règle.

Le rapport dit  :  en 2018, des réseaux djihadistes venus de toutes les zones de combat, du nord de la Syrie et du Yémen, « ont tenté de se redéployer sur le territoire national via les frontières du Mali et du Niger, leur but étant d’attenter à notre sécurité au moment opportun » : « le complot a visé l’Algérie depuis Tamanrasset, zone frontalière pétrolifère sensible et stratégique, a été mis sur pied avec le concours actif de certaines associations nationales infiltrées par des réseaux étrangers ». On est donc en pleine opération « hybride » contre l’Algérie qui implique souvent des ONG « caritatives » pilotées par les services secrets étrangers.

Pour ce cas particulier, hélas, le Vatican y est pour quelque chose : l’ONG Caritas du Vatican dont le conseil d’administration est un véritable nid d’espions qui a soutenu des actes subversifs en Amérique latine (Venezuela, Bolivie ?!). Son but? Ouvrir les frontières sud du pays à une migration massive subsaharienne pour faire de l’Algérie un territoire de substitution aux réfugiés, chassés par les multinationales, comme au Congo, dans la province du Kivu, où plus de 500 000 Congolais ont été chassés par les entreprises minières étrangères vers l’Angola, expose-t-il, précisant que « le terrorisme et les groupes armés ont été mandatés pour chasser les populations installées dans des zones à fortes potentialités minières ».

Le rapport n’oublie évidemment pas la main d’Israël et du sionisme dans le financement et la feuille de route à appliquer de ces ONG avant de revenir sur les troubles récents à la frontière algéro-malienne : « leur objectif consistait à entraîner les Touareg algériens vers des revendications séparatistes », et ce, à l’appui des dysfonctionnements de l’État dans ces régions. Comme toujours donc les frontières des grands États sont visées dans ces opérations de déstabilisation.

Source : PressTv avec Sputnik

-Développement des champs pétroliers et gaziers : plusieurs accords signés

Des contrats d’un montant global de 67 milliards de dinars ont été signés ce mardi 8 septembre à Alger par la compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, avec ses filiales ainsi que d’autres entreprises algériennes dans le cadre du développement de champs gaziers et pétroliers à l’ouest du pays.

Ainsi, lors de la cérémonie de signature, présidée par le PDG de Sonatrach, Tewfik Hakkar, le Groupe public a confié à six entreprises algériennes à savoir, ENGCB, SARPI, ENGTP, ENAC, KANAGHAZ et COSIDER Canalisations, la construction des réseaux de collecte et des lignes d’expéditions du projet de développement des champs gaziers du Sud-Ouest du pays et qui totalisent une longueur de plus de 700 km.

« Vu l’importance de ce projet, nous l’avons divisé en plusieurs projets pour permettre un gain de temps. L’autre objectif est d’assurer un plan de charge au profit des filiales de Sonatrach et des entreprises algériennes surtout après le contexte suscité par la crise sanitaire », a fait savoir M. Hakkar lors d’un point de presse en marge de cette cérémonie.

Il a ainsi indiqué qu’une fois réceptionné, ce projet permettra d’assurer un apport de production de gaz estimé à 11 millions m3/jour à l’horizon 2022. Dans le même contexte, Sonatrach a signé avec le Groupement SARPI/SAFIR un contrat relatif au développement des champs pétroliers à l’ouest de TOUAT.

« Ce projet permettra d’alimenter la raffinerie d’Adrar à raison de 6 000 barils/j de pétrole brut d’ici 2022 », a expliqué le PDG de Sonatrach…

Source : aps.dz


 

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