Le développement durable : enjeux et défis pour l’Algérie

Par Amine Kherbi (*)
En ces temps d’incertitude, l’actualité pressante du développement durable et l’ampleur des problèmes transnationaux auxquels nous faisons face soulignent l’importance de concilier les objectifs de performance économique et les exigences de protection de l’environnement en ayant en vue la nécessité d’une approche intégrée pour traiter ces questions qui ne peuvent recevoir que des réponses globales.
C’est par l’éducation, l’information et la sensibilisation que des solutions pertinentes et viables pourront être trouvées pour remédier aux difficultés d’un développement socialement et écologiquement durable. L’amélioration du cadre de vie a également un rôle important à jouer à cet égard. L’alimentation en eau potable, l’habitat décent, les espaces verts, le traitement et le recyclage des déchets devraient occuper une place prioritaire dans toute stratégie de développement durable. Celle-ci doit comporter un projet pour les villes(1) afin de prendre en charge la gestion locale des transformations sociales et de l’environnement ainsi que des programmes qui leur sont connexes.
Voilà pourquoi il faut mettre en évidence le volet socio-économique et culturel de ces programmes. Tant au stade de leur conception que de leur mise en œuvre, les actions dans ce cadre doivent être complémentaires et concertées de façon à tenir compte des problématiques environnement-développement, éducation-santé, culture-communication et de l’utilisation de l’ensemble des moyens économiques permettant d’assurer aux générations futures et présentes la croissance de leur bien-être.
Plus que jamais, la prise de conscience de l’impact du réchauffement climatique sur le mode de vie incite à agir dans l’urgence. Notre meilleur atout pour l’avenir est la célérité avec laquelle nous pourrons conjuguer nos efforts afin de trouver des solutions efficaces à ce problème aux plans national, régional et mondial.
À cet égard, l’importance du rôle joué par les individus et les organisations qui se consacrent à la protection et à l’amélioration de l’environnement est à mettre en évidence. L’État devrait encourager les initiatives du public et l’aider à mieux comprendre les problèmes liés à la qualité de vie et à apporter son concours dans le domaine de l’éducation écologique.
L’organisation du développement durable doit correspondre à notre stratégie de diversification de l’économie, de valorisation de nos ressources naturelles et de leur utilisation rationnelle grâce au recours aux technologies adaptées au développement des énergies renouvelables et de l’agriculture intelligente dans le respect des grands équilibres économiques.Encourager les initiatives locales et l’exode urbain
En liaison avec les activités menées dans le cadre du programme national pour l’environnement, la stratégie d’ensemble devra prendre en considération les initiatives locales visant à trouver des solutions appropriées aux problèmes sociaux et environnementaux en étroite association avec les citadins et les collectivités concernées.

Aujourd’hui, notre pays souffre d’une mauvaise image écologique du fait de certains choix en matière de gestion des établissements urbains révélateurs des dysfonctionnements actuels, notamment le manque d’encadrement en formation des planificateurs et des gestionnaires à des activités de sensibilisation et au partage des expériences concernant la gestion sociale et environnementale des villes. À cela s’ajoutent les carences notoires dans la diffusion des informations pertinentes auprès des décideurs, des associations locales et des médias. L’incivisme d’une frange de la population, l’attitude irresponsable de certains élus locaux et les agissements de bureaucrates véreux mettent en péril la qualité de la vie et la sécurité dans les centres urbains. Un sursaut est nécessaire.
Une vision cohérente et une démarche prospective doivent sous-tendre les programmes de développement local intégrant une dimension qualitative et sociale de l’environnement. C’est ainsi que nous pourrons éviter un développement en grappes où l’industrie appelle l’industrie, au mépris de la vocation naturelle de la zone à mettre en valeur et de l’équilibre géographique. La préservation de la diversité biologique dans l’intérêt de tous revêt à cet égard une grande importance.
L’espace rural doit être aussi protégé grâce au soutien à apporter au secteur agricole et au développement d’activités économiques rémunératrices qui préservent un cadre de vie et des paysages auxquels nous sommes très attachés. Pour conforter notre stratégie de développement local et d’intégration régionale, il nous faudra donc dégager des marges de manœuvre permettant de concilier performances économiques, sociales et environnementales.
Cette nouvelle dynamique de l’espace rural peut trouver un terrain de prédilection dans certaines régions du pays où les prédispositions géographiques favorisent les avantages comparatifs construits grâce à la distribution des hommes et des activités. Il nous faut un point de départ qui nous permettrait de lancer le mouvement. Le retard considérable accumulé au cours des dernières années et la montée des périls incitent à la vigilance et à la volonté d’agir rapidement pour inverser cette tendance négative dont nous connaissons les conséquences irrémédiables pour les générations actuelles et futures.
Aussi, faudra-t-il recourir à un reclassement des priorités fondé sur une véritable solidarité entre territoires. La lutte contre les dangers qui nous guettent requiert en effet l’instauration, avec notre environnement, d’une relation nouvelle qui procurera à tout un chacun une qualité de vie meilleure.
C’est la raison pour laquelle nous devons encourager l’exode urbain, c’est-à-dire une inversion de l’exode rural, et prendre à bras-le- corps les problèmes de la déforestation et la désertification dans les zones arides et semi-arides. Cela suppose la recherche de solutions fondées sur les évaluations scientifiques ainsi que le renforcement des capacités humaines et institutionnelles à travers la mise en place d’un réseau de formation combinant l’écologie, l’économie, les sciences sociales et les technologies appropriées.
La gestion des ressources en eau constitue, dans cette optique, un objectif hautement prioritaire.(2) Des actions spécifiques visant à instituer des pratiques compatibles avec le développement durable dans les zones arides et semi-arides devraient être encouragées. La recherche sur le volume, la qualité et l’utilisation rationnelle des eaux souterraines représentera une autre priorité.
Dans toutes ces activités, l’accent devrait être mis sur le renforcement de l’approche transdisciplinaire nécessaire pour traiter les questions d’environnement et de développement impliquant une interaction étroite entre les stratégies locales et une mobilisation accrue des acteurs de la société civile et des personnalités susceptibles d’influencer l’opinion et le monde des médias. L’enjeu est d’arriver à harmoniser la protection de l’environnement avec les impératifs du développement.Favoriser une approche nouvelle de l’aménagement du territoire
La combinaison de ces deux dimensions conduit à proposer une approche entièrement nouvelle de l’aménagement du territoire. La répartition des activités productives à travers les régions du pays doit en effet correspondre à la vision de l’équilibre géographique que nous devons adopter et de l’innovation soutenable pour promouvoir le développement local sur des bases renouvelées permettant une coopération entre tous les acteurs locaux qui repose sur les enjeux du développement durable. Une approche plus large et une mobilisation plus grande sont nécessaires pour résorber les inégalités, éliminer les poches de pauvreté et réduire les dégradations qui résultent d’un développement économique débridé.
La transition vers le développement durable implique la nation dans son ensemble. Nous sommes individuellement et collectivement concernés. Il nous appartient de mobiliser tous les acteurs de la société pour opérer les adaptations et les conversions nécessaires de notre système de production afin de promouvoir un nouveau mode de vie traduisant notre volonté de responsabilité et notre aptitude à maîtriser solidairement notre destin.

Dans le contexte de crise que nous vivons et face à l’avenir qui est en jeu, de vraies questions concernant notre vécu propre se posent à nous dans des termes qui mettent en évidence notre place par rapport à l’ordre des choses et notre relation avec la nature. Notre avenir se joue entre la logique du vivant et celle du matériel. Avec la façon dont l’économie traite le développement durable, nous constatons que la prédominance de la variable matérielle sur la ressource humaine a un sens politique. Elle justifie la subordination de l’ordre des hommes à l’ordre des choses. Mais chacun comprend que, par les temps qui courent, il faut rejeter les vraies fausses idées car c’est en niant les conflits entre les sphères que l’on contribue à les aggraver.
Une politique d’aménagement du territoire active et efficace doit faire l’objet d’un large débat sur sa mise en œuvre et d’une évaluation contradictoire sur ses impacts sociaux et écologiques par les wilayas et les administrations centrales avec le concours d’experts indépendants. C’est ainsi que pourrait être assurée la conformité des programmes de développement local avec les schémas de protection des paysages, des espaces et les plans d’occupation des sols. Aussi, devrait-on envisager une politique volontariste de segmentation de l’espace favorisant la restauration des sols, le reboisement, le développement de l’agriculture de montagne et du petit élevage pour créer un équilibre entre les hommes et les activités sur le territoire.
De ce point de vue, la promotion du tourisme vert est à encourager pour restaurer les paysages et valoriser les grands espaces non habités. Les solutions à apporter aux problèmes agricoles et à celui du renouvellement des fonctions de l’espace rural seront cruciales pour l’avenir de ces territoires. Il faudrait également préserver les forêts primitives et leurs ressources génétiques en protégeant la forêt contre les incendies.
Une stratégie globale de prévention est indispensable. C’est une arme pour les pouvoirs publics, les citoyens et les associations dans la lutte contre le crime organisé lié à la spéculation foncière. Désormais, nulle politique ne peut ignorer l’importance de l’équilibre écologique et de la nécessité d’une action d’aménagement du territoire novatrice. Ce sont des enjeux majeurs pour l’avenir.
Toutefois, pour que la croissance économique entraîne le développement social, les critères de justice environnementale doivent être pris en considération. La question de l’équité entre générations, lourde d’inconnues et de surprises, mériterait aussi quelque attention à un moment où il est important de faire vivre un modèle inclusif permettant aux citoyens de donner le meilleur d’eux-mêmes au bénéfice de la collectivité.
S’impose ainsi une solidarité territorialisée pour faire face notamment à l’insécurité et à la violence urbaines, aux problèmes de la santé, de l’environnement et de l’alimentation qui sont autant de risques pour la société.
Par ailleurs, l’interaction entre le global et le local demande une nouvelle intelligence stratégique aux entreprises comme aux institutions. De sorte qu’à l’organisation et au management de fonctions cloisonnées succède une réallocation dans l’espace de l’ensemble des fonctions de l’entreprise. Le rôle de régulation et de coordination de l’État doit être réaffirmé pour donner tout son sens à la mise en cohérence des initiatives régionales et locales.
Désormais, la décentralisation confronte aussi nos institutions au retour du territoire, à l’efficacité de la politique locale et aux conditions de la légitimité de l’action collective dans la mise en œuvre des politiques publiques. Il faut donc repenser les choses en développant des conceptions adaptées à la société de la connaissance, à l’économie numérique et à de nouvelles formes de sociabilité favorisant l’épanouissement des individus et confortant la promotion de la démocratie participative, de la société civile et de l’État de droit.
Le processus de décentralisation ne saurait avoir un caractère durable sans la participation des citoyens aux affaires de la cité, l’engagement de tous les acteurs locaux et la présence effective de l’État afin de maintenir des relations d’interaction avec les partenaires concernés en s’adaptant à leurs besoins particuliers et à leur situation spécifique. C’est ainsi que toutes les parties prenantes pourront bénéficier d’expériences et d’idées accumulées dans le pays.
À l’évidence, l’accès aux connaissances scientifiques et techniques est décisif pour une mise en œuvre effective d’une politique d’aménagement du territoire répondant aux exigences de la cohésion sociale et de la cohérence territoriale. C’est une nécessité dans le monde moderne car elles sont à la fois l’un des fondements de l’expertise préalable aux choix des acteurs publics et à la décision politique dans les domaines de la santé, de l’environnement, de la protection et l’exploitation des ressources. La lutte contre le coronavirus est à cet égard un bon exemple.Penser un nouveau modèle de développement
Les avancées dans les différents domaines de l’économie de l’environnement ne sont pas négligeables. Il faut les consolider. C’est en effet grâce à ces progrès que nous pourrons organiser la gestion des risques globaux qui requiert une démarche prospective, cohérente et intégrée. La réussite de la transition écologique appelle donc une volonté de changement et d’innovation. Nous avons besoin de penser un nouveau modèle de développement(3) en tirant parti des savoirs nouveaux, de la mobilisation des citoyens et de l’aspiration générale à une croissance respectueuse de l’environnement. Le choix d’une stratégie de développement est alors primordial. Le temps est au changement.

Le nouveau paradigme du développement exige l’interdisciplinarité. Un mode authentiquement transdisciplinaire s’impose en effet pour assurer une forme de communication, de coordination et de coopération plus efficace et soutenue entre les disciplines au niveau de la planification et de la mise en œuvre des activités. Sciences de l’environnement et sciences sociales ainsi que des actions associant la recherche, la formation, l’éducation, la culture et la sensibilisation devraient être privilégiées. Il faut se rendre à l’évidence. À mesure que se renforcent les interdépendances liées au développement, l’explication par le marché se révèle de plus en plus partielle et insuffisante.
D’autres paramètres sont à prendre en considération car, aujourd’hui, il n’est guère d’activité qui échappe aux conflits suscités par l’exigence d’un développement durable. Devant l’accélération du changement et l’accroissement de la complexité, nous ne devons pas négliger l’importance des tâches destinées à répondre aux besoins les plus urgents et ceux du moyen terme.
Dès lors, la qualité de vie devient une condition de plus en plus importante et de plus en plus directe du développement. C’est un objectif phare de «l’Agenda 2030 du développement durable» adopté par l’Assemblée générale des Nations unies en septembre 2015. L’Algérie a pris une part active à son élaboration et a soutenu son adoption. Elle s’emploie avec clairvoyance et détermination à la mise en œuvre de ses objectifs qu’elle a intégrés dans son plan national d’action environnementale et de développement durable.
Tout aussi urgente est la nécessité d’assurer une meilleure utilisation des nouvelles technologies pour stimuler les progrès réalisés par notre pays, notamment en matière de sécurité des ressources vitales nécessaires pour répondre aux besoins en eau et en énergie de la population. Dans un avenir prévisible, les vrais facteurs de blocage ne se situeront pas sans doute au niveau des pénuries en matières premières ou en énergie. De tout temps, la croissance économique a reposé sur la substitution de nouvelles forces motrices et de nouveaux matériaux à ceux que l’on connaissait à un moment donné. Dans le domaine de l’énergie, les perspectives offertes par les surgénérateurs nucléaires, la fusion de l’hydrogène et l’énergie solaire laissent prévoir, à terme, une phase d’abondance succédant à une période longue de difficultés relatives.

Cependant, d’aucuns éprouvent le sentiment que les conditions actuelles de la croissance ne pourront se poursuivre d’une façon indéfinie. Les vraies limites au développement des activités humaines tiennent à l’espace, au réchauffement climatique, à la déforestation, à la désertification, aux pluies acides, aux pollutions, aux multiples régulations naturelles que la croissance économique menace de détruire. S’ajoutent à cela l’accroissement des inégalités, l’ampleur de la corruption et le déficit de bonne gouvernance. Ce décalogue ne recouvre qu’une partie des objectifs de l’Agenda 2030 qui s’inscrivent dans le prolongement des huit objectifs du millénaire mis en œuvre depuis 2000. Quelle que soit l’importance des retombées que comporte la réalisation de ces objectifs, le défi à relever pour préserver la biodiversité nous impose une refondation de la pratique politique et un changement des mentalités et des modes de vie.

Plaidoyer pour un dialogue orienté vers l’action
Cette démarche prospective conduit à des pistes de solution ouvertes qui devraient nous orienter vers un modèle de développement durable tant du point de vue de l’efficacité ressources-emploi qu’au regard de l’environnement et de la qualité de la vie. Le temps est à l’action. Le lieu pour l’action, ce sont les collectivités locales. Un dialogue plus concret sur les futurs possibles est plus que jamais nécessaire entre les représentants de l’État, les partenaires sociaux et les acteurs de la société civile. Dans cette logique de concertation, le citoyen doit être associé pleinement.
L’effort à entreprendre appelle une prise de conscience de l’impact des interactions qui ne se limitent pas à l’économie et à l’environnement naturel mais s’étendent aussi, du fait de la complexité du développement, à ses dimensions sociales, technologiques et culturelles. Cette promotion du dialogue orienté vers l’action doit s’effectuer sans doute au prix de certains ajustements et compromis pour tenter de réduire le champ de nos vulnérabilités et des incertitudes sur l’avenir.
Grâce à ce climat constructif de coopération, les décideurs pourront éviter l’enfermement dans une sorte de cercle vicieux qui conduit à des blocages durables. En d’autres termes, il faudra aborder le futur avec confiance et de nouvelles ambitions. La bonne vitalité d’un pays se mesure à l’aune de sa gouvernance, de sa capacité de résilience, d’innovation, d’anticipation et de proposition.

Traduire les préoccupations relatives au développement durable en termes concrets et efficaces sera sans doute l’un des enjeux les plus cruciaux de la préservation de la biodiversité, de la gestion de la transition énergétique, de la maîtrise de la croissance démographique, de la relance économique, de la refondation institutionnelle et du renouveau politique.
Les pouvoirs publics, les opérateurs économiques, le monde académique, la communauté scientifique et la société civile ont besoin de ce genre de perspective réaliste pour tenir compte de l’environnement économique général de demain. Il est temps de prendre conscience que toute ressource naturelle a un coût. Étant donné les limites de notre capacité distributive, nous devons passer d’une logique de redistribution à une logique de création. Notre politique devrait être inspirée par les économies de matière première et d’énergie, de recyclage des déchets et de développement des énergies renouvelables. Cela implique que nous nous donnions les moyens institutionnels qui permettraient de faire adopter et de suivre, tant sur le plan national qu’international, des stratégies et des régulations globales compatibles avec le développement durable.
De la politique d’aménagement du territoire au tourisme, de l’éducation à la santé, en passant par l’agriculture, l’industrie et les technologies de l’information et de la communication, la primauté du politique dans le processus décisionnel est essentielle. D’où l’importance du redéploiement de l’État, garant de l’intérêt général, autour de ses priorités fondamentales et le regroupement de l’action gouvernementale entre les mains d’un nombre limité de ministres secondés par des secrétaires d’État afin d’assurer la cohérence et l’efficacité de la politique nationale de renouveau.
L’Algérie doit tirer parti des enseignements du changement radical introduit par la crise mondiale actuelle pour redéployer ses ressources, réorganiser son territoire, repenser ses réformes, redéfinir ses choix stratégiques et reclasser ses priorités. Dans le cadre de cette entreprise de rénovation nationale et d’adaptation de nos options pour le futur, la mise en œuvre d’actions novatrices joue un rôle décisif dans la maîtrise des enjeux environnementaux d’aujourd’hui et de demain. C’est donc à une nouvelle vision de l’avenir qu’il faut se référer si l’on veut conforter l’Algérie dans sa quête de stabilité, de sécurité, de progrès et de prospérité.


A. K.
(*) Diplomate de carrière, ancien ministre délégué aux Affaires étrangères et ambassadeur dans plusieurs pays. Il a aussi été président du groupe d’experts du Comité pour la protection de l’économie nationale en 1994.


1- Voir Amine Kherbi : Réflexions sur la politique de la ville, de l’habitat et de l’urbanisme, El-Djazaïr.com. N°118, novembre/décembre 2018.
2- idem : «Le défi du renouveau agricole et l’enjeu de la gouvernance de l’eau», Le Soir d’Algérie, 16 mars 2020..
3- Cf : du même auteur : «Une nouvelle politique de développement pour l’Algérie» in L’Algérie dans un monde en mutation, Ed. Anep, 2018, pp.63-70.


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