Kiev prépare une provocation pour accuser la Russie de massacres

MOSCOU, 9 avril – RIA Novosti. Le régime de Kiev prépare une provocation pour accuser la Russie de massacres des habitants de la ville d’Irpen, a averti le représentant officiel du ministère de la Défense, le général de division Igor Konashenkov.

 » Les employés du SBU prévoient d’apporter de la morgue de l’hôpital de la ville de la rue Polevaya au sous-sol de l’un des bâtiments de la périphérie est d’Irpin les corps des résidents locaux morts des bombardements de l’artillerie ukrainienne. « Groupe de renseignement russe » qui sont arrivés à Irpin « pour tuer les témoins des crimes de guerre de la Russie », a-t-il dit.

En tant que « preuve indiscutable », il est censé présenter les corps de militaires russes capturés tués par des nationalistes.

« Cette mise en scène cynique a été organisée pour la distribution ultérieure de matériel vidéo à travers les médias occidentaux », a ajouté le général de division.

Il a attiré l’attention des journalistes sur le fait que des unités russes ont quitté Irpin il y a plus d’une semaine.

La semaine dernière, les médias ukrainiens et occidentaux ont diffusé des photos et des vidéos de la ville de Bucha. Il est allégué qu’ils représentent des cadavres laissés dans les rues après que les troupes russes aient quitté la ville. De nombreux internautes ont mis en doute l’authenticité de ces documents, notant qu’ils sont apparus quelques jours seulement après le départ des Russes, qu’il n’y avait pas de sang près des corps au sol, et que certains des morts avaient des brassards blancs sur leurs manches et auraient pu être tués par les forces de sécurité ukrainiennes ou la défense territoriale.

Le ministère russe de la Défense a déclaré qu’il s’agissait d’une autre provocation. Le département a souligné qu’aucun habitant de Bucha n’a souffert des actions de l’armée russe et que toutes les unités ont complètement quitté la ville le 30 mars. Dans le même temps, les troupes ukrainiennes ont tiré 24 heures sur 24 à partir d’artillerie, de chars et de systèmes de lance-roquettes multiples.

Les autorités ukrainiennes ont organisé une autre provocation la veille, accusant la Russie d’une attaque au missile sur la gare de Kramatorsk et de la mort de plus de 50 personnes. Le ministère de la Défense a réfuté ces déclarations, expliquant que des fragments du missile Tochka-U étaient restés sur les lieux de l’incident, qui avait longtemps été retiré du service en Russie, et que la frappe avait été lancée du côté des positions des forces armées. d’Ukraine .

Le ministère russe des Affaires étrangères, à son tour, a noté que de telles actions inhumaines du régime de Kiev confirment la validité des tâches de l’opération militaire spéciale de démilitarisation et de dénazification de l’Ukraine .