Patrimoine, Inscription de la culture du palmier-dattier à l’Unesco sans… l’Algérie ! : Un acte inconsidéré envers notre pays

Alors, comme ça, on apprend, par le biais de quelques médias nationaux, que la culture du palmier-dattier, l’emblème du Sahara algérien  plus que partout ailleurs dans le monde — arabo-musulman en l’occurrence —, a été inscrite sur la liste représentative  du patrimoine culturel immatériel de l’humanité à l’Unesco.

On apprend, par la même, que «cette inscription a été rendue possible après que quatorze pays arabo-musulmans dont cinq africains (Egypte, Mauritanie, Maroc, Tunisie et Soudan) aient soumis un dossier de candidature multinationale incluant des pays arabes tels que l’Arabie saoudite, la Jordanie, les Emirats arabes unis ou la Palestine».
Voici pour l’information. Reste maintenant à savoir pourquoi notre pays, l’un des premiers concernés par cette inscription, ne serait-ce parce que c’est un des plus grands producteurs de dattes au monde, avec notamment sa fameuse «Deglet Nour» (doigt de lumière) et la datte blanche, ainsi que les dérivés de ce fruit — miel, confiture, vinaigre et farine—  notre pays, donc, ne figure pas parmi ceux ayant soumis ce dossier d’inscription à l’Unesco.
 Eh oui, retenez-bien que notre pays ne fait malheureusement pas partie de ceux ayant soumis le dossier d’inscription de la culture du palmier-dattier à l’Unesco… Alors que de toute évidence l’Algérie, plus que concernée par le nombre et l’étendue de ses palmeraies  —sans doute plus importants que ceux de bon nombre d’autres pays arabo-musulmans réunis—  lesquelles palmeraies, en tout cas, ont fait extasier plus d’un parmi les voyageurs du monde entier, ne serait-ce au cours des XVIIIe,  XIXe et XXe siècles derniers, l’Algérie, disions-nous, aurait pu, voire aurait dû, en toute logique, être le pays tout indiqué pour piloter ce dossier, que ce soit de façon multinationale ou même à titre individuel.
Car il faut bien comprendre que, dans un cas ou dans l’autre, elle est tout à fait dans son rôle (lire encadré sur la palmeraie de Tolga (Biskra), qui, par extrapolation, possède l’une des plus belles, sinon la plus belle palmeraie au monde).
Tout cela d’autant que, tenez-vous bien, l’Unesco ne s’est pourtant pas privée de s’exprimer, comme par ironie envers notre pays —en tout cas le plus grand à l’échelle arabo-africaine, en ces termes : «Les peuples des États soumissionnaires sont liés au palmier dattier depuis des siècles étant donné qu’il les a aidés à construire leur civilisation», ont assuré les quatorze pays ayant présenté cette candidature», cités par la même source. Et, un peu plus loin dans le dit communiqué : «la relation historique que la région entretient avec l’élément  a donné naissance à un riche patrimoine culturel rassemblant les pratiques, les connaissances et les savoir-faire encore employés aujourd’hui».
A bien relire le passage ci-dessus, c’est à croire que l’Algérie, 2e berceau de l’humanité dans le monde, ne fait pas partie de la région concernée ou pire, fait partie d’un… autre continent. Or, qui mieux que notre pays peut se prévaloir de son étendue géographique, —qui confine à la sous-continentalité africaine— et, par la même, s’enorgueillir de cette relation fusionnelle entre le palmier-dattier et les habitants des contrées sahariennes, lesquelles non seulement le cultivent, en tirent des couffins, des cordes, des meubles, etc., mais le traitent avec tant de délicatesse qu’ils en ont fait depuis belle lurette, sans contredit, «le plus humain des arbres».
Ceci juste pour reprendre le passage ci-dessus de l’Unesco qui dit que «cet arbre a aidé les peuples à surmonter les difficultés propres à un environnement désertique». Bref, nous venons, à s’y méprendre, d’assister, là, à un acte inconsidéré envers l’Algérie et ce, tant de la part des pays soumissionnaires que de l’Unesco.
A moins que ce soient nos représentants qui ont fait défaut au sein du groupe ayant soumis le dossier à l’Unesco, auquel cas ce serait encore plus grave… Et là, seul l’avenir nous dira ce qu’il en est vraiment de ce scandale qui ne dit pas son nom.
Kamel Bouslama


>> Une production de plus 10 millions de quintaux de dattes en 2017


ALGER – Une production de plus de 10,58 millions de quintaux a été enregistrée dans la filière des dattes en 2017, soit une valeur de 332,4 milliards de dinars, a indiqué lundi à Alger un communiqué du ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche.

En 2017, la récolte de la variété la plus prisée de datte en l’occurrence « Deglet nour » a atteint 5,67 millions de quintaux, contre 2,87 millions pour la Degla Beïda (datte blanche) et les dattes sèches, et plus de 2 millions de quintaux pour les dattes moelles.

Le rendement par palmier-dattier est estimé à 67,7 kg. Le rendement de « Deglet Nour » s’élève à 86,3kg par palmier-dattier, contre une production de 51,6kg et 58,2 kg par palmier-dattier respectivement pour la Degla beïda et les dattes sèches, el Ghars et les dattes moelles.

Une production de plus 10 millions de quintaux de dattes en 2017

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La superficie globale des palmiers-dattiers s’élève à 167.663 hectares, alors que les palmiers productifs sont estimés à 15,7 millions et ceux plantés à 18,53 millions.

La wilaya de Biskra vient en tête des 16 wilayas productives de dattes, avec une production de plus de 4,38 millions de quintaux, suivie des wilayas d’El Oued, avec plus de 2,6 millions de quintaux, puis Ouargla avec plus de 1,4 million de quintaux.

Salim Hadoud a été élu, lundi au siège de la Chambre nationale de l’Agriculture, président du Conseil national interprofessionnel de la filière des dattes. Cette opération fait suite aux recommandations des assises nationales de l’agriculture tenues sous le haut patronage du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.

Au terme de son élection, M. Hadoud s’est engagé à œuvrer avec tous les acteurs de cette filière à renforcer et développer la filière à travers l’accompagnement des agriculteurs et la prise en charge de leurs préoccupations.

Le président du Conseil a insisté sur l’impératif d’atteindre les objectifs fixés pour cette filière, notamment élargir la superficie consacrée à la plantation des palmiers, ce qui permettra d’augmenter les quantités consacrés à l’exportation et au développement des autres types.


Lire aussi: Agriculture saharienne: la nécessité de la mise en place d’un observatoire national recommandée


Le Conseil est appelé à jouer un rôle essentiel, étant un espace de concertation entre la profession et les autorités publiques, et à développer le progrès technique.

En outre, le Conseil sera chargé de collecter les données nécessaires pour l’élaboration d’une feuille de route qui permettra d’orienter les futures activités de cette filière, selon le président du conseil.


Azoulay dépossède l’Algérie de son patrimoine culturel : que fait Rabehi ?

Azoulay patrimoine
Audrey Azoulay, Directrice générale de l’ UNESCO

Par Nabil D. – L’Unesco a exclu l’Algérie des pays abritant le dattier que cette organisation internationale vient d’inscrire au patrimoine mondial. Quatorze pays ont été intégrés à ce classement, exit l’Algérie qui, pourtant, avec l’Irak, produit la meilleure datte au monde, deglet nour.

La chaîne britannique BBC, qui rapporte l’information, relève que cette exclusion a soulevé une vague de colère chez les Algériens qui ont exprimé leur vive indignation à travers les réseaux sociaux. L’Unesco, indique la BBC, a choisi le palmier car il symbolise la résistance dans un environnement désertique sec qui représente la majeure partie du Maghreb et du Moyen-Orient. Elle est le symbole de la civilisation et de la prospérité, explique encore la BBC, qui ajoute que cet arbre fruitier «généreux» est également source de revenus pour beaucoup de gens.

Les représentants de l’Unesco, réunis en Colombie il y a une dizaine de jours, ont décidé que l’Algérie n’était pas concernée par cette décision, contrairement aux quatorze autres pays, dont trois du Maghreb, le Maroc, la Tunisie et la Mauritanie, outre l’Arabie Saoudite, l’Egypte, les Emirats arabes unis, le Soudan, la Palestine, le sultanat d’Oman, le Yémen, la Jordanie, le Koweït, le Bahrein et l’Irak.

«Où est passée l’Algérie bien qu’elle produise une des meilleures dattes au monde ?» s’est interrogé le journaliste de la BBC, qui a relevé que notre pays détient 100 millions de palmiers et couvre 2% de la production mondiale de dattes et que ni le ministre de la Culture ni les médias n’ont commenté cette élimination inexcusable de l’Algérie.

Notre pays subit revers sur revers sur le plan international depuis le déclenchement de la crise politique profonde qui le secoue et qui va en s’aggravant. L’absence d’un pouvoir légitime a quasiment isolé le pays sur le plan international, le reléguant à un plan secondaire dans le traitement de dossiers géostratégiques desquels il a été écarté, à l’instar de la délicate question libyenne, entre autres.

Que faisait Hasan Rabehi pendant que l’Unesco sous l’impulsion d’Audrey Azoulay, la fille du puissant conseiller du roi du Maroc, dépossédait l’Algérie de son patrimoine culturel ?


>> Audrey Azoulay à la tête de l’Unesco : une agence en quête d’un cap


>> La composante Algérie, dans sa relation filiale à la culture du palmier-dattier

Par Dr Mourad Betrouni
La culture du palmier-dattier vient d’être inscrite sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco, comme élément représentatif des régions chaudes et arides du monde arabe. Le dossier a été soumis par 14 pays ayant des liens avec le palmier-dattier : l’Egypte, la Mauritanie, le Maroc, la Tunisie, le Soudan, l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis, la Palestine, le sultanat d’Oman, le Yémen, la Jordanie, le Koweït, le Bahreïn et l’Irak. D’aucuns s’interrogent sur l’absence de l’Algérie parmi les pays soumissionnaires. Quelles que fussent les causes de cette absence, il demeure curieux, qu’au niveau de l’examen du dossier d’inscription, la composante Algérie, dans sa relation filiale à la culture du palmier-dattier, ne soit pas mise en exergue, à la lumière de ses potentialités patrimoniales matérielles et immatérielles, incontournables et structurantes dans ce domaine, pour l’établissement d’une cartographie des attributs et des valeurs cibles éligibles à une appropriation universelle.

D’un point de vue de l’approche pour une inscription au patrimoine mondial, il est bien certain que le palmier-dattier recouvre, d’abord, une acception écologique, qui relève d’une historiographie naturelle et du paradigme du patrimoine naturel (voir convention de 1972), un préalable pour l’identification des attributs naturels (c’est d’abord une plante, dans un biotope, une biocénose et un écosystème), qui préfigurent et participent au processus d’humanisation, pour réaliser la translation des attributs objectifs du palmier- dattier à la valeur affective et sensible (immatérielle) de la culture du palmier- dattier. Cette approche, nécessaire, évacuerait, d’emblée, toute interférence et tout anachronisme entre les champs d’intérêt scientifique, idéologique et politique. Le sujet ne porte pas sur la propriété « nationale » du palmier-dattier et de sa culture, mais sur des valeurs culturelles à partager avec toute l’humanité.
Circonscrire le sujet (la culture du palmier- dattier) à une temporalité séculaire et à l’espace géographique du monde arabe, est une démarche anachronique, dans la mesure où le palmier dattier a une origine préhistorique encore imprécise. Nous ne connaissons pas encore les origines de la domestication et l’histoire de la diffusion du dattier cultivé (Phoenix dactylifera L.), ni ses relations phylogénétiques avec les autres espèces du genre Phoenix. Nous savons, par contre, qu’il dérive de populations sauvages de la même espèce, qui n’ont jamais été identifiées. La relation historique établie entre le palmier-dattier et un espace géopolitique est donc à revisiter, à la lumière des données scientifiques en vigueur. Les ressources historiques et scientifiques ne se limitent pas à la Mésopotamie, au golfe Arabique et à l’Egypte antique. Quelques indications bibliographiques utiles : dans la grotte Shanidar, dans le nord-est de l’Irak, un pollen a été retrouvé dans des couches datées du Moustérien et du Baradestien, entre 50 000 et 33 000 ans BP [Solecki R. S. et Leroi-Gourhan A. (1961]. En Afrique du Nord et au Moyen- Orient, l’espèce cultivée remonterait à plusieurs millénaires [Munier P. 1973 ; Barrow S. 1998 ; Zohary D., Hopf M. & Weiss E., 2012]. Des charbons retrouvés sur le site archéologique d’Ohalo, sur les bords de la mer de Galilée, en Palestine, ont été datés de 19 000 BP [Liphschitz N. et Nadel D., 1997]. Des restes végétaux attestent de sa présence au Moyen- Orient, avant le début de l’agriculture [Zohary et al. 2012]. Au sud de l’Espagne, dans la Cueva de los Tiestos, dans la province de Murcie, des graines archéologiques ont été datées de 5500 BP [Rivera D. et al., 2007].
Plusieurs hypothèses sont proposées pour situer le centre de domestication du palmier-dattier. De Candolle [1883], Schweinfurth [1875], Chevalier cité par Munier [1973], le situerait en Afrique du Nord ; Hamilton [1827], en Inde et au Pakistan ; Bonavia [1885] ; Beccari [1890] ; Popenoe [1973] ; Costantini [1985] ; Barrow [1998] ; Zohary et al. [2012] ; Costantini & Audisio [2000], le situerait au Moyen- Orient. Il n’est pas exclu qu’il ait été domestiqué dans plusieurs régions.
De ces quelques données archéologiques, il ressort que le palmier-dattier cultivé (Phoenix dactylifera L.) procède d’une historiographie archéologique, c’est-à-dire d’une histoire inscrite dans le sédiment et non dans le récit. Le palmier-dattier est constitutif, par lui-même, des premiers agro-écosystèmes du domaine aride, tout particulièrement saharien. Il relève d’une économie agro-pastorale qui remonte aux temps néolithiques. C’est dans ce paradigme (lecture archéologique), qu’il faille établir les premières articulations entre les écosystèmes arides, en équilibre avec le climat désertique, et les premiers agrosystèmes oasiens (artificiels ou semi-artificiels), créés autour du palmier-dattier.
Aussi, l’examen du dossier d’inscription de la culture du palmier-dattier sur la liste du patrimoine mondial mériterait d’être conforté et complété par une appropriation de cette ligne de base (lecture archéologique), à partir de laquelle peut s’observer, sur une échelle de temps requise et dans une continuité historique, le déroulement du processus évolutif, qui a abouti à la situation présente (le marché mondial de la datte). Etant entendu que ce processus, de portée millénaire, est composé de continuités et de ruptures successives, qui participent, toutes, à la construction historique des valeurs patrimoniales matérielles et immatérielles.
C’est dans cette perspective que nous voulions intervenir, par cette contribution, en nous adressant aux parties prenantes du dossier d’inscription de l’élément « culture du palmier-dattier » sur la liste du patrimoine culturel universel, les invitant à examiner la composante Algérie, dans sa relation filiale à la culture du palmier-dattier. Au sens du patrimoine culturel immatériel, la culture du palmier-dattier ne saurait s’extraire de son aire géoculturelle significative et des pratiques, expressions et savoir-faire concomitants qui s’y déploient, autant d’éléments qui s’égrènent en des formes particulières selon les spécificités géographiques et historiques : le dromadaire, le commerce caravanier, la culture du palmier-dattier, les systèmes de puisage et d’irrigation, l’oasis, la palmeraie et le ksar sont les artefacts techniques et symboliques de mesure du niveau de production, d’appropriation, d’assimilation, voire de rejet de valeurs constitutives du patrimoine culturel. De ce point de vue, l’Algérie, avec ses 2 381 741 km2 de superficie, dont 90% de Sahara (désert chaud et aride), constitue le cœur – et non la marge – de cette aire géoculturelle où l’on puise les quintessences pour la formulation d’énoncés cohérents et porteurs. Le cœur, non pas au sens de la dimension et de la centralité mais au sens de la résilience, dans ce qu’elle recouvre comme charge et contenu.
Le Sahara constitua, dès le Xe siècle, l’un des pôles majeurs du commerce transsaharien et l’une des régions les plus prospères d’Afrique, un itinéraire culturel transsaharien marqué par tout un jalonnement de traces matérielles et de traditions encore vivantes exprimées par des groupes ou des individus détenteurs de savoir et de savoir-faire et transmis oralement notamment à travers l’artisanat, l’architecture, la musique, la danse, les rites, les coutumes et autres manifestations sociales et culturelles. C’est la Route du commerce caravanier saharien que parcouraient les commerçants et voyageurs venant du Maghreb en direction du Ghana et du Mali, aux Xe et XIe siècles, empruntant les grands couloirs naturels qui garantissaient la traversée de l’immense espace hyper-désertique du Sahara, par la présence de points d’eau et surtout la maîtrise de systèmes très particuliers de gestion de cette eau, qui procède de la connaissance et du génie de populations fortement adaptées à leur environnement depuis les temps les plus reculés de la préhistoire.
Ce sont les couloirs de la vallée de la Saoura, du Touat-Gourara-Tidikelt et de la vallée du M’zab, que la rigueur et la discipline Ibadite ont su domestiquer pour garantir et consolider le commerce transsaharien, ressource fondamentale à la survie et au maintien des grands équilibres de l’espace saharien, jusqu’aux environs du XVe siècle où la découverte des côtes ouest africaines, par les Portugais, allait détourner les circuits commerciaux vers les nouveaux comptoirs côtiers atlantiques et entraîner de nouveaux équilibres du commerce de l’or et de la traite des esclaves.
Ces hauts lieux de la mémoire saharienne, bien que fortement affectés par ce renversement d’équilibre, ont su maintenir et perpétuer, dans la religion et la tradition, les gestes et les réflexes socioculturels qui sous-tendent leur identité culturelle, tels la cérémonie du Sboue de Timimoun et le spectacle d’Ahellil en vénération de Dieu et de ses saints ; les rituels liés au pèlerinage à la zaouïa Sidi Lhadj Belgacem près de Timimoun (Gourara) et les savoirs et savoir-faire des mesureurs d’eau (kiyalin lma) du Touat et du Tidikelt, qui réalisent une véritable communion et un ressourcement nécessaire à la survie et à l’évolution de populations ayant fait des contraintes du milieu physique le fondement de la solidarité, de la rigueur et de la discipline.
La culture du palmier-dattier ne saurait se raconter en dehors de cette sémantique saharienne. Le chapitre Algérie doit nécessairement être introduit, dans une relecture du dossier d’inscription et la perspective d’une souscription de l’Etat partie Algérie./


Lire aussi : dans L’ALGERIE ALEATOIRE (section agriculture) à Télécharger sur BookFi.net


2 thoughts on “Patrimoine, Inscription de la culture du palmier-dattier à l’Unesco sans… l’Algérie ! : Un acte inconsidéré envers notre pays

  1. Remarquer bien… Tous les sionistes sont ta la tête des grandes agences internationales

    ils on fait le même coup a la Belgique pour le carnaval d’Alost

    il faut ignoré cette institution d’esclavagiste!!! qui ne représente qu’elle même

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