Algérie – Maroc : L’escalade

   Mohammed VI est persuadé que le troc qu’il a réalisé avec l’administration de l’ex-président américain, Donald Trump, et Israël lui donne des ailes jusqu’à exciter ses délires expansionnistes.

Le temps des palabres et des illusions est terminé avec un voisin de l’Ouest franchement belliqueux. En soutenant un prétendu «droit à l’autodétermination du peuple kabyle», le Maroc a franchi le Rubicon avouant publiquement son ingérence dans les affaires internes de l’Algérie. L’onde de choc provoquée par cette dérive, particulièrement dangereuse a engendré colère et indignation dans un pays où l’on ne badine pas avec les principes de la souveraineté nationale.

En Algérie, le sens du sacrifice n’est pas un slogan qu’on porte en bandoulière, mais une valeur noble qui structure une conscience nationale qui a payé un lourd tribut durant la Guerre de libération, 1954-1962, et la lutte contre le terrorisme durant la décennie noire, 1990 – 2000. Aucun autre pays arabe ou musulman, absolument aucun, ne peut se prévaloir d’un pareil butin gagné héroïquement sur les champs de bataille face à une puissance de l’Otan. Inébranlable sur ce socle des valeurs, l’Algérie refuse tout marchandage de ses principes. C’est tout le contraire du royaume marocain convaincu que le troc qu’il a réalisé avec l’administration de l’ex-président américain, Donald Trump et Israël lui donne des ailes jusqu’à exciter ses délires et son égo hypertrophié. Persuadé qu’il est adoubé par les puissants de ce monde, Mohammed VI a, de ce fait, la ferme certitude qu’il peut se permettre de franchir des lignes rouges et qu’il aura le soutien de ses alliés dans tous ses desseins expansionnistes.

Le Maroc, tout le monde le sait, est une insatiable ambition dans la région. Dans le temps, le roi Hassan II n’était-il pas allé même jusqu’à revendiquer toute la Mauritanie? Sans compter alors le fait que certaines cartes officielles marocaines intégraient tout le Nord du Mali, y compris Tombouctou. Les Marocains se trompent lourdement en croyant que ce seront les Marines américains ou la Légion étrangère française, financés par les monarchies du Golfe qui feront la guerre à leur place. Que les généraux zélateurs du Maroc qui jouent aux va-t-en-guerre contre le voisin de l’Ouest commencent d’abord par libérer Ceuta et Melilla avant de continuer leur promenade, la fleur au fusil, vers Béchar et Tindouf!

Le dangereux amalgame entretenu sciemment par le représentant du Maroc à l’ONU, Omar Hilale, entre l’unité nationale en Algérie et une question de décolonisation du Sahara occidental, procède de cette stratégie de déstabilisation fomentée contre l’Algérie. La dérive de Hilale n’est pas anodine, mais le résultat d’une escalade verbale doublée d’un acharnement exacerbé pour la nomination du ministre Ramtane Lamamra à la tête de la diplomatie algérienne. La nouvelle composante du gouvernement n’a pas été totalement annoncée à Alger que les aboiements ont retenti à Rabat. Les responsables inféodés à sa majesté rivalisent d’ardeur dans une escalade verbale sans précédent, pour aboutir à cet aveu d’ingérence qui a valeur d’une déclaration de guerre. Si le Makhzen pense avoir trouvé la faille, en surfant sur la prétendue indépendance de la Kabylie, c’est qu’il se trompe lourdement et la Kabylie n’a pas besoin d’exhiber un brevet de sa fidélité à l’unité nationale pour contenter le roi. Le Makhzen a-t-il oublié qu’en 1963, ce sont justement les soldats kabyles stationnés au Djurdjura, alors en rebellion déclarée contre Ben Bella, qui sont venus asséner une leçon militaire aux troupes de sa majesté qui voulaient s’en prendre à notre unité territoriale? En 1975, le défunt Hocine Ait Ahmed a laissé groggy une journaliste d’une radio marocaine qui voulait savoir sa position sur l’éventualité d’un conflit avec l’Algérie de Boumediene: «Certes j’ai des différends politiques avec Boumediene, mais en cas d’agression je rentre au pays pour défendre son intégrité, point!» C’est ça la Kabylie, la vraie, qui fait la fierté de tous les patriotes algériens.

Brahim TAKHEROUBT


Faisant d’eux le bras séculier dans ses attaques et son ingérence dans les affaires de l’Algérie

               La cinquième colonne de sa majesté

Ces voix versant dans le mercenariat et la vassalité au plus offrant des ennemis du pays, n’ont pas caché leur collaboration avec des puissances étrangères en général et le Makhzen en particulier.

Le Makhzen est doté de sa cinquième colonne, une «force» locale entre les mains des supplétifs de l’impérialisme et ses succédanés. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce sont ces «Algériens» qui brandissaient l’étendard de «Dawla madania machi aaskariya» qui obéissent d’une manière vassale aux desiderata du Makhzen et de sa feuille de route belliciste à l’égard de l’Algérie.

Les jeux sont clairs maintenant, il est manifestement confirmé que le Makhzen n’agit pas seul quant à son entreprise de s’ingérer dans les affaires de l’Algérie. Il est aidé dans son entreprise machiavélique et macabre par une cinquième colonne qui pullule d’ «Algériens» qui ont vendu leur âme aux officines étrangères. La dernière déclaration du représentant du Maroc à l’ONU, Omar Hilale, dans une posture jubilatoire en présence de son homologue sioniste, Gilad Erdan en l’occurrence, a suscité une réaction forte de la part des autorités algériennes. Mais la réaction algérienne a été mal vue par les sbires du Makhzen qui activent à l’étranger au nom de «Hirak» 2 et qui étaient à l’origine de la dislocation du Mouvement populaire du 22 février 2019. Ils se sont dressés comme des représentants de ladite cinquième colonne au service de l’agenda de la monarchie chérifienne et ses accointances avec l’impérialo-sionisme.

Les affidés et les thuriféraires à la solde de l’alliance impérialo-sioniste à Londres et à Paris et d’autres contrées occidentales, exhibent leur haine et leur vassalité morbide à l’adresse de l’Algérie avec une frénésie rarement constatée dans l’histoire de la collaboration avec l’ennemi et le colonisateur de par le monde. Ces voix versant dans le mercenariat et la vassalité au plus offrant des ennemis du pays, n’ont pas caché leur collaboration avec des puissances étrangers en général et le Makhzen en particulier. Ils ont fait de cette campagne un acte de «bravoure» et une cause de «libération». La question relative à la reconnaissance du « droit à l’autodétermination du peuple kabyle» par le Makhzen a trouvé son écho chez les représentants de la cinquième colonne qui n’hésitait pas à rappeler que le Maroc est «victime des attaques du pouvoir algérien qui ne cesse de provoquer la monarchie marocaine» (sic). L’alliance rachado-makiste et de ceux qui évoluent autour d’eux comme des larbins se fait préciser avec clarté et d’une manière nuancée aux côtés du Makhzen, c’est dire que le travail de renseignement et de recrutement des agents doubles a été bien fait avant le déclenchement du Mouvement populaire en 2019. C’est ce qui explique les attaques et la campagne de propagande au niveau des réseaux sociaux contre l’Algérie par les forces obscures qui actionnent la nébuleuse obscurantiste du Rachad et la secte des fascistes se drapant de l’étendard du séparatisme au nom d’une fallacieuse approche faisant de la doctrine identitaire sa «Doxa».

Il y a même certaines figures qui ont fait de la période des oligarques et à leur tête le représentant du système oligarchique, le président déchu, Abdelaziz Bouteflika, un moyen d’enrichissement éhontée et frénétique en construisant un empire de presse et audiovisuel pour leurs «services rendus». Aujourd’hui ils se rangent du côté du Makhzen comme ultime moyen de leur vassalité et de leur trahison qui n’est plus à démontrer ni à expliquer. Le Makhzen est voué aux gémonies après avoir subi l’humiliation au niveau de l’ONU et de l’Union européenne à cause de sa crise diplomatique et l’échec cuisant qu’il a essuyé avec l’Espagne et l’Allemagne. Le Makhzen qui sait pertinemment que sa crise est foncièrement structurelle et au niveau de sa propre population qui se débat dans la pauvreté des plus extrêmes, essaye de recruter des mercenaires comme c’est le cas pour les «Algériens de Londres et de Paris et les anciens radiés de l’ANP comme sa cinquième colonne pour embellir son image ternie par la situation interne qui frôle l’explosion et l’image externe sur le plan diplomatique caractérisée par une bérézina saillante et manifeste.

Hocine NEFFAH


             Sahara occidental

                           Le Maroc montre «une nouvelle fois son obsession pathologique»

«Le régime marocain n’a de quoi s’enorgueillir que le soutien d’un groupe de dirigeants despotiques lui ressemblant politiquement et des régimes bâtis sur l’occupation, la spoliation et la discrimination raciale» explique le représentant du Front Polisario auprès des Nations unies, Sidi Mohamed Amar.

Le représentant du Front Polisario auprès des Nations unies, Sidi Mohamed Amar affirmé que le représentant de l’état d’occupation marocain auprès de l’ONU a montré, une nouvelle fois, à travers la «note» adressée à la présidence en exercice du Mouvement des non alignés «son obsession pathologique du mensonge et de la désinformation».»Des sites d’information ont relayé la teneur d’une note adressée par le représentant de l’état d’occupation marocain à la présidence en exercice du Mouvement des non-alignés au terme de la rencontre ministérielle tenue par le Mouvement les 13 et 14 juin courant (…), le représentant du Maroc ayant affiché, une nouvelle fois, son obsession pathologique du mensonge et de la tromperie», a déclaré M. Sidi Amar dans un communiqué repris par l’Agence de presse sahraouie (SPS). Comme à son accoutumé, «le représentant de l’état d’occupation marocain a profité de l’occasion pour s’acharner sur l’Algérie, pays frère, en raison de son soutien solide à la lutte légitime du peuple sahraoui contre l’occupation illégale du Maroc de parties de la République sahraouie», a ajouté M. Sidi Amar.

Et de souligner, à cet égard, que «la position de principe de l’Algérie, pays frère, à l’égard de la cause sahraouie, est source de fierté pour le peuple sahraoui et pour tous les peuples épris de paix, car puisé de l’histoire révolutionnaire de l’Algérie contre le colonialisme et la domination étrangère». Le diplomate sahraoui a rappelé, par la même occasion, que «la position de l’Algérie cadre avec les principes de la légalité internationale, des résolutions de l’Organisation de l’union africaine (UA actuellement) et de l’ONU, y compris la résolution de l’Assemblée générale 2983/RES/A dans laquelle l’ONU a réaffirmé la légitimité de la lutte des peuples coloniaux, ainsi que sa solidarité et son appui au peuple sahraoui dans la lutte qu’il mène pour l’exercice de son droit à l’autodétermination et l’indépendance, et prié tous les Etats à lui apporter toute l’aide morale et matérielle nécessaire à cette lutte (Alinéa 2 du document)». «Le régime marocain n’a de quoi s’enorgueillir que le soutien d’un groupe de dirigeants despotiques lui ressemblant politiquement et des régimes bâtis sur l’occupation, la spoliation et la discrimination raciale. L’histoire retient toujours les ‘’services particuliers » fournis par le régime marocain faisant de lui une niche dorée pour tous les criminels et dictateurs en Afrique et ailleurs», selon M. Sidi Amar.

S’agissant des développements sur le terrain, le diplomate sahraoui a expliqué que «le représentant du Maroc, dans un nouvelle tentative de tromper l’opinion publique internationale, a nié la ‘’reprise de la lutte armée » dans le Sahara occidental», assurant que «la Guerre est une réalité indéniable, car depuis le 13 novembre 2020 les affrontements militaires se poursuivent entre l’Armée populaire de libération sahraouie et les forces d’occupation suite à la violation par le Maroc de l’accord de cessez-le-feu de 1991 et l’accord militaire n1 de 1997-1998». Cette situation a conduit à une nouvelle guerre dont les retombées peuvent être désastreuses sur la paix et la sécurité de toute la région, a-t-il mis en garde.
M. Sidi Amar a dénoncé, par là même, «la désinformation systématique du Maroc qui a qualifié la situation dans les territoires occupés de la République sahraouie de ‘’stable et calme » en se référant à des prétendus rapports quotidiens de la Minurso».

En dépit des tentatives marocaines de dissimuler une guerre qu’il a déclenché dans la région le 13 novembre, poursuit le diplomate, «les témoignages documentés prouvent que les autorités d’occupation marocaines ont intensifié leurs violations du droit humanitaire international dans le cadre d’une guerre de vengeance contre des civils sahraouis et des militants des droits de l’homme, victimes au quotidien d’actes atroces et de pratiques inhumaines dans les territoires occupés du Sahara occidental». Evoquant le processus de paix, le diplomate sahraoui a relevé que «le représentant marocain a faussement avancé que le Front Polisario était responsable du retard dans la désignation du nouvel envoyé spécial de l’ONU. La réalité est que l’Etat d’occupation a refusé de nombreux candidats pour ce poste, le dernier en date étant Staffan de Mistura». «L’Etat d’occupation marocaine poursuit ses tentatives pour peser sur l’opération à travers des conditions préalables excluant systématiquement les candidats d’un groupe d’Etats membres, y compris l’Australie, l’Allemagne, les Pays-Bas, les pays scandinaves, la Suisse et les cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité», a rappelé M. Sidi Amar.

Pour le diplomate sahraoui, «il est clair que l’Etat d’occupation n’est animé par aucune volonté politique d’adhérer à un processus onusien permettant d’aboutir à une solution pacifique et permanente au conflit, son objectif étant de maintenir le statuquo en tentant d’avoir un envoyé personnel taillé sur mesure pour servir ses intérêts, chose qui est rejeté par le Front Polisario». «La teneur de la note marocaine n’est que le recyclage d’une série d’allégations infondées, et un nouveau chapitre de la politique diffamatoire à laquelle recourt le régime d’occupation marocain pour dissimuler ses échecs, son complexe d’infériorité, et détourner l’opinion public locale des crises structurelles multiformes auxquelles il fait face», a conclu le représentant du Front Polisario auprès des Nations unies.


   Soutien au mouvement séparatiste du MAK: L’Etat appelé à réagir fermement à l’«agression» marocaine

                             par Houari Barti

   Dans toute sa diversité, la classe politique algérienne a unanimement condamné, hier, la dernière sortie de la représentation marocaine à New York, qui dans une note officielle distribuée aux membres du Mouvement des non-alignés a exprimé publiquement et explicitement son soutien au projet autonomiste de la Kabylie. Une démarche qualifiée dans une première réaction du ministère des Affaires étrangères algérien de «dérive particulièrement dangereuse, y compris pour le Royaume du Maroc lui-même dans ses frontières internationalement reconnues».

Pour l’ancien diplomate algérien Abdelaziz Rahabi, «l’appel du Maroc à la sédition en Algérie ne relève pas d’un simple acte diplomatique mais d’une action hostile à son unité et une escalade programmée dans la stratégie de la tension permanente dans la région». Dans une réaction publiée sur son compte facebook, l’homme politique estime que «l’Algérie, peuple et Etat doivent réagir avec force et fermeté».Du côté des formations politiques, le Parti de la liberté et la justice (PLJ) a qualifié, hier, le document officiel distribué par la représentation marocaine aux pays membres du Mouvement des non-alignés dé «agression et d’acte terroriste» contre l’Algérie. Dans un communiqué sanctionnant une réunion de son Bureau national tenue la veille, le parti a expliqué que «la distribution par la représentation marocaine d’un document officiel aux pays membres du Mouvement des non-alignés sur un prétendu «droit du peuple kabyle à l’autodétermination» serait un acte terroriste et une agression éhontée exercée par le régime du Makhzen sioniste haineux envers l’Algérie, par procuration au nom de ses seigneurs». A ce propos, le PLJ invite l’Etat algérien à «prendre des positions fermes envers ce régime cancérigène».

De son côté, le Mouvement El Bina s’est dit «profondément choqué» par la teneur de la note marocaine, qualifiant cette action de déclaration de guerre contre les enfants de l’Algérie. Dans un communiqué diffusé hier, le Mouvement «s’attend à une position ferme de la part des institutions de l’Etat habilitées à y riposter», avant d’affirmer que «le peuple algérien demeurera uni et indivisible, homogène et fusionné, et toute manœuvre entamant à l’unité de la patrie ou du peuple, et toute tentative désespérée visant son démembrement serait un dépassement, voire une déclaration de guerre contre les Algériens, et requiert une riposte urgente par l’Etat et ses institutions souveraines», a écrit le parti.

«Pour ce faire, a-t-il plaidé, la situation exige de se mettre aux côtés des institutions, loin de tous calculs politiques, différences ou controverses», a soutenu le Mouvement, rappelant que «nous avons certes le droit de diverger autour des priorités au service des citoyens, mais nous n’avons nul droit de mettre sur la table nos différends lorsqu’il s’agit de la patrie ou de l’unité de ce peuple». Le devoir de conforter le front interne et la cohésion sociétale est désormais «plus qu’un simple devoir national dont l’atteinte est inculpable, c’est pourquoi nous devons laisser derrière nous nos dissemblances et querelles pour s’occuper d’un ennemi assaillant et guettant notre sécurité, voire l’unité du peuple et l’intégrité du territoire, c’est-à-dire l’héritage des martyrs», note le communiqué.

Le Rassemblement national démocratique (RND) a quant à lui dénoncé un acte qui «dénote clairement le soutien actuel du Maroc à un groupe terroriste connu et met à nu le plan caché derrière la normalisation des relations avec l’entité sioniste, dont le but est d’ébranler la stabilité de l’Algérie et de consacrer officiellement l’engagement du Royaume du Maroc dans une campagne hostile à l’Algérie». Dans un communiqué le RND souligne «l’amalgame fait entre une question de décolonisation reconnue par l’ONU et un complot ciblant l’unité de l’Algérie» qui, a-t-il estimé, est en contradiction flagrante avec le droit international et l’acte constitutif de l’Union africaine (UA).

Quant au parti du Front de libération nationale (FLN), il soutiendra que la région de la Kabylie «est indissociable de l’Algérie, une et indivisible», avant de souligner que ces «manœuvres honteuses et provocatrices du Makhzen s’inscrivent dans la continuité de ses actes hostiles, multiformes et de longue date envers l’Algérie». Il est écrit dans son communiqué : «L’annonce du soutien du régime marocain, vassal et collabo du sionisme, à un mouvement terroriste et à une prétendue indépendance d’une région très chère du territoire national est une agression contre l’Algérie, une et indivisible, dont la moindre parcelle de terre s’est abreuvée du sang des chouhada». Il affirme dans ce même ordre d’idées que «le régime marocain, avec cet acte perfide, renforcera davantage l’attachement des Algériens à leur unité nationale».


    «Droit à l’autodétermination du peuple kabyle» : Alger rappelle son ambassadeur au Maroc

Le ton monte entre l’Algérie et le Maroc, qui a récemment affirmé son soutien au «droit à l’autodétermination du peuple kabyle», après une remarque de la diplomatie algérienne sur le Sahara occidental.
 


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *