30e jour de l’agression sioniste : Le nettoyage ethnique se poursuit

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    par Mohamed Mehdi

«L’entité sioniste veut atteindre des chiffres records de massacres, d’extermination et de nettoyage ethnique», a déclaré hier le porte-parole du ministère de la santé à Ghaza, dans son point de presse quotidien pour annoncer le bilan des bombardements de l’occupation.

«Au 30e jour de la guerre d’extermination et de nettoyage ethnique de l’ensemble de la bande de Ghaza, l’entité sioniste veut atteindre des chiffres qui lui ouvrent de larges portes du Livre Guinness des records. Des records en nombres de massacres, de martyrs, d’enfants et de femmes, d’équipes médicales et de journalistes, ainsi que d’hôpitaux et d’ambulances ciblés par les bombes», a déclaré le porte-parole du ministère de la santé à Ghaza.

Le bilan des crimes de l’agression sioniste depuis le 7 octobre 2023 est de : «1031 massacres dont 24 lors des dernières 24h ayant coûté la vie à 243 martyrs, portant ainsi le nombre total de martyrs (jusqu’à hier 13h GMT) à 9770, dont 4.800 enfants, 2.550 femmes, et 596 personnes âgées», affirme la même source. Le nombre de blessés dépasse les 26.000 depuis le 7 octobre.

Selon l’intervenant, les services du ministère de la Santé ont reçu «2.660 avis de disparition sous les décombres dont 1.270 enfants», précisant que «les femmes et les enfants représentent 70% des martyrs», alors que le nombre de praticiens de la santé tués dans les bombardements est de 175. Trente et une ambulances ciblées aussi par des frappes aériennes et 110 établissements de santé, dont 16 hôpitaux actuellement hors de fonctionnement.

L’intervenant a appelé «toutes les parties» à assurer «un passage sécurisé» pour l’acheminement des aides, «y compris le carburant», relevant que jusqu’à présent «il n’existe pas de passages sécurisés». «C’est un mensonge. L’occupation s’en sert pour attaquer notre peuple. Pour le troisième jour consécutif, nous n’avons pas pu transporter les blessés vers les hôpitaux égyptiens à cause des bombardements violents. L’occupation cible délibérément les ambulances, ce qui nous empêche de transporter les blessés jusqu’à la frontière égyptienne», a déclaré le porte-parole du ministère de la santé à Ghaza. Par ailleurs, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a affirmé hier avoir recensé «plus de 100 attaques contre des établissements de santé dans la bande de Ghaza, depuis le 7 octobre» et que «le ciblage par Israël des établissements de santé à Ghaza a entraîné la mort de 504 personnes et endommagé 39 établissements et 31 ambulances».

Bombardements du camp d’Al Maghazi

Au trentième jour de la guerre contre Ghaza, l’occupant sioniste a donc continué de bombarder les civils et a commis deux nouveaux massacres, l’un près du port de Ghaza et le second dans le camp Al Maghazi, faisant 75 martyrs. Les bombardements intensifs du camp Al Maghazi ont fait au moins 51 martyrs et des dizaines de blessés dans des bombardements de l’aviation sioniste qui a largué des bombes au phosphore blanc sur ces camps de réfugiés, notamment sur les quartiers de l’ouest et du nord de Ghaza, en particulier sur le camp d’Al-Shate, à l’ouest de la bande de Ghaza.

En outre, un correspondant d’Al Jazeera a déclaré qu’un bombardement israélien avait visé une mosquée à l’est de Jabalia, dans le nord de la bande de Ghaza. Samedi, l’armée d’occupation israélienne a détruit deux mosquées dans les quartiers d’Al-Zaytoun et d’Al-Sabra, au sud de la ville.

«Bombe nucléaire»

Les bombardements de civils et la volonté de massacrer davantage de Palestiniens jusqu’à leur extermination ne sont pas étrangers à l’ADN sioniste. C’est ce que vient de confirmer le «ministre israélien du Patrimoine», Amihai Eliyahu, qui a déclaré dimanche que larguer une «bombe nucléaire» sur la bande de Ghaza était «une option».

Selon Al Jazeera, dans une interview à la radio, Eliyahu a exprimé également ses réserves contre l’autorisation de toute aide humanitaire à Ghaza. «Nous ne fournirions pas d’aide humanitaire aux nazis», a indiqué le ministre, ajoutant qu’il n’existe pas de civils non impliqués à Ghaza, ajoutant que «quiconque brandit un drapeau palestinien ou du Hamas ne devrait pas continuer à vivre sur la surface de la terre».

Si Netanyahu a suspendu le ministre du Patrimoine des réunions gouvernementales, ce n’est certainement pas pour ses sentiments criminels envers les Palestiniens, car le Premier ministre sioniste les qualifie lui-même d’«enfants des ténèbres». Amihai Eliyahu a été suspendu pour avoir avoué que l’entité sioniste détient l’arme nucléaire ce qui n’a jamais été reconnu officiellement.

Cette déclaration reflète «le terrorisme du gouvernement israélien contre notre peuple» a déclaré hier le Mouvement de la Résistance Islamique (Hamas). Pour sa part, le mouvement du Jihad islamique a déclaré qu’«Israël applique progressivement ce que le ministre Eliyahu a déclaré», et que «toutes les preuves révèlent l’ampleur du crime de génocide que l’entité sioniste commet à Ghaza».

60 détenus israéliens morts dans les bombardements

Par ailleurs, les Brigades Al-Qassam (branche militaire du Hamas) ont annoncé hier, dans une déclaration de son porte-parole Abou Oubaida, via Telegram, que «les bombardements sionistes sur la bande de Ghaza ont causé la perte de plus de 60 prisonniers israéliens depuis le 7 octobre».

Selon la même source, «après les opérations de recherche, 23 corps d’entre eux sont toujours portés disparus sous les décombres», ajoutant que les restes de ces corps ne «seront jamais atteints en raison de l’agression brutale et continue de l’occupation contre Ghaza».Les Brigades Al-Qassam avaient annoncé qu’elles détenaient 200 prisonniers sur environ 250 Israéliens au total capturés par les factions de la résistance palestinienne lors de l’opération «Déluge Al-Aqsa» du 7 octobre 2023.

La mosquée Al-Aqsa de nouveau envahie par des colons

Des dizaines de colons sionistes extrémistes ont fait irruption dimanche dans l’enceinte de la mosquée Al-Aqsa, à El-Qods occupée, rapporte l’agence de presse palestinienne, Wafa. Selon les mêmes sources, les colons extrémistes ont envahi la sainte mosquée, et ont effectué des actes de provocation à proximité de la salle de prière d’Al-Rahma.

Troisième site le plus saint de l’Islam, la mosquée Al-Aqsa subit des actes de profanation au quotidien par les colons et les agents de police sionistes. Ces actes visent à judaïser la ville d’El-Qods, imposer une nouvelle réalité et changer l’identité culturelle de la ville sainte.

Par ailleurs, trois Palestiniens sont tombés en martyrs dimanche sous les balles de l’occupation sioniste dans deux villes de Cisjordanie occupée, Abou Dis et Al Khalil, a indiqué le ministère palestinien de la Santé.

Toujours en Cisjordanie, la Brigade de Jénine des Brigades Al-Qods (la branche militaire du Mouvement du Jihad islamique) a déclaré hier avoir fait usage d’engins explosifs contre les forces d’occupation israéliennes et des véhicules pénétrant dans le camp de Jénine./


           Israël veut un Hiroshima en Palestine !

La barbarie sionite dépasse tout entendement. Le massacre de près de 10.000 civils palestiniens et le déplacement forcé de 1,7 millions d’habitants de Ghaza vers le Sud ne satisfait plus les membres du gouvernement sioniste fasciste de Netanyahou qui pensent à l’annihilation totale de la population de la Bande Ghaza en faisant usage de l’arme nucléaire.

Le mot est lâché : l’entité sioniste veut provoquer un autre Hiroshima à Ghaza. Contrairement à ce que tentent de nous faire croire les médias mainstream occidentaux, la menace nucléaire ne provient pas de Moscou et de Téhéran, mais bien de leur allié israélien. Un membre du gouvernement Netanyahou, Amichai Eliyahu et qui partage les mêmes idées sionistes fascistes que le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir, a appelé hier au largage d’une bombe nucléaire sur Ghaza. Selon « Times of Israel » a Eliyahu a indiqué lors d’une interview avec une radio locale que l’usage d’une bombe nucléaire « était une éventualité ». Et d’ajouter, « il est question d’une manière ou d’une autre d’éliminer ce qui leur fait peur et ce qui est susceptible de dissuader ». Il a considéré que « les civils ne sont pas différents du Hamas et ils doivent trembler et baisser les yeux au passage d’un soldat israélien ». Il a appelé à faire déplacer les Palestiniens en dehors de Gaza, précisant que « Nous avons besoin de les faire sortir de la Bande de Gaza… Ils peuvent aller en Irlande ou dans les déserts ». Une déclaration des plus choquantes et qui met à nu les intentions génocidaires de l’entité sioniste, même si Netanyahou a tenté une opération de « contrôle des dommages » provoqués par son ministre en prétendant que les Israéliens « respectent le droit international ». Une allégation qui est très éloignée d’ailleurs de la réalité de ce qui se passe à Ghaza. Et l’évocation du recours à « l’option nucléaire » à Ghaza, souligne d’ailleurs l’étendue de la destruction opérée par l’occupation dans l’enclave palestinienne qui a largué une quantité d’explosifs, à ce jour, qui dépasse largement le tonnage des bombes H utilisée par les Américains au Japon (Hiroshima et Nagasaki), sans oublier l’usage de munitions interdites par le droit international, ainsi que du phosphore blanc aussi bien à Ghaza que dans le Sud du Liban. Le fait est que le propos de Amichai Eliyahu démontre encore une fois que le projet sioniste aussi bien à Ghaza, qu’en Cisjordanie ne s’ouvre sur aucune perspective de paix, mais a pour seul objectif l’extermination du peuple palestinien et le parachèvement de l’occupation de toute la Palestine, voire au-delà.

Un projet génocidaire qui se poursuit d’ailleurs, sous le regard médusé de l’opinion publique mondiale, et le silence complice de la communauté internationale.

Les télécommunications de nouveau coupées

Ainsi au 30e jours de l’agression sioniste sur la Bande de Ghaza, les télécommunications ont été coupées, hier, pour la troisième fois dans toute l’enclave. Une suspension des communications et d’internet qui facilite la dissimulation des massacres commis par l’entité sioniste.  D’ailleurs, peu après la mise en place de ce black-out, les forces d’occupation ont lancé de très intenses bombardements à Ghaza-ville et d’autres zones dans le nord de la bande de Ghaza. Les déflagrations étaient tellement puissantes qu’elles pouvaient être entendues depuis Rafah à l’extrême sud de la Palestine, selon des médias. Rappelons aussi que l’occupation a bombardé dans de samedi à dimanche une maison dans le camp d’Al Maghazi. Un massacre qui a fait au moins 51 morts. D’autre part, les avions de combat d’occupation ont lancé des raids intensifs sur les quartiers de l’ouest et du nord de Ghaza et ont largué des bombes au phosphore blanc sur ces camps de réfugiés, des armes interdites selon les conventions internationales sur les armements, en particulier sur le camp d’Al-Shate, à l’ouest de Gaza. Dans la nuit de samedi à dimanche, le ministère palestinien de la Santé avait rapporté qu’au moins 30 Palestiniens, en majorité des enfants et des femmes, étaient tombés en martyrs et une centaine d’autres blessés dans les bombardement de l’aviation sioniste contre le camp de réfugiés d’Al Maghazi, dans le centre de la bande de Ghaza. Le bilan depuis le début des attaques le 7 octobre est très lourd. Près de 10.000 personnes ont été tuées, alors que des milliers d’autres sont portées disparues, puisqu’elles se trouvent toujours sous les décombres. En effet, quelque 9.883 Palestiniens sont tombés en martyrs et plus de 26.000 ont été blessés, depuis le début de l’agression sioniste contre les Palestiniens à Ghaza et en Cisjordanie occupée, a annoncé dimanche, le ministère palestinien de la Santé. L’occupant sioniste a ciblé 3 hôpitaux principaux (l’hôpital Achifa , l’hôpital Nasser de pédiatrie, et l’hôpital El Qods), selon des sources cité par l’agence palestinienne Wafa. Les structures de soin sont d’ailleurs des cibles privilégiées pour les avions de l’occupation, tout autant que les réserves d’eau, les centrales électriques et les refuges. Dans ce contexte, le Croissant-Rouge palestinien a exhorté, hier, la communauté internationale à intervenir en urgence pour protéger le personnel de l’Hôpital El-Qods, ses 500 patients et plus de 14.000 déplacés, dont une majorité d’enfants et de femmes, qui y ont trouvé refuge. « Les forces d’occupation ciblent l’Hôpital depuis plus d’une semaine, mais les bombardements d’aujourd’hui sont les plus intenses enregistrés », a dit la porte-parole du CRP, Nebal Farsakh, expliquant que les ambulanciers ne peuvent même pas aller secourir les blessés en raison de l’intensité des frappes. Elle a précisé que « les frappes ont fait plusieurs blessés, dont au moins quatre dans un état grave parmi les déplacés ayant trouvé refuge dans l’établissement, qui ont reçu des éclats d’obus et des bris de verre, et deux  patients, dont un dans l’unité des soins intensifs ». L’Hôpital a également subi de « graves dégâts au niveau de l’unité des soins intensifs et aux troisième et quatrième étages », a-t-elle ajouté, prévenant que l’établissement pourrait subir une frappe directe si les violents bombardements se poursuivent.

Une plainte à la CPI

Des exactions qui font réagir. Ainsi, une déclaration conjointe, publiée samedi dernier par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), le Fonds des Nations unies pour la population et l’Organisation mondiale de la santé, a fait état que, vendredi dernier, 2.326 femmes palestiniennes et 3.760 enfants sont tombés dans des attaques sionistes. Les organisations onusiennes précisent que ces chiffres représentent 67% des victimes décédées tandis que des milliers d’autres ont été blessées. Les violations sionistes contre le secteur de la santé à Ghaza ont jusqu’à présent causé le décès de plus de 150 travailleurs de la santé, la destruction de 27 ambulances, en plus de la mise hors service de 16 hôpitaux et 32 centres de soins de santé primaires, d’après la même source.Les organisations des Nations unies ont souligné que «les bombardements, les dommages causés aux établissements de santé ou à leur incapacité à remplir leurs fonctions, les déplacements massifs, l’effondrement des systèmes d’approvisionnement en eau et en électricité, en plus de restreindre l’accès à la nourriture et aux médicaments, entraînent de graves perturbations dans les services de santé pour les mères, les nouveaux-nés et les enfants.

Face à l’étendue de ces exactions, un panel de barreaux de plusieurs pays, dont l’Algérie, des représentants de la société civile et des ONG, ont décidé de déposer une plainte jeudi devant la Cour pénale internationale (CPI) contre les crimes de l’entité sioniste à Ghaza dans l’objectif « de pousser la CPI à appliquer le droit international face à la puissance des armes et de l’argent ».

« Cette plainte a pour but de demander, d’une part, au procureur de la CPI d’user des prérogatives de son instance, afin d’imposer le droit international et celui des minorités face à la puissance des armes et de l’argent qui est en train de commettre un véritable génocide contre les Palestiniens, et d’autre part, de dire aux Palestiniens qu’ils ne sont pas seuls face à la barbarie » des Sionistes, a précisé l’avocat Gilles Devers dans une déclaration à l’APS, notant que de telles démarches ont déjà fait bouger la CPI concernant d’autres conflits dans d’autres régions.   Selon Me Devers, « les initiateurs de cette démarche ont tenu compte de plusieurs paramètres pour rédiger cette plainte, dont les définitions légales du concept de +génocide+ et de +jurisprudence+ ». Précisant qu’il y a deux types de génocide, à savoir le génocide par extermination (liquidation physique et immédiate) et celui qui consiste à briser les conditions de vie des personnes avec un discours deshumanisant, l’avocat a indiqué que les initiateurs de cette plainte ont centré leur plaidoyer sur la deuxième définition.

Il relève, à cet égard, que le deuxième type du génocide est le plus grave, « car c’est un génocide qui vise à placer les populations en dehors de l’humanité et de leur faire comprendre qu’ils n’ont plus leur destin entre leurs mains et ça s’accompagne d’un discours déshumanisant ». « Dans ce type de génocide, il y a la privation de soins, la privation des aliments, la privation de l’énergie, la destruction de maisons, les déplacements forcés des populations, les bombardements contre des civils, le transfert des populations. Ces éléments sont tous accompagnés d’une volonté de +casser+ le groupe, c’est-à-dire qu’on ne se prend pas à telle ou telle personne, mais qu’on s’en prend globalement au groupe pour lui faire comprendre qu’il n’a plus sa place et il doit partir », a expliqué l’avocat des justes causes. « L’occupant dans ce type de génocide vise à travers cette politique à priver le peuple de son droit à l’autodétermination », a-t-il insisté. Soulignant que « les Palestiniens ont le droit de se défendre », l’avocat Gilles Devers a noté que l’entité sioniste « est hors la loi sur toute la ligne, et ce dès le début ». Pour le juriste, l’entité sioniste ne fait actuellement à Ghaza « que reprendre ses vieux crimes et défiance pour la légalité internationale », rappelant qu’en 1948 déjà, elle avait chassé quelque 750.000 Palestiniens de leurs terres.

Lyes Saïdi


         L’usage d’armes chimiques par l’armée sioniste confirmé

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Dans le cadre de son plan d’extermination du peuple palestinien, l’armée  sioniste a bel et bien utilisé l’arme chimique dans le bombardement de la population civile de la bande de Gaza.
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Pour le ministère  palestinien de l’Intérieur , il n’y a aucun doute sur l’usage par le Tsahal d’armes chimiques dont l’utilisation est interdite par la communauté internationale. L’usage d’armes chimiques est confirmé par l’apparition de nuages toxiques y compris dans des lieux d’accueil de personnes déplacées.
Ces derniers jours, l’armée sioniste a redoublé d’intensité en matière de bombardement de la bande de Gaza avec des munitions au phosphore blanc, des gaz toxiques ont été signalés dans un camp de réfugiés, a annoncé ce 5 novembre le porte-parole du ministère palestinien de l’Intérieur, Iyad Al-Bazm.
« La nuit dernière, la teneur en phosphore la plus élevée a été enregistrée dans le camp de réfugiés palestiniens d’Al-Shati, provoquant la formation de nuages de gaz toxiques et des incendies », ajoute-t-il.
Il convient de rappeler, que , l’ambassadeur de Palestine auprès de l’ONU à Genève, Ibrahim Khraishi, avait déclaré aux journalistes qu’Israël avait fait recours à des munitions au phosphore blanc lors de ses opérations militaires à Gaza et au Liban les 10 et 11 octobre./

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