L’Algérie vit avec une constitution caduque depuis des semaines. Il est impossible de vouloir faire application de certaines de ses dispositions et de considérer les autres comme impraticables.
La mobilisation populaire obtient une autre victoire. Après la chute de Bouteflika, un autre «B» quitte la scène sous la pression de la rue. Il s’agit du président du Conseil constitutionnel, Tayeb Belaïz, nommé à ce poste le 21 février dernier, en ...