Les énigmes de Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie »

 

   Avec les crises des cerises du système qui se succèdent et se rassemblent en douce « Fronce » qui défonce les peuples, il est fort probable qu’il n’y aura pas eu beaucoup de cadeaux sous le sapin pour tous les attaquants de l’équipe de guerre du FMI (France-Maroc-Israël), contre l’Algérie et son peuple, déguisés en libérateurs de l’avenir tout tracé ? avec le « Panot » de Mathilde et des « opinions détenues +» de décapitation qui ont enjambé le tourniquet de Coquerel « Molotov ». 

C’est pour cela que je me dis qu’il y a des choix à faire en offrande,  à l’occasion de ces fêtes de « faim » d’année, tout en respectant le devoir sans réserve de solidarité avec un fonctionnaire (re)traité de la diplomatie ; [lequel, après deux mandats (2008-2012 et 2017-2020) d’excellent diplomate du système, poursuit le blindage des murs entre les deux rives, avec une troisième affectation naturellement pas officielle]; car on peut offrir un cadeau de « Moel » à cet  ambassadeur énigmatique « qui ne doit pas dire ça » sur l’Algérie et son peuple, si évidemment son excellence du « Dilem » l’accepte, vu qu’il a presque fini sa tempête médiatique, dans un verre d’eau salée, au point de générer la goutte qui fait déborder le vase colonial.

C’est vrai, il a doublé le bail, leur excellence, celui qui nous décrit à la perfection le théorème de l’inversion des valeurs et des rôles, théorème qui je l’espère est enseigné en sciences politiques modernes dans le monde anticolonial. Excellents résultats directs, et même inédits de son bon boulot : « brouille diplomatique entre Alger et Paris, rappel de l’ambassadeur d’Algérie de Paris, convocation de son successeur par les autorités algériennes, fermeture de l’espace aérien algérien aux avions militaires français, fermeture du dialogue entre les deux capitales, etc.  Que pouvons-nous attendre de mieux d’un ambassadeur de « Fronce » dans un pays meurtri par 132 ans de son colonialisme sauvage, qui continue à héberger douillettement, en les couvrant d’une couette démocratique, des groupes classés terroristes en Algérie ? Sans parler des coups printaniers (en réalité hivernaux) fabriqués pour l’Algérie, après l’arrachage de son indépendance, et non sa « décolonisation » comme le propage le système « Daoud 19 » et les victimes de sa pandémie politique virale, à côté des colons.

A l’occasion donc de la sortie de ses énigmes, en mars 2022- (Ed. Éditions de l’Observatoire / Humensis, Paris), et annoncée dans « la grande dictature Algérienne » aux éditions (dont le nom révolutionnaire a été lui aussi converti en colon) Frantz Fanon, il avait déclaré : « Les Algériens ne comprennent que les rapports de force » et il considère que la position française vis-à-vis de l’Algérie est bien trop « timorée ».  C’est là où l’on reconnait la démarche d’un grand diplomate, au langage pur « miel » produit dans le cadre des écoles « à Quai » d’Orsay, pour former les futurs pionniers de la maison. Voilà la vraie diplomatie moderne, révolutionnaire même, qui fait le lien entre l’immortel Frantz Fanon et Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » par le canal du « KD », l’informateur-détenu d’opinion de Reporter avec beaucoup de Frontières (RSF).

 

Le « Dilem » c’est qu’il paraît que c’est Aitaoudia9,  l’un des Zapatas algériens modernes, dont la révolution coule dans les veines, qui a fait le lien entre  le « K »Drareni de RSF (ou RSM : Reporters Sans Ménard de Jacques-Marie Bourget), Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » et la planche d’un cercueil du croque-mort de la caricature, à travers une publication du « Canard déchaîné »  contre l’Algérie ; tout cela sous couvert de la « Liberté » d’un détenteur du grand capital algérien à faire couler les richesses de la rive Sud, dans les poches de la grande bourgeoisie du Nord. Même les sciences physiques sont convoquées pour inverser le principe « capital »  des vases communicants.

Qui a encore des doutes sur la qualité révolutionnaire du « K » Drareni, de son pote le barbouze de type moustache-pistache El Kadi (de la Radio Meuuuuh) et de sa progéniture mythologique Tin Hinane, des porteurs du Kamis sans frontières, des berbérologues au fanion de « Jacques Naftali Bennett », des pingouins bras cassés (c’est un pléonasme)  ? Aïtaoudia9 doit-être un « couploutiste ».

Comme dans l’introduction de ses énigmes, il glisse : « J’ai aimé l’Algérie, j’aime les Algériens, j’ai gardé beaucoup d’amis (je m’en doutais bien)…. J’ai réuni et gardé autant de fidélités » ; alors je me suis dirigé électroniquement pour visiter sa page des réseaux « twitter » construits autour du peuple algérien. Outre le classique chant des ruines politiques, j’ai trouvé sur sa page pas du tout vierge, les deux imminents supporters du régime du FMI (France-Maroc-Israël), Boualem Sansal (avec qui je partage malheureusement le prénom) et Daoud 19.

C’est là aussi que j’ai vu sa course politique à pieds nus, engagée contre le peuple algérien, pour lui faire barrage et le faire s’écrouler dans le ravin de l’histoire des chaos révolutionnaires. Beaucoup de conférences politiques dirigées singulièrement contre l’Algérie, mais naturellement présentées à l’envers, dans l’espace et dans le « thon », couvertes par des promotions médiatiques énigmatiques (en réalité pas plus que ça).

Sur son amitié avec les Algériens, il parle peut-être de ce fromager biberonné au lait frais, Rachid Ibersiene, dont il assure la promotion sur sa page de « réseaux » fidèles, après sa mise en ligne par un Tir Sur l’Algérie (TSA- le canard du fast-food médiatique) des Guemache frère et frère, les cousins de François Aïssa Touazi, le parrain « kabyle AOC » de Marc Endeweld. A moins que ce ne soit un leurre, pour fermenter crûment le lait, avec cette pub de Rachid Ibersiene, qui risque d’avoir des emmerdes pour se défaire de l’étiquette « Wlid Frensa –Amiss N Frensa –agent colonial », qu’on lui a collé.

En revanche, ce qui est énigmatique sur sa page d’amis des « réseaux » Françalgérie, c’est que je n’ai pas trouvé Rachid Hamamouche, le roi de la vinasse en Algérie, celui qui a été décoré par Bernard Emié (le patron des « services sucrés » en « Fronce »), avec qui il s’apprêtait à boire le vin en « Baron », comme au bon vieux temps, sans le pain et le boursin, alors que ce jus de raisin fermenté se déguste dans des ballons. Bien que leurs silhouettes paraissent minces, ils ont l’air d’avoir un gros ventre, du moment que c’est le peuple qui trinque, notamment par le canal de l’éducation à la « Mecque des révolutions » de Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie ». Rachid Hamamouche ne doit pas être un habitué des cercles restreints de la Françalgérie, au point d’avoir été décoré des « propres » mains de l’actuel patron des services « sucrés » du système d’une légion (étrangère ?) de Chevalier (au galop, au galop, …) de l’ordre (établi) au mérite agricole, probablement pour son labourage du terrain, avec le pinard du renard qui rend ivre de joie les charognards.

Rachid Hamamouche, n’assure pas non plus la continuité du service (comme on peut le constater !), et doit appartenir à la « Mecque des révolutions » arrosée du vin béni par son excellence.

A la Toussaint, le vin est sain pour ce juppéiste dont les frères du cousin (titulaires du canard qui vole à l’envers), ont dressé un joli portrait dans leur édition du 3 juillet 2017 : « Enarque du système, lié à la famille Debré par sa femme (et pas son épouse ?- ce sont des féministes à TSA, la femme est l’objet de leur homme); conseiller, avec un certain  Bernard Emié (patron des services « sucrés » aujourd’hui) au cabinet d’Alain Juppé alors ministre des Affaires Etrange-ères ; un diplomate qui se revendique catholique pratiquant (qui a beaucoup donné à l’Eglise de la Nativité de Bethléem emmurée, barricadée, colonisée), lequel est promu en 1995, conseiller diplomatique d’Alain Juppé à Matignon ,…etc);  et puis juste l’année d’avant,  il n’a vraiment pas eu de chance, puisque selon Sarah Belhadi qui TSA (Tirs Sur l’Algérie), il était de permanence, en ce jour de Noël 1994, lorsqu’un avion d’Air France et ses passagers sont pris en otage à Alger.

Sans vouloir remuer leurs couteaux dans les plaies, notamment celles des familles des victimes de cette barbarie (enseignée sous l’appellation de « régression féconde » par un accidenté de la vie scientifique), ne faut-il pas s’interroger sur la désignation par le système de Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », et son accréditation par le clan de Said Bouteflika, comme ambassadeur à Alger ?  Alors que son chef de file indienne de la politique, Alain de son prénom, était un acteur majeur dans la guerre des tranchées des services contre l’équipe Pasqua, qui a coûté la vie aux sept moines trappistes du monastère de Tibhirine en 1996 (et non en 1993, comme indiqué dans l’interview du KD de RSF, publiée sur le site de leur excellence à Alger) ! On peut dire que la neutralité politique a été largement respectée. Concernant ce massacre de religieux, Jean Charles Marchiani (Alexandre Stefani pour les intimes), ancien agent des services qui n’avait pas perdu une ride, en contact avec les « décapiteurs » (classés aujourd’hui démocratiques en « Fronce »), donne une idée de la guerre des clans politiques au sein de ce système qui tourne à plein régime, tout en enfonçant Alain le marin « droit dans ses bottes ».

En principe pour éviter toute forme de confusionnisme, le clan juppéiste devrait se tenir loin des canaux diplomatiques avec l’Algérie, pour ne pas laisser s’installer le doute, après les déclarations fracassantes de JCM. Mais puisqu’ils n’ont plus de principes, alors ils alimentent le doute sur toute la route pour rendre hermétique toute voie de réconciliation avec le pays des lumières en manque d’éclairage.

C’est sans doute le hasard, pour celui qui s’interrogeait sur la succession de Bouteflika par une nouvelle génération (de reptiles jaunes, formée dans les laboratoires coloniaux du FMI ?) grâce au travail (auquel il aspirait ?) en profondeur dans ce pays, au regard des développements (terroristes) au Sahel et en Libye, pays détruit par « le système » au nom des Droits de l’Homme à décapiter. Du coup, il a accédé à quelques « clés » pour comprendre et déchiffrer ce que les Algériens appellent « système »; je ne sais pas s’il parle du sien, celui  qui l’avait désigné pour la continuité du service (toutes couleurs politiques confondues), depuis 1984, sur beaucoup de missions de société civile;  puisqu’en effet, selon le journal « Les Echos » du 3 aout 2006, il s’agit de celui qui a occupé l’un des postes de l’ombre les plus prestigieux (qui ne dit pas son nom)  des armées d’attaque : « Chef du service des ventes de matériels militaires et de la coopération en matière d’armement à la direction des affaires économiques et financières au ministère des Affaires étrangères de 1986 à 1989 ».

Cette prière cathodique n’est-elle pas belle ? Une « Mecque des révolutions », imaginée et plaidée par l’ancien vendeur d’armes officiel de la « Fronce », au point de miser sur une Mecque imaginaire à l’envers. Beau travail, qui pousse le cheptel que nous formons, à brouter l’herbe de leur ami le roi du hachich et du bakchich, en étant confortablement allongé sur le dos. On va avoir des courbatures et des crampes au niveau de nos neurones avec « les légumes » et « les bananes » révolutionnaires de couleur politique jaune, qu’on nous fait défiler sur leurs écrans de fumée pour les voiler…

Sans aller, nous dit-il (comme s’il était obligé d’y faire référence pour éviter de faire passer l’idée coloniale), jusqu’à reprendre la formule de François Mitterrand en 1954, « L’Algérie, c’est la France », il indique juste par hasard que « la question algérienne est une question politique interne française… ». Que voulez-vous comprendre avec une telle formulation ? Ce n’est pas assez clair pour celui qui considère que l’armée algérienne, contrairement aux armées du FMI qui encerclent le peuple algérien et même toute l’Afrique, est une entrave à la construction de sa « Mecque » des « révolutions colorées », en confisquant la banane du « Hirak » que la grande bourgeoisie algérienne distribuait dans les déambulations de clochardisation préfabriquées pour les citoyens innocents.

C’est ce qui nous permet d’aborder la prochaine énigme qui reste à résoudre, après celle de son audition « sucrette », (qui ne sera pas publiée !) en plein « Hirak » -le 5 juin 2019- par la commission des Affaires Etrange-ères, de la défense (mais surtout de l’attaque) et des forces armées (jusqu’aux dents) du Sénat, qu’est le questionnement sur la possible implication de l’ambassade de France en Algérie dans un grand complot visant l’état-major de l’armée algérienne. Selon certaines sources, des responsables des services de renseignements Français (DGSE) auraient participé, avant la destitution d’Abdelaziz Bouteflika, à des réunions secrètes impliquant, entre autres, Saïd Bouteflika et la secrétaire générale du Parti de la « défonce » des travailleurs : tata Louiza Hanoune, celle qui a donné le tournis à Trotsky… Il paraît que Hanoune la coquine n’a pas lâché prise ! Elle continue à agiter le chiffon syndical à l’envers, au complexe sidérurgique d’El Hadjar (Est-Algérien), par l’intermédiaire de ses bras cassés, pour fouetter les travailleurs et les mettre à genoux devant le grand Capital pour lequel elle roule.

Il est énigmatique, Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie », sur la cession amiable, par l’arrêté du 6 février 2013, de la Villa « les Zebboudj », sise au 10 Chemin Sfindja à El Biar, et dont l’Etat français était propriétaire, à un membre de la « galaxie bourgeoise de pillage de l’ancien régime du rêve colonial ». Si même le ministre de l’Economie et des Finances, dans sa réponse à la question posée par un député Français Gentille, ne donne pas le nom de la personne physique bénéficiaire de ce cadeau de villégiature à  4,87 millions d’euros (estimé par le Ministère des Affaires Etrangères à 10 millions d’€), ne comptez pas sur moi pour résoudre l’énigme immobilière des millions d’euros de « Xavier Le Drian Court toujours derrière l’Algérie ».

Sinon, l’autre énigme qui n’est pas encore résolu, c’est cette affaire d’espionnage qui a éclaboussé l’Ambassade de France en 2018, où se mêlent des trafics en tout genre (trop longs à inventorier dans cette modeste contribution), mais surtout la collecte de renseignements sécuritaires sensibles par le dénommé A.Z, qui collectait les mouvements de personnalités au niveau des frontières aéroportuaires d’Alger, pour les remettre aux services de renseignements français à Alger.   A.Z a été condamné le 11 novembre 2020 à une peine de 7 ans de prison ferme, pour avoir fourni des informations sensibles et secrètes, au profit d’un pays étranger (devinez lequel ?) au détriment de l’Algérie. Interrogé par « Le Point » levé (date de publication du 12/11/2020), Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », a répondu que cette affaire « ne (lui) dit absolument rien, mais rien du tout ».  Pourquoi, il y en a eu beaucoup d’autres affaires d’espionnage, au point que cela ne dise plus rien à celui qui a régné sur la Villa des Oliviers et sur le Parc Peltzer à Alger, durant sept longues années ?

Au prochain tour, puisque la course n’est pas finie, il va falloir enfiler des chaussures à pointes, pour suivre Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », celui qui aurait dû suivre le parcours des Bernards « Bas Joli » et « l’Hermite » Emié, lesquels, après les secrets de la Villa des Oliviers, ont atterri par hasard à la tête des services « sucrés ».

J’espère qu’il n’est pas impatient, Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », pour prendre connaissance de la deuxième course hippique de la politique,  avec ses énigmes voilées, pour nous inciter à résoudre celle de l’excellent « informateur » K. Drareni, de RSF (RSM-Reporter Sous les Frontières du joli Robert Ménard) -tout est écrit en syllabes de la politique « sucrète »-, dans son tweet « mystérieux », que son système a préfabriqué pour les  « bovidés », après les avoir « covidés » au « Daoud 19 ».

D’ailleurs RSM, en soutien à la « liberté d’expression bien ficelée » et accessoirement employeur du KD, vient de pousser des hourras, suite à l’ordonnance rendue en référé par le Conseil d’État, à leur demande,  tout en saluant la décision prise le 14 décembre par l’ARCOM, le régulateur de l’audiovisuel, de mettre en demeure l’opérateur satellitaire français Eutelsat de cesser la diffusion des chaînes russes Rossiya 1, Perviy Kanal et NTV. Je ne suis pas un supporter de ces médias qui faisaient défiler des pingouins révolutionnaires en Algérie, appartenant à l’espace délimité par la « Mecque des révolutions » de Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », mais cela ne m’empêche pas de constater la construction de l’énorme mur des frontières de l’information par les employeurs du KD.

En réalité, je ne voulais pas gâcher la fête de la Saint Sylvestre à Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » !  Et j’ai préféré reporter ? pour la nouvelle année 2023, cette seconde partie, pour ne pas rater celle de l’Epiphanie (tous les chats sont gris) de ses énigmes ; par ailleurs, je voulais aussi équilibrer le poids de ses devinettes installées sur le cheval de la gymnastique de la politique ; surtout que l’Algérie est en train de nettoyer la place publique des déchets (je n’ai pas dit des ordures) des corbeaux gavés avec l’argent qui a une mauvaise odeur, pour chasser les hirondelles. Ces déjections coloniales en décomposition avancée (Wled Frensa- Arew N Frensa- descendants des colons) que le système nous commercialise sur ses ondes en crème Chantilly, ont été dévoilées en collabos fachos fâchés par les militants algériens restés debout, face à la déferlante de guerre du système du FMI.

Sans parler du fait que le barbouze moustache-pistache a volé la vedette, puisque tous les projecteurs du système sont braqués sur leur agent médiatique financé par le régime toujours colonial, qui doit être totalement étranger à Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie ». Ce gars est un pro, car en plus du bon boulot colonial qu’il accomplit, avec sa radio Meuuuuh du FMI, il a réussi à se faire passer pour le Julian Assange algérien.  Un pingouin révolutionnaire, ça se reconnait au nombre de micros planqués entre les poils lisses de sa moustache, rendue jolie au moyen d’un brushing colonial, réalisé chez les généraux tondeurs du FMI, ces maîtres de la manette et des ciseaux de circoncision berbéro-islamique de la politique, conçus spécialement pour les « bougnoules ».

Ma première rencontre médiatique énigmatique avec son excellence Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie », que j’avais déjà contée dans le « Kabyle AOC » (Appellation d’Origine Contrôlée), concerne l’affaire Zaïr Kédadouche : ce Franco-algérien (corps étranger), ambassadeur de France à Andorre, qui  dans sa lettre du 18 juin 2013 (adressée à Laurent Fabius, son ministre de tutelle, au Président F. Hollande, au Président du Sénat, au Président de l’Assemblée Nationale et à la Présidente de la commission des affaires étrangères de l’AN) dénonçait la diplomatie de sérail et du système, le «  stéréotype de classe ‘Pas d’arabe au Quai’ » qui visait par ailleurs cet ancien Inspecteur général du Ministère des Affaires étrange-ères. Ce dernier a fait condamner, en 2016, le premier qui a tenté de réduire la jetée de « la race » dans le système « Quai » d’Orsay, à 500 € d’amende avec sursis et 3000 € de dommages et intérêts. Il est fou ce Zaïr Kédadouche ! Il a cru pouvoir perturber, avec ses « histoires de racisme », l’occupant « à Quai d’Orsay » du poste « peinard » ou « pépère », auquel légitimement certains pouvaient aspirer avant leur retraite.  Depuis cette époque, et même avant, l’extrême-droite banalisée aux belles idées démocratisées tourne à presque 50 % des voix officielles ; officieusement, c’est un raz-de-marée qui couve sous le voile politique, et même « Speedy » Gonzalès a annoncé avec fierté sa désignation au poste de Vice-Président du groupe parlementaire d’amitié de « Fronce » avec l’Algérie ; il a vite appris la stratégie de l’infiltration par le canal amical des guerres de quatrième génération. « Nous -ils sont- sommes en guerre », avait déclaré six fois notre commandeur « O’Macron », lors de son allocution du 16 mars 2020.

Si Zaïr Kédadouche était titulaire du label « Kabyle AOC-Appellation d’Origine Contrôlée), eh bien il lui aurait été peut être possible de plaider la cause universelle antiraciste sur la chaîne de la génétique des populations du « Berbéristan », dirigée dans le sens du vent par Mohamed Saadi (qui n’a rien à voir avec Said Samedi Saadi – SSS), comme l’a fait Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie », qui a été invité à commercialiser ses énigmes algériennes sur l’écran de fumée des « berbérologues » révolutionnaires.

Ce passage sur la chaîne d’information du  « berbéristan » est la marque de fabrique, qui nous a fait économiser beaucoup d’énergie pour la recherche génétique des populations, à qui l’on taille l’information sur mesure, avec toutes les anguilles qui crèchent sous roche; ceci afin de convaincre les récalcitrants aux guerres tribalistes fabriquées par la lignée des Basset (de père en FIS), sous Napoléon III, jusqu’aux foreurs scientifiques-ethniques modernes, guidés dans les galeries souterraines sombres de l’histoire par le professeur « O’ mérite » Salem Chaker.

Donc, pour continuer à suivre le sprinter diplomatique Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », dans cette course à pieds nus avec des chaussures à pointes, lequel va finir par nous faire transpirer avec ses énigmes révolutionnaires, il faut savoir que je ne l’ai pas vu inquiet par son ciblage d’espionnage avec le logiciel « Pegasus » du système du FMI. En effet, ce qui est énigmatique, c’est qu’il est cité dans la « presse », y compris celle du royaume enchanté de Mimi 6, parmi les « mires de lignes » de cet espionnage, comme d’ailleurs son attaché-militaire à l’ambassade à Alger. S’il n’a pas réagi, c’est sans doute que « son excellence » n’a rien à cacher de ses missions de représentant du « système » en Algérie : il travaille en toute transparence ! Et puis, être espionné par le logiciel « Pegasus » de la firme israélienne NSO Group, lorsque même quatorze ministres en exercice, en plus du premier d’entre-eux, et de nombreux représentants du système, ainsi que notre commandeur du régime « O’Macron », sont logés à la même enseigne ! … Cela doit être considéré comme un honneur, dans leur monde parallèle !

L’énigme insoluble, ici, est le fait « rarissime », relevé par France culture (de Radio France silence), dans un article en date du 20 juillet 2020 :  « Emmanuel Macron appelle directement l’ambassadeur de France à Alger, Xavier Driencourt, et le somme de faire un aller-retour à Paris pour évoquer la crise algérienne (orchestrée avec des bananes)  avec le ministre des Affaires étrange-ères Jean-Yves Le Drian ».

Dans cette banale affaire d’espionnage, nous pouvons constater que la France politique entière ne semble pas intéressée pour éclairer l’opinion publique, à travers par exemple une commission d’enquête parlementaire, même dépendante du système.  Les codes nucléaires (dérobés par la porte téléphonique) sont-ils entre les mains d’un fou qui joue aux échecs avec un roi sur table ? A moins que le FMI brouille les cartes entre le F et le MI, pour les faire passer pour des ennemis, alors qu’ils parcourent la même route de la noix.

Je l’avoue, je n’ai pas lu totalement son œuvre « énigmatique-salutaire » tellement répulsive, puisqu’elle est ventilée énigmatiquement avec l’éolienne « complotiste » du « Dilem » d’horreur, qu’on nous brandit dans la démocratie de plateau en solo, dont sa « Oumma.com », qui nous veut du bien. Le « Dilem », qui n’est pas un synonyme de l’énigme, c’est de voir célébrer ses « mystères » caricaturés avec l’encre du croque-mort, dans une interview donnée à la « Oumma.com » pas tout à fait catholique, dans le canard de Nicolas « Joli », celui pour qui le royaume d’Israël est « Beau ».  Ce dernier, y compris en politique caricaturée avec son encre indigène, mais surtout indigeste, dessine joliment « les énigmes » de son ambassadeur, face au peuple algérien habillé en militaire « Général ». Ce qui n’est pas du tout énigmatique, c’est de retrouver quatre partis-pris dans cette même publication de guerre contre le peuple algérien, puisqu’en plus du « Dilem » et de son excellence, Nicolas « Joli » précise que la « Oumma .com » ce sont ses amis ! Merci pour l’info, qui nous permet de voir plus clair le très court fil de la toile tissée autour du peuple algérien, par le long travail de l’araignée du FMI (France-Maroc-Israël). Il ne faut surtout pas voir ici une branche du « système » de « Xavier Le Drian court toujours derrière l’Algérie » !…

Pour lever le doute sur les énigmes de Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », un « indigène », membre du système colonial de l’Algérie-française, a eu sans doute la fantastique idée d’immortaliser une rencontre avec une équipe politique familiale sympathique, dans un décor plutôt troublant. On y voit à « l’extrême droite » de la photo : *Bernard « l’Hermite » Emié, ancien ambassadeur de « Fronce » en Algérie, aujourd’hui patron des services secrets du système (qui tourne à plein régime), bras-dessus, bras-dessous avec *le croque-mort de la caricature; *le farouche porteur du drapeau du MAK (organisation classée terroriste en Algérie, mais démocratique dans la douce « Fronce » qui nous enfonce); *un pasteur qui prêche peut-être la bonne parole dans une paroisse qui n’a rien de politique, et enfin *la dulcinée du patron des services « sucrés », Bernard, que le farouche Aïnouche, issu de la voix de Monsieur Charles « Roumi » hebdo, appellerait familièrement Isabelle (de son vrai prénom ?).

Entre nous, et sans façon, qui n’a pas pris de photos avec Bernard Emié, le patron des services « sucrés » impénétrables de la douce « Fronce » qui défonce, bras-dessus, bras-dessous, et même en compagnie de sa belle Isabelle ? Ils étaient en vacances ou en partance ?

D’ailleurs l’usage de l’expression « troublant » n’est même pas « terdite » ici (c’est pour cette raison que je n’en ai pas fait usage) puisqu’une catégorie de la gauche dite « radicale » a tapissé son fascicule dédié au « hirak à la banane » avec l’une de ses planches coloriées au temps des colonies, qui ne serait pas finie.

Comme on peut le constater, avec les sourires en prime (tchiizmoving), il n’y a aucun lien entre Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie » et l’encrier du clan de l’Algérie-française. Ils se sont rencontrés par hasard, et l’un des leurs a placardé fièrement ces photos-souvenirs sur la toile, rappelant un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, en prévision du prochain tour de la distribution des décorations de l’ordre (établi) des chevaliers (au galop, au galop, au galop, …) de la légion (étrangère) d’honneur.

Ce qui nous amène à une autre énigme, du même genre médiatique, puisque suite aux diverses diffusions de fakes news, de haine et d’attaques récurrentes violentes contre le peuple algérien, dans les médias publics en « Fronce », notamment en 2020 (« Algérie Mon Amour » du journaliste sportif en politique, Mustapha Kessous ; »Algérie : Les Promesses de l’Aube« , ou encore de l’éphémère expert Francis Ghiles), son excellence a été convoquée par les autorités algériennes. Conséquence à cette grave crise diplomatique, il avait donné une réponse (rapportée par un média du système-TV5 Monde-, totalement « libre », comme tout le monde le sait), à laquelle personne ne s’attendait : « l’ensemble des organes de presse (jouit et non) jouissent d’une totale indépendance rédactionnelle en France, protégée par la Loi« . Pourquoi ?  Il avait des doutes sur l’indépendance de la « presse » des milliardaires en « Fronce » qui défonce la « France » ?

Enfin, on ne peut pas demander à Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », alors ambassadeur en exercice à Alger, de résoudre l’énigme du limogeage de l’ancien premier ministre algérien, Abdelmadjid Tebboune, aujourd’hui commandeur d’Algérie, à la mi-août 2017, trois mois après sa nomination, et juste après sa rencontre « informelle » à Matignon avec le premier ministre Edouard Philipe. C’est juste le hasard. Un peu comme la confidence que lui aurait faite l’ancien oligarque, Ali Haddad, sous les verrous aujourd’hui, qui lui aurait dit : « Il est responsable de tout ce qui concerne les relations franco-algériennes ».

Après ces quelques mystères pour l’énigmatique expert Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie », il est quand même Sportmidable de le voir courir toujours derrière ce peuple qui s’est libéré des horreurs coloniales universelles, et oublier les vraies énigmes, les énigmes les plus féériques « à Quai d’Orsay » du système dont il était un imminent membre depuis 1984. Ces énigmes, qui ne sont pas celles de Roger Peyrefitte – « La fin des ambassades- Ed. Flammarion, Paris 1953 » –, ce diplomate avec quelques « vicissitudes légères en ces heures contrastées qui vont de 1939 à 1945, et qui a lancé des flèches contre le monde des ambassades qu’il connait de première main pour y avoir vécu ». Dans un communiqué « à Quai d’Orsay », en date du 24 septembre 1953, rapporté par le journal le Monde,  on apprend que Roger Peyrefitte, après avoir été exclu définitivement de l’administration, y a été réintégré en mai 1943, sur intervention de l’ambassade d’Allemagne, ceci confirmé par une lettre écrite à l’intéressé le 6 mai 1943 par le chef du service du personnel. Qui est qui, là dedans ?

Ne pouvant s’occuper de résoudre les tonnes d’énigmes décrites par Vincent Jauvert, dans « la face cachée du Quai d’Orsay, 2016- Ed. Robert Laffont), avec lesquelles on pourrait tapisser beaucoup de lambris dorés des bureaux de cette institution « prestigieuse à la dérive », dont les siennes (puisqu’il en a beaucoup connu avec toutes ses missions au service du système), ce pointeur hippique de la diplomatie « fronçaise », qui court toujours derrière l’Algérie [sans galoper sur les chevaux « arabes de Troie » des Metidji, cette bourgeoisie qui ne perd pas l’Ouest, dont le  propriétaire du « groupe Metidji », Hocine Metidji a écopé d’une peine de sept ans de prison ferme, et son fils Yacine de 18 mois]  s’est plutôt consacré à l’Algérie et son peuple. Il est bien dans l’agenda.

Vincent Jauvert, après deux ans d’enquête, révèle, à travers une centaine de témoignages et de nombreux documents confidentiels, « les secrets inavouables de ce haut-lieu du pouvoir » des dominants, où logeait professionnellement Xavier « Le Drian Court toujours derrière l’Algérie »: l’impunité dont jouissent encore les ambassadeurs, malgré les scandales qui s’accumulent ; le montant de leurs revenus réels, que l’Administration s’emploie toujours à taire ; l’étendue des malversations qui règnent dans certains consulats ; la puissance d’un réseau de hauts diplomates, surnommé « la secte», qui, dans l’ombre, influence les choix de la France ; ou encore la présence de bases d’écoutes clandestines de la DGSE sur les toits de certaines ambassades… », sans parler du scandale de « pédopholie » étouffé, de ce diplomate détaché aux Nations-Unies et renvoyé par Ban Ki-Moon, car accusé d’être un prédateur, et promu (pour le récompenser ?) dans la gestion des réseaux sociaux d’une direction de la maison, et dont le nom serait apparu dans un jury de concours interne « à Quai d’Orsay ».

Selon V. Jauvert, le patron des « bœuf-carottes » des diplomates était au parfum et a suivi de très près l’une des meilleures affaires à refaire « à Quai d’Orsay », qui concerne Bruno Delaye, ancien ambassadeur à Madrid, « soupçonné d’avoir confondu la caisse du Quai d’Orsay avec la sienne … ». Comme le « renard argenté » est l’enfant chéri « à Quai d’Orsay » et de la Mitterrandie, qu’il tutoie François Hollande et Carla Bruni, qu’il est l’ami d’une pléiade d’artistes, d’hommes d’affaires, de journalistes et d’hommes politiques de tous bords, et que même Jacques Séguéla conseille à un parterre de diplomates :« Observez-le et faites comme lui ! », du coup il n’y a plus d’énigmes à résoudre.

Alors, entre « la fin des ambassades » de Roger Peyrefitte de 1953, et « la face cachée du Quai d’Orsay » de Vincent Jauvert en 2016, qu’est ce qui a changé ? C’est l’énigme de Xavier « Le drian court toujours derrière l’Algérie », notamment avec les dernières révélations et la mise en examen de l’ancien ambassadeur de « Fronce » en Algérie, Bernard « pas joli » la mise en examen sur des soupçons de « complicité de tentative d’extorsion sur Alain Duménil, un détenteur du grand capital. Son ancien directeur du cabinet, le général Jean-Pierre Palasset, (vous avez bien lu, un général –dawla madanya –état civil) a, lui, reçu le statut intermédiaire de témoin assisté dans cette affaire. Enfin, dans cette affaire, l’autre Bernard l’Hermite, ancien ambassadeur du système en Algérie, actuel patron de la DGSE, est entendu comme simple témoin.

Au final, je ne sais pas si Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie » a posé l’énigme terminale : « C’est l’Algérie qui a colonisé la France durant 132 ans, ou le lycée de Versailles ? », notamment après son choc, suite à l’inscription « Presidency of the Republic » sur le pupitre de notre « O’Macron » à Alger, lors de la conférence de presse du 25 août 2022, et il a voilé tous les titulaires du prix de la carpette anglaise en « Fronce », grand prix d’indignité civique décroché en décembre 2022 par le commandeur « O’Macron ».   C’est Yasmina Khadra qui peut continuer à faire couler les « lames » des animateurs de plateaux d’informations préfabriquées, avec la « langue » qui pendouille comme une cravate.

Et pour clore la messe cathodique de ce croyant, il vient de signer dans la « presse » du système, une véritable tribune de guerre contre le peuple algérien, au titre inversé : « La France s’effondre, entraînera-t-elle l’Algérie dans sa chute ? », tout en apportant son soutien au barbouze moustache-pistache d’Alger, et aux médias indigènes de la « Françalgérie ». La preuve par l’absurde : « ils sont en guerre ».


      L’ex-ambassadeur ne finit pas de déverser sa haine recuite sur l’Algérie

                              Les délires de Driencourt

Il évoque l’effondrement d’un pays désendetté, doté d’une balance commerciale excédentaire, de réserves de change supérieures à 50 milliards de dollars…

Xavier Driencourt, l’ancien ambassadeur de France en Algérie s’est permis une «opinion» publiée par le quotidien français Le Figaro. Le sujet de son article est son dada depuis la sortie de son fameux livre où il raconte ce qu’il croit être les arcanes du pouvoir algérien. L’écrit pèche par une approximation insensée à ce niveau de compétence. «45 millions d’Algériens n’ont qu’une obsession, partir et fuir», écrit-il dans un journal prestigieux qui s’adresse à un lectorat sensé qui ne gobe pas n’importe quoi. Les clichés habituels sur l’Algérie sont jetés pêle-mêle, sans argumentaire, ni esprit critique. La haine d’un pays qui ne lui a pas déroulé le tapis rouge semble l’habiter en priorité.
Si l’État algérien n’a pas sérieusement collaboré avec lui, c’est tout simplement parce que Xavier Driencourt est un homme de réseaux dans le mauvais sens du terme. Durant ses deux séjours à Alger en qualité d’ambassadeur de France, il s’est entouré d’un microcosme d’individus, une «clique» de militants outrageusement pro-français qui lui disaient certainement ce qu’il voulait entendre au sujet de l’Algérie, contre un traitement de faveur pour les visas et les «fêtes de l’ambassadeur». Il s’est ainsi construit, à dessein peut-être, une «image» réductrice de l’Algérie. Il a passé sa mission diplomatique à Alger à collecter des «informations», négatives si possible sur l’Algérie, son État, sa société, sa classe politique, son économie…Bref, l’ambassadeur pense sans doute avoir fait son boulot en transmettant des «câbles» au Quai d’Orsay pour le mettre au parfum des «petites bricoles» politiques locales. Il va sans dire que ces «indiscrétions» dont il raffole, à la lecture de son livre sur ses deux passages en Algérie, étaient collectées dans les eaux troubles des hauteurs d’Alger où se fréquentaient les complotistes à deux balles. Tout ambassadeur qu’il était, il privilégiait la compagnie de «petites têtes», à peine pubères politiquement, et qui adorent colporter les plus inimaginables mensonges sur les pratiques du pouvoir d’Alger. M.Driencourt ne faisait même pas l’effort de recouper les informations qu’il recevait. Il avalait les couleuvres et les recrachait dans ses câbles avant d’en faire une matière pour son livre.
Les fréquentations plus que suspectes de l’ambassadeur ont fini par le couper intellectuellement de son métier, de sorte à ce qu’il ait cessé d’être le représentant de son pays auprès de l’État algérien pour se transformer en porte-parole d’une grappe de politiciens sans envergure, prétendument de l’opposition algérienne, dont il défendait les intérêts au Quai d’Orsay. L’ambassadeur qui a fait le tour des plateaux de télévisions françaises pour faire la promotion de son livre, L’énigme algérienne, développait le même argumentaire, mot pour mot, qu’une minuscule mouvance de la scène politique algérienne. L’homme qui a chanté les louanges du Hirak pour affirmer son échec face à ce qu’il décrit gauchement comme le «système politico-militaire», fait mine d’ignorer que les manifestants ont ostensiblement rejeté toute ingérence de la France dans les affaires internes du pays au plus fort du Hirak justement. Omettant volontairement cet épisode marquant du Mouvement populaire algérien, M.Driencourt se presse d’annoncer l’effondrement de l’Algérie à des lecteurs français qui ne savent peut-être pas que sur des dizaines de vendredis de manifestations le «pouvoir militaire» qu’il décrit comme répressif n’a pas touché un cheveu d’un Algérien. Qu’il parle donc des 60 Gilets jaunes éborgnés. Il évoque l’effondrement d’un pays désendetté, doté d’une balance commerciale et de paiement excédentaires, de réserves de change supérieures à 50 milliards de dollars et des exportations hors hydrocarbures quadruplées en 2 ans.
Il dit craindre que l’effondrement de l’Algérie entraîne la France comme en 1958. En ce temps-là, la IVe République française a été tuée par la guerre de Libération nationale. Tout ambassadeur qu’il fut, M.Driencourt doit relire son Histoire. L’homme qui salue toutes les erreurs du président Macron envers l’Algérie comme des fulgurances de lucidité, pèche par une grave cécité politico-diplomatique. Il semble ne rien savoir de son métier. M.Driencourt ne sait-il donc pas que le succès d’une mission diplomatique se mesure au degré de rapprochement entre la nation qu’il représente et celle où il exerce son métier? La réponse est assurément négative. Pour cause, son article est un aveu d’échec patent et la preuve de son incompétence. M.Direncourt est animé par une haine incompressible de l’Algérie qu’il voudrait voir au fond de l’abîme. En attendant, il ne fait que cauchemarder à constater sa bonne santé politique, sociale et économique.


Saïd BOUCETTA


 

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