Kamel Daoud, l’écrivain qui vomit sur son peuple
En 2016, j’ai écrit un livre sur l’idéologie véhiculée par les écrits de Kamel Daoud[1]. En les analysant sous la grille précise d’Albert Memmi[2], il devenait évident que cet écrivain était l’archétype du néocolonisé qui cherche à « ressembler du plus près au blanc ». Plus encore, selon Memmi, « l’amour du colonisateur e...