Le quotidien qatari Al-Sharq a fait part de la fuite en bloc des riches saoudiens et de leurs familles à destination des pays européens dont ils souhaitaient acquérir la nationalité.
Par contre, le faible volume des investissements saoudiens en Algérie, moins d'un milliard de dollars, ne plaide pas pour un raffermissement des relations économiques entre les deux pays. Bien au contraire, la frilosité des Saoudiens à investir en Algérie...
En fait, l'Algérie n'a pas les moyens financiers, ni les raisons politiques et encore moins diplomatiques pour refuser la visite du N°2 d'Arabie Saoudite. Car s'il y a les appels à boycotter cette tournée «arabe» de MBS, fortement soupçonné d'avoir com...