La communauté scientifique s’élève contre la politique sanitaire des autorités : la déclaration de Great Barrington (USA) contre les injections massives d’ARNm a récolté 870.000 signatures.

Alors que le président de la République française réunit ce lundi 6 décembre, un nouveau Conseil de Défense pour lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19, de plus en plus de voix s’élèvent contre la politique sanitaire complètement folle des autorités qui vise à vacciner toujours plus la population. Après la troisième dose de vaccin imposée, sous peine de désactivation du pass sanitaire ! Voilà qu’il est question de vacciner les enfants de 5 à 11 ans. Une décision qui serait gravissime selon de nombreux médecins et chercheurs dont nous nous sommes faits l’écho ici même.
Des effets secondaires graves
La vaccination de masse avec un vaccin encore expérimental à ARN messager inquiète depuis longtemps la communauté scientifique. Dès le 4 octobre 2020, trois scientifiques de haut niveau, le Pr Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université de Harvard, biostatisticien et épidémiologiste, spécialisé dans la détection et le suivi des épidémies de maladies infectieuses et dans l’évaluation de la sécurité des vaccins. La Dr Sunetra Gupta, professeur à l’Université d’Oxford, épidémiologiste spécialisée dans l’immunologie, le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses. Et le Dr Jay Bhattacharya, professeur à la faculté de médecine de l’université de Stanford, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en politique de santé publique, spécialisé dans les maladies infectieuses et les populations vulnérables recommandaient une approche alternative contre la Covid-19 dans ce que l’on a appelé la Déclaration de Great Barrington. Car ils sont très inquiets des effets secondaires de la vaccination de masse sur les populations.
Que préconisent-ils ? Une protection « focalisée ». C’est-à-dire de protéger autant que possible les personnes âgées, infirmes, fragiles et de laisser aux autres le soin de vivre normalement jusqu’à ce que la société atteigne l’immunité collective. Or, la vaccination massive par ARNm rend impossible cette immunité collective.
L’un des premiers cosignataires était le Dr Simon Thornley, épidémiologiste et biostatisticien à l’Université d’Auckland. De plus en plus connue dans le monde, la Déclaration de Great Barrington a, depuis, été signée par 60 000 médecins et scientifiques. Une pétition a recueilli à ce jour 870 000 signatures de soutien.
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La Déclaration de Great Barrington
« En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre la COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection), écrivent les trois premiers signataires.
« Que nous soyons de gauche ou de droite et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.
Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.
Une maladie peu dangereuse pour les enfants
Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par la COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, la COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe.
L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.
Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection).
En plein air plutôt qu’à l’intérieur
Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique à la COVID-19. À titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur.
Martin Kulldorff, Sunetra Gupta et Jay Bhattacharya les trois rédacteurs de la déclaration de Great Barrington (Massachussetts)
Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique.
Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective ».
Emilien Lacombe
La source originale de cet article est Info du Jour Copyright © Emilien Lacombe, Info du Jour, 2021

Résumé
Les enfants ne meurent pas du covid, ils ne contaminent ni les autres enfants, ni les adultes et leur injection ne protègent pas les autres.
L’épidémie de covid est terminée, entretenue seulement par la multiplication abusive des tests PCR fallacieux imposée par le pouvoir aboutissant à une épidémie de tests mais pas de malades, comme le démontre le site officiel sentinelles et santé publique France
L’injection est dangereuse et d’autant plus que la personne est plus jeune et ainsi particulièrement les petits enfants et les bébés. Elle ne protège pas des formes graves, notion inventée et entretenue par le comptage des vaccinés récents (ceux qui viennent de recevoir leur première dose, les plus à risque de complications précoces) dans le groupe des soi-disant « non vax »[1]
Les accidents et les décès se multiplient gravement car le nombre de doses est le poison
Exigeons la fin des mesures liberticides injustifiées car épidémie terminée et l’arrêt complet des injections expérimentales.
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Au-delà du fait que l’épidémie stricto sensu de covid 19 n’existe plus, que la première vague fut une grippe habituelle qui n’aurait pas donné tant de morts sans interdiction des médicaments habituels (antibiotiques, hydroxychloroquine etc.), ni euthanasie cachée des plus âgés, l’injection ne sauve personne et tue trop souvent tout en laissant des handicapés à vie dont personne ne parle.
Lire le résumé d’Alain Tortosa
Et chaque jour, ne regardez plus la télé, n’écoutez plus les radios main stream qui relaient la propagande terrorisante du gouvernement, examinez les données de l’OMS, du réseau sentinelle et de santé publique France qui montrent qu’en novembre 2021, nous restons à des valeurs basses de 12/100000 contre 600/100000 pour les vraies épidémies de grippe des années passées. Il existe effectivement d’autres viroses dont des grippes en ce moment, mais le tout est étiqueté covid grâce aux prescriptions injustifiées des tests PCR chez des asymptomatiques (faussement positifs dans 97% des cas), montrant toutes sortes d’autres virus ou de résidus et d’amplification trop élevée, malgré les consignes de l’OMS et de la société française de microbiologie. « Stop PCR » «liberté » sont les slogans à adopter dans les manifestations[2].[3]
Epidémie terminée :
Ecoutez Laurent Toubiana sur la 5ème vague https://youtu.be/diFch8bNCdQ dont l’article a été censuré par Mediapart (pour ceux qui croiraient encore à l’indépendance de ce journal faux nez de « la bonne opposition »
En ce qui concerne les enfants, l’extorsion de consentement s’intensifie.[4]
« Selon Sentinelles le taux d’incidence des IRA tous âges confondus est de 142 pour 100 000 habitants, 58% de vaccinés, 8,3% positifs au Sars-cov2 ; le taux d’incidence de sars-cov2 est de 22. »
« En semaine 2021-46 le taux de positivité au Sars-cov2 des patients consultant pour une IRA était de 6%… chez les 0-14 ans »
Taux d’incidence de 160 Infections Respiratoires Aiguës pour 100 000 chez les 5-14 ans.
En France les courbes de l’OMS montrent clairement que l’épidémie n’est plus menaçante.
Le taux d’incidence Sars-cov2 pour les enfants est quant à lui de 18 pour 100 000. Ce qui signifie que 94% des enfants qui sont allés consulter un médecin la semaine dernière pour des symptômes grippaux et autres infections respiratoires n’étaient PAS positifs au Covid !
Tandis qu’en semaine 46 les autorités sanitaires font exploser le nombre de tests chez les 0 à 9 ans à un niveau jamais atteint ! Soit 146 000 dans la journée du 26 novembre versus 9000 le 6 novembre, 16 fois plus. Le nombre de positifs croît en conséquence (plus on fait de tests, plus on trouve de personnes positives). De fait on fait exploser le taux d’incidence qui est le nombre de positifs pour 100 000 habitants. Les autorités parviennent à un taux d’incidence artificiel de 210 cas pour 100 000 chez les 0-9 ans ! Pendant ce temps le réseau Sentinelles nous rapporte un taux d’incidence d’enfants ayant des symptômes grippaux ET positifs au Pcr SARS-CoV-2 de 18 pour 100 000 habitants (12 fois moins). Pour ce réseau, nous sommes à des années-lumière d’une épidémie de Covid chez les enfant » et pour l’OMS aussi.
PSEUDOVAX inutile : lire les bilans sanitaires de Gérard Delépine dans les pays vaccinés (avec haute mortalité dans les deux mois qui suivent les vagues vaccinales et oubli du covid dans les pays non vaccinés comme l’Afrique[5].
Lire aussi que la dernière antienne de pascal Praud pour sauver ses convictions ébranlées est : le vaccin sauve des vies. Malheureusement l’analyse est fausse grâce à un nième mensonge des médias, le calcul fallacieux des « non vax ».
Pour faire croire que les hospitalisés, voire les morts ne sont pas vax, ils truquent les comptes : en ne comptant comme vaccinés que les personnes au-delà du quinzième jour après la deuxième dose. Comme la mortalité des vaccinés culmine dans les deux mois qui suivent la première injection, l’estimation de la mortalité des injections est gommée et on hospitalise les vaccinés une dose et les vaccinés deux doses de moins de quinze jours en les affublant du qualificatif « non vax » qui rassure Pascal Praud sur ses choix. Très forts dans le mensonge, nos bourreaux.[6]
Bénéfices indécents des milliardaires du pseudovax : mille euros par vaxx et par seconde ! bénéfices indécents des défenseurs de la vax chez les enfants comme ce pédiatre canadien qui a touché deux millions de dollars ; Sa parole vaut de l’or. Celle de Karine Lacombe et Gilbert Deray dix fois moins chers (mais pas mal de smic tout de même).
Tragiques effets secondaires chez les vax, et de plus en plus nombreux chez les plus jeunes dont le système immunitaire
N’en avez-vous pas assez d’entendre ou lire chaque jour le décès d’une personnalité du monde médical ou politique (comme tout récemment cet assistant de Castex) comme ce pianiste anglais de 40 ans particulièrement doué, semble-t-il, ou le décès (un de plus) d’un jeune footballeur (la FIFA dit avoir comptabilisé une hausse de 440% de chute sur les stades en neuf mois) ?
Ou bien même n’avez-vous aucune compassion pour la chute brutale de Céline Dion qui ne peut plus faire de concert, et semble-t-il ne se lève plus de son lit et peut à peine avaler entre paralysies et spasmes insupportables. Même si elle était tombée dans le piège de la pub au vax offrant des places gratuites aux enfants qui se vaccineraient, cela est bien tragique et on ne peut lui en vouloir, car elle a été trompée par le slogan de certains cardiologues parisiens, « faites confiance à la science »
N’en avez -vous pas assez d’apprendre ce jour les drames d’enfants devenus aveugles alors qu’ils ne risquaient rien du covid, ne contaminaient personne et en protégeraient personne en étant vaccinés, peut-être même au contraire ?
N’en avez -vous pas assez d’entendre des témoignages de l’armée, de gendarmes qui tombent dans le silence comme les footballeurs ?
« Gendarme, ancien policier et militaire témoignent de la même réalité dans #HoldOn : « Il y a des jeunes gendarmes qui décèdent alors qu’ils sont dans la force de l’âge.
On a beaucoup d’AVC, de crises cardiaques et de morts et malgré ça le service de santé des armées ne dit rien fidèle à sa tradition de grande muette[7]
Ne pensez-vous pas qu’il est temps de s’intéresser au drame des vaccinés, anonymes qui, comme les célébrités, tombent encore plus silencieusement, un enterrement et basta.
Peut-etre à deux pas de chez vous et dénié ?
Combien de personnes, qui m’appellent pour toute autre chose, finissent par me raconter qu’elles ont été à l’enterrement de la voisine tombée dans la rue, alors qu’elle allait plutôt bien et du jeune papa de 40 ans décédé quelques jours après un malaise au stade. Pourtant il était grand sportif, cet homme avec une bonne hygiène de vie. Le hasard, bien sûr, le hasard, la coïncidence au pire, car pas question de poser la question tabou de l’injection. TOUJOURS DES HISTOIRES COMPARABLES ; BASTA
Un chroniqueur parle, non plus de tabou, mais de blasphème si on ose poser la question de la responsabilité éventuelle du vax. Celine Dion, influenceuse du vax et vaccinée elle-même seraient devenue brutalement malade en raison de problèmes de ménopause… La ménopause paralysante du XXIème siècle !
On en est là, dans l’aveuglement induit par l’hypnose collective créée par le sujet télévisuel unique (et inique) pendant des mois et les mensonges éhontés sur « les vieux qu’on voudrait protéger » (alors qu’on les euthanasie encore aujourd’hui dans certains lieux et qu’on leur refuse les traitements interdits dans le silence complice de trop de médecins, les autres terrorisés par l’ordre et confortés par la soumission d’une partie du peuple.
Mensonge sur le vax qui sauverait des vies chez les plus âgés que peu veulent sauver et certainement pas le pouvoir (penser aux retraites,) alors que les vaxx, (ceux qui ont reçus au moins une dose) sont les plus hospitalisés (les vrais vax, pas ceux comptés par le ministre) et que des traitements simples comme l’ivermectine les auraient sauvé rapidement.
IL FAUT CESSER LE MASSACRE ACTUEL ET A VENIR
Tous ne mourront pas, mais tous étaient touchés… Ici avec les vax tous ne mourront pas, mais beaucoup sont déjà touchés.
Nous savons déjà est que les adultes vaccinés contaminent leurs enfants et que les femmes enceintes contaminent leurs bébés. Des décès précoces de nouveau-nés dans le premier mois sont signalés. L’allaitement est aussi suspect et à éviter si vous avez été récemment injectée.
Mais ce qui est aussi très angoissant est l’avenir des petites filles qui échapperont à tout effet secondaire visible dans les premières années (espérons-le encore une fois) mais qui auront pu être touchées dans les deux premiers mois de grossesse quand se forment les ovules pour leur vie entière.[8]
Pour les plus jeunes qui ont oublié l’histoire du Distilbène donné largement à des femmes enceintes pour limiter les vomissements [9] ou limiter les fausses couches et qui donna chez leurs filles des anomalies des organes génitaux et des stérilités. Et comme si cela ne suffisait pas des troubles psychiatriques chez les garçons de la génération suivante qui ont pu naitre.[10]Jouer à l’apprenti sorcier en médecine ne date pas d’aujourd’hui mais l’injection génique expérimentale contre un virus quasiment disparu de France gagne le concours du plus machiavélique.
INFORMEZ VOS AMIS
VOS RELATIONS
NE LAISSEZ PAS INJECTER LES JEUNES, AVENIR DE L’ HUMANITE
Dre Nicole Delépine
Notes :
[1] Compté comme vax seulement quinze jours après la deuxième dose
[3] Et la dictature créa le PCR pour nous soumettre… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
[4] tortosa20211202-fausse-vague-enfant-extorsion-vaccination (7milliards.fr)
Pseudo-vaccins ou Artémisine ? Les Seychelles versus Madagascar – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
[7] SOURCE COMPLÈTE (non éditée) https://holdup-lefilm.fr
[9] La-face-cachee-des-medicaments_Dr-Delepine.pdf (nicoledelepine.fr)
[10] Les filles du distilbène D.E.S. France – Réseau D.E.S. France (des-france.org)