dimanche, 19 mai 2024

Le cinéma algérien, à l’image de sa jeunesse, triste et plein d’espoir

Ils sont quelques réalisateurs qui ont entre 30 et 40 ans et qui offrent de véritables pépites comme l’explique Christophe Leparc, directeur de Cinemed, (festival du cinéma méditerranéen à Montpellier) et secrétaire général de la quinzaine des réalisateurs. Cette année, ce festival a ouvert ses portes à la jeune garde du cinéma algérien.

L’église Notre-Dame de Santa Cruz d’Oran restaurée

Plus qu’un simple édifice religieux, cette chapelle fait partie, dans la mémoire collective, d’un des principaux repères de la ville d’Oran, au même titre que le fort de Santa Cruz, le Théâtre régional ou la place Tahtaha (M’dina J’dida).

Lettre au Frère Président Abdelaziz Bouteflika

Il s’agit, Frère Président, d’user de l’autorité légale dont le peuple vous a investi et, surtout, de l’autorité morale et du capital de sympathie qui sont les vôtres auprès de lui, pour que la transition se fasse dans les règles, à travers des élections propres et honnêtes, seules à même d’éviter à notre pays un désastre potentiel.

Que faire de l’identité et des identitaires en Algérie ? *

L’identité est devenue aujourd’hui l’habillage d’un discours d’extrême-droite algérienne décomplexée si on veut reprendre le langage de l’époque. Tombée sous monopole confessionnel, elle sert de concept d’exclusion et d’inquisition.

Un périple agité de MBS : ce que l’argent ne saurait acheter

c’est le contre-choc pétrolier de 1986, qui a mis l’Algérie en particulier à genoux. Le prix du baril était descendu en dessous de 10 dollars, au point où Kasdi Merbah, Premier ministre de l’époque, a appelé les autorités saoudites pour les rappeler «qu’elles étaient en train de nous enlever le pain de la bouche». Plus tard, ce qui était connu concernant le financement du terrorisme en Algérie, en Syrie et ailleurs par certains pays du Moyen-Orient fait l’objet de témoignages de plus en plus nombreux et de preuves tout aussi irréfutables.

MBS, l’intouchable

D’autres présidents américains auraient dit la même chose de Manuel Noriega,le narco-général-président du Panama de 1983 à 1989,sans oublier, dans la longue liste de racailles ayant enchaîné le continent sud-américain, l’argentin Jorge Rafael Videla (1976-1981) et, bien entendu, le chilien Augusto Pinochet (1974-1990).