La traite d’humains a toujours existé, que le monde fait mine de découvrir avec les images rapportées des ventes aux enchères des Subsahariens en Libye. L’esclavage serait-il plus légitime en Mauritanie, en Centrafrique, au Soudan qu’en Libye ?
Des chefs de partis marocains persistent à vouloir se rendre en Algérie
les deux initiatives lancées séparément par le Parti de la justice et du développement marocain (PJD, Frères musulmans) et le parti de l’Istiqlal, d’obédience nationaliste, en direction de la classe politique algérienne en vue d’entamer des discussions au tour de l’appel du roi Mohammed VI pour l’ouverture d’un dialogue «franc et direct» avec l’Algérie
H. Köhler réunit le Front Polisario et le Maroc, sur le Sahara occidental, aujourd’hui : Confrontation entre le Droit international et la vision politique de l’occupant, à Genève
Pour rappel, le Maroc occupe illégalement, depuis 1975, le Sahara occidental et qu’aucun État à travers le monde ne lui reconnaît la souveraineté, sur ce pays, et qu’après la lutte armée, avec le Front Polisario, de 1975 à 1991, les deux parties ont conclu, sous l’égide de l’ONU, un Accord de cessez- le-feu, pour la tenue du référendum d’autodétermination du peuple sahraoui, qui ne s’est pas convrétisé à ce jour, depuis que le Maroc ait renié ses engagements.
L’accord sur l’aviation civile UE/Maroc exclut le Sahara Occidental
Pour le juge européen, il y a lieu de comprendre la notion de territoire du Maroc comme « renvoyant à l’espace géographique sur lequel le royaume du Maroc exerce la plénitude des compétences reconnues aux entités souveraines par le droit international, à l’exclusion de tout autre territoire tel celui du Sahara occidental ».